Comment surmonter la peur de l’échec et le sentiment de culpabilité?

Hé champ, t’es du genre à laisser tes chaussettes sous le lit pour que la peur de l’échec disparaisse ? T’es un pro de l’évitement, le roi des procrastinateurs, de ceux qui pensent que tout va se régler en restant immobile ? Bosser sur des tas de plans sans jamais agir, t’assurer de la perfection avant le moindre mouvement, c’est ton truc ? Tu glandes en attendant le bon moment en pensant que ça va vraiment se produire ? Bordel, c’est ça ta vie, sérieux ?
peur culpabilite

Camoufler la peur avec l’inaction, c’est ton sport favori ?

Mon ami, parfois, tu n’essaies même pas de peur de mal faire, n’est-ce pas ? C’est une technique brillante que tu as développée là, spéciale, figure de champion des éternels préparatifs.

Tu te caches derrière des tas de plans, de stratégies, t’assurant que tout sera parfait, net et sans bavure.

Mais dis-moi, ce plan en béton armé, cet alignement parfait des planètes, ce bon moment que tu attends… Tu penses vraiment que ça arrivera un jour ?

C’est probablement plus facile d’admettre que tu as peur. C’est moins la honte que d’avouer que t’evites l’action, non ?!

Rappelle-toi mon client, Julien. Un homme intelligent, bourré de talents, mais il restait cloué sur place, incapable de bouger. Pourquoi ? Parce qu’il avait peur de mal faire. Sa peur de l’échec l’a rendu maître du stand-by.

Mais j’ai une nouvelle pour toi : l’échec fait partie du jeu. Je ne suis pas devenu un coach respecté en me tournant les pouces et en évitant les erreurs.

Non. J’ai trébuché, je me suis relevé, encore et encore. Et toi, tu es capable de faire pareil, tu as juste besoin d’un petit coup de pouce, d’un petit coup de pied aux fesses pour te mettre en mouvement.

Être paralysé par la culpabilité ou apprendre à danser avec ?

Tu redoutes la culpabilité, n’est-ce pas camarade ? Tu penses que si tu fais même une minuscule erreur, ce sera la fin du monde. Tu seras écrasé par un énorme rocher de culpabilité. Tu ne pourras plus te regarder dans le miroir. Je sais, c’est dur. Mais crois-moi, personne n’est parfait, et personne n’exige la perfection.

Imagine Nathalie, une autre de mes clientes. Un jour, elle a fait un gros raté au boulot. Au lieu de s’effondrer sous le poids de la culpabilité, elle a choisi de l’affronter.

Elle a admis son erreur, elle a appris de sa faute, et elle est passée à autre chose. Et tu sais quoi ? Elle est encore là, survivante et plus forte que jamais. Elle a appris à danser avec la culpabilité au lieu d’en avoir peur.

Et toi aussi, tu peux apprendre à danser. Chaque faux pas peut devenir une nouvelle étape de danse, chaque erreur peut t’enseigner de nouvelles chorégraphies de la vie.

Lâche ces foutues peurs, mets-toi à l’épreuve, risque l’échec. Et même si tu gaffes, souviens-toi qu’il n’y a aucune honte à ça. Ça te définit pas. Ta valeur ne dépend pas de ton aptitude à tout réussir du premier coup. T’es pas obligé de tout faire bien, t’es juste obligé de tout donner.

Et si jamais tu as besoin d’une dose d’encouragement supplémentaire, voici un programme qui pourrait t’être utile. Vas-y, jette un œil.

L’origine de la peur

Revenons-en à ton histoire, pote. Dis-moi, tu te rappelles de ton premier cours de vélo, quand tu étais gamin ? À chaque fois que tu montais sur ce vélo et que papa te lâchait, tu étais terrorisé à l’idée de tomber, de te faire mal, de rater, de décevoir.

Pareil pour tes premiers pas en natation, ton premier discours en public, ta première approche vers quelqu’un qui te plaît.

C’est drôle hein, comment on porte ces craintes et ces peurs d’enfant à l’âge adulte ? Tu penses encore qu’un échec ça fait mal, que ça fait honte, que ça te rend faible.

Mais attend, t’as qu’à faire un zoom arrière et de regarder les conséquences de ces « échecs » de quand tu étais gamin : aujourd’hui tu sais faire du vélo, nager, parler en public et aborder quelqu’un qui te plaît. En gros, tous tes échecs ont abouti à des succès. T’as pigé le truc ?

Dompter la peur et ses conséquences

Chaque échec, chaque peur, c’est un peu comme ces vieux amis d’enfance qu’on préférerait oublier, mais qui débarquent sans prévenir lors des réunions de famille, n’est-ce pas ?

On les tolère parce qu’ils font partie du décor, mais si on y réfléchit bien, ne sont-ils pas là pour nous rappeler d’où l’on vient et, surtout, combien loin on a pu aller malgré tout ?

Tu te souviens de ces chutes à vélo, des premiers plongeons dans l’eau, de ces moments où parler devant une foule te semblait aussi terrifiant que de faire face à un dragon cracheur de feu ?

Et pourtant, te voilà, capable de rouler sans les petites roues, de nager en eaux profondes, de captiver une audience ou d’approcher quelqu’un qui te plaît. Ironique, non ?

La transformation par l’échec

Pense un instant à ce que ces « échecs » ont réellement signifié pour toi. Une chute à vélo ? Un pas de plus vers la maîtrise. Un bégaiement en public ? Une leçon apprise sur l’art de la communication. Chaque faux pas était en fait un pas de danse dans la chorégraphie compliquée de ta vie.

Le pouvoir caché de la culpabilité

Quant à la culpabilité, cet oiseau de mauvaise augure qui aime se percher sur nos épaules, que dirais-tu de le voir comme un guide plutôt qu’un geôlier ?

Ce sentiment, aussi inconfortable soit-il, a le mérite de nous signaler quand nous avons dévié de notre propre chemin moral ou éthique.

Il n’est pas là pour nous punir, mais pour nous pousser à réfléchir, à réévaluer et, finalement, à rectifier notre trajectoire.

Se réconcilier avec ses peurs

La peur de l’échec, camarade, est ce feu de camp autour duquel nous nous réunissons tous, partageant nos histoires d’horreur personnelles, oubliant souvent qu’au lever du jour, les monstres sous le lit disparaissent avec les ombres.

Se rappeler que chaque personne que tu admires aujourd’hui a traversé sa propre vallée de doutes et d’échecs peut transformer cette peur en un carburant pour avancer.

Tu sais, à travers les vicissitudes de mon propre voyage, marqué par les ombres d’une enfance tumultueuse et les assauts répétés contre mon propre bien-être, j’ai appris une chose essentielle : la peur et la culpabilité sont les deux faces d’une même médaille, une médaille que tu peux choisir de porter comme un insigne d’honneur.

Car en fin de compte, ce sont elles qui te façonnent, qui sculptent ta résilience et qui te préparent pour les batailles à venir.

Et maintenant ?

Prends un moment pour regarder en arrière, pour voir combien tu as parcouru, pas malgré ces échecs et ces sentiments, mais grâce à eux. Et puis, regarde vers l’horizon, vers tout ce que tu n’as pas encore accompli. Les montagnes que tu as déjà franchies te semblent peut-être insurmontables à l’époque, mais elles ne sont désormais que des collines derrière toi.

Alors, qu’attends-tu ? La prochaine montagne t’attend, et quelque chose me dit qu’elle n’est pas prête à se faire conquérir sans un bon combat. Mais toi, mon ami, tu es désormais armé jusqu’aux dents. Échec, succès, culpabilité ? Ce ne sont que des mots. Ce qui compte, c’est ce que tu en fais. Et je sais que tu feras des merveilles.

En conclusion

Tu vois, mon vieux, la peur a toujours été un truc de base pour nous, comme une protection. Mais ne laisse pas ça te dominer. Ton cerveau te signale un potentiel danger, rien de plus. Il ne sait pas tout.

Ces peurs qui naissent dans notre petite enfance et que l’on traîne toute notre vie, c’est de l’histoire ancienne. C’est le passé. Elles proviennent, la plupart du temps, d’événements que nous avons mal interprétés et qui nous bloquent, même des années plus tard.

Regarde ça comme ça – chaque échec te rend plus fort, chaque peur que tu surmontes te fait évoluer. Elles sont là pour te motiver à faire mieux, à aller plus loin. Et toi, t’es apte à changer, à évoluer, à prendre des risques.

Faut juste que tu te laisses guider par tes passions, par ton envie de réussir et non par tes peurs. Compris ? Maintenant, arrête de flipper pour des broutilles et vas-y, lance-toi ! C’est seulement en faisant ça que tu seras vraiment libre, pote.

L’oeil du coach

Tu joues à cache-cache avec la peur, hein ?

Camarade, souvent, t’oses même pas, de peur de rater, la belle affaire ! On dirait que ça te plait d’être l’éternel planificateur en chef. Sans fin, tu échafaudes des stratégies et t’attends le moment parfait. Sais-tu que ce moment n’arrivera probablement jamais ?

Julien, un de mes clients, vit le même calvaire. Bloqué, terrorisé à l’idée de foirer. Mais écoute-moi : même moi, le coach respecté que je suis, j’ai dû trébucher et me relever plusieurs fois. Pas besoin d’avoir peur, camarade.

Tu sais danser avec la culpabilité ou tu préfères rester paralysé ?

L’idée de faire la moindre bourde te terrorise. Tu as peur de ne plus pouvoir te regarder dans le miroir. Jette un coup d’œil à Nathalie, une autre cliente. Après un couac, elle a fait face, a appris et s’est relevée, plus forte. C’est pas la fin du monde, crois-moi.

Mon pote, lâche les peurs, mets-toi en danger, risque l’échec. Ce n’est pas une honte. T’es pas obligé de tout réussir, t’es juste obligé d’essayer. Voilà un article pour te booster. L’important, c’est pas de gagner, c’est de jouer.

Pleurs de peur – un héritage de ton enfance

Te souviens-tu de ton premier tour de vélo, ta première fois à la piscine, ton premier discours en public ? C’est marrant, comment ces terribles peurs d’enfant persistent encore à l’âge adulte. T’a grandi, mais pas tes peurs !

Briser le cycle de la peur

Échec après échec, tu deviens plus fort ; peur après peur, tu évolues. Alors, montre à tes peurs que tu es au-dessus d’elles. C’est mentir à soi-même que de rester cloîtré par peur de l’échec.

En bref

Rappelle-toi, mon ami, la peur est simplement le signal d’alarme de ton cerveau, pas un arrêt de mort. Nos peurs infantiles sont comme d’anciennes bandes VHS qui jouent en boucle dans nos têtes. C’est à toi de les mettre à jour.

Alors, arrête de te cacher derrière tes peurs et lance-toi ! C’est seulement en faisant cela que tu te libéreras vraiment, pote.

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Ce qu’ils disent de moi

Valérie F.

Rated 4,0 out of 5

Un échange humain.

Effectivement, Stephane dépote.

Plus qu’un coaching, c’est un vrai moment de partage d’expérience de la vie, ce qui rend la discussion riche.

Je me suis fait remuer, et je dois dire que si j’étais réticente, au bout du compte, j’en avais besoin.

Valérie F.

Sophie A.

Rated 3,0 out of 5

Il faut aimer se faire bouger. Ce n’est pas toujours agréable, même si tout se passe dans la bonne humeur et avec le sourire.

On ne se fait pas gronder ou engueuler, mais ça remue, ça bouge.

Stéphane n’est pas là pour te laisser dans tes doutes, il te secoue.

Sophie A.

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ta confiance

Ok, t’a confiance s’est fait la malle, partie sans laisser d’adresse, et depuis, tu galères à la moindre difficulté.

C’est quoi ? Un trauma passé qui te plombe, une rupture sentimentale qui a tiré le rideau ses tes espoirs, tu t’emmerdes au boulot ? Bon, voici de quoi te remettre sur les rails.

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