Comprendre comment le véritable chagrin te touche profondément

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Stéphane

« Alors, tu sais ce que c’est que d’avoir le blues, hein? Cette sensation de dingue, cette douleur qui te serre le coeur et qui ne veut pas te lâcher. Ouais, je parle du chagrin, mon pote. Ce truc vicieux qui te force à chialer dans ton lit à 3 heures du mat’ et qui te laisse épuisé le reste de la journée. Il te piege quand tu t’y attends le moins et te pourrit la vie. »
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le chagrin

Le chagrin, ce visiteur inattendu

Tu sens ce poids, n’est-ce pas? Cette lourdeur, ce pincement constant dans ton cœur. C’est quoi? Le chagrin, mon ami. Il agrippe ton cœur comme un vice et il ne veut pas le laisser partir.

Tu sais de quoi je parle, hein? Tu as goûté à sa sinistre concoction plus d’une fois. Ou tu ne veux peut-être pas l’admettre.

Mais tu ne peux pas prétendre qu’il n’est pas là. Le vrai chagrin a cette capacité sournoise à s’infiltrer dans les moindres recoins de ta vie. Il s’empare de toi quand tu t’y attends le moins et ne te laisse pas en paix.

Une de mes clientes, Alice, est une pro pour cacher son chagrin. Sérieux, elle pourrait remporter une médaille pour ça. Elle allait à son boulot, sortait avec ses amis, riait aux blagues stupides. Mais en privé? Elle était en pleine bataille avec ce monstre qu’on appelle le chagrin. Ce truc est féroce, crois-moi.

L’impact sournois du chagrin

Ce chagrin a un moyen sadique de jouer avec tes émotions. Il peut te rendre insensible à ce qui se passe autour de toi, te faire penser que tu ne ressens plus rien. Ou au contraire, il peut faire monter la lave chaude et brûlante de la douleur à la surface. C’est comme si tu étais pris entre deux feux.

Vu de l’extérieur, tout semble ok, non ? Genre, tu penses que tu fais face à ta routine quotidienne comme un champion, mais en réalité, chaque geste, chaque mot est teinté de ce chagrin qui te ronge de l’intérieur.

Puis, il y a le piège de l’évitement. Tu sais, ce vieux truc où tu te dis que tu peux « passer par-dessus » ton chagrin, que tu es trop fort pour ça. Mon ami, tu auras beau courir le marathon le plus rapide de ta vie tu n’échapperas pas à la course du chagrin.

Mon autre client, Laurent, grand roi de l’évitement, il avait fait le tour du monde pour éviter d’affronter son chagrin. Résultat? Le chagrin l’attendait à chaque escale. Pas de répit.

La vérité que tu dois savoir, camarade, c’est que le vrai chagrin est là pour te montrer que tu es vivant, que tu es humain. Ça grince, ça fait mal et souvent, ça te cloue sur place. Mais ça fait partie de ton humanité.

Les causes sournoises du chagrin

Alors, tu te demandes, c’est quoi cette merde de chagrin qui ne te laisse pas tranquille? Eh bien, mon ami, le chagrin peut avoir des milliers de visages et des milliers de causes. Il pourrait provenir d’une perte, d’une déception, d’un espoir disparu.

Peut-être as-tu perdu quelqu’un de cher, ton boulot, ta maison. Peut-être que quelqu’un t’a abandonné, ou que tes rêves de carrière se sont écroulés.

Quelle que soit la source de ton chagrin, il est là, tapi dans l’ombre, prêt à te sauter dessus au moment où tu t’y attends le moins.

Franchement, parfois, ça paraît complètement injuste. Tu te bats, tu donnes tout ce que tu as, tu fais de ton mieux, et pourtant, le chagrin te frappe quand même.

Et pourquoi, me demandes-tu? Eh bien ça, mon ami, c’est une des plus grandes énigmes de la vie. Peut-être que c’est la façon dont la vie nous rappelle à quel point on est sensibles, à quel point on se soucie vraiment, à quel point on tient à ce qui compte

En conclusion

Le chagrin, cette merde, on ne lui a rien demandé. Mais il arrive, à pas de loup, à cause d’une perte, d’une déception, de rêves qui s’écroulent. Il s’invite, l’air de rien, quand tu t’y attends le moins.

C’est la vie qui nous la joue comme ça, qui nous montre qu’on est pas des robots, qu’on est sensibles, qu’on a des sentiments, qu’on est humains.

Et même si ça fait chier, même si ça rend triste, il faut composer avec. Parce que le chagrin fait partie du voyage. Il nous rappelle que ce à quoi on tient, ça compte vraiment.

Donc oui, c’est dur, c’est dur de perdre, de voir ses rêves s’effondrer, de se sentir abandonné. Mais c’est aussi ça qui nous pousse à avancer, à se battre pour ce qu’on veut, pour ce qu’on aime.

Garde ça en tête la prochaine fois qu’il te tombe dessus, l’ami. Le chagrin, c’est une saloperie, mais c’est aussi une force. C’est une preuve que tu es vivant, que tu ressens, que tu es humain. Avance avec ça, bats-toi avec ça. Qui sait ? Peut-être que de ce chagrin naîtra une résilience inattendue.

L’oeil du coach

Ah ce bon vieux creux au ventre. Dis-moi pas que tu le connais pas, ce petit griffeur sournois. Le chagrin. Oui, celui-là même. Qui s’accroche à toi tel un petit singe sur l’épaule et te lâche plus. Ça doit te dire quelque chose, non ?

Va pas me faire croire que tu ne l’as jamais senti. Cet invité indésirable qui, sournoisement, s’infiltre dans ta vie. Il trinque avec toi quand tu ne l’as pas vu venir et te laisse avec tous les verres à boire. La gueule de bois du chagrin, mec, c’est pas une légende.

J’ai une cliente, Martine. Championne toutes catégories du maquillage du chagrin. En public, au top, en privé, complètement en vrac. C’est marrant, le chagrin, non ?

Ce chagrin, t’as l’impression qu’il s’amuse avec toi comme un chat avec une souris. Il te ballade, te cogne, te fait tourner en rond. Et toi, tête haute, tu continues de vivre ta petite routine en mode automatique, ballotté par ce chagrin invisible.

Il y en a qui vont jusqu’à l’éviter, ce chagrin. Ils se disent « pas grave, tu vas passer au-dessus ». Crois bien que normalement t’es plus rapide que Bolatov au 100 mètres, tu n’arriveras jamais à lui semer. Demande à Maxime, un client globe-trotter, il a fait le tour de la planète et le chagrin était sur chaque photo du voyage.

Alors arrête de te voiler la face. Ton chagrin est là pour te rappeler que tu vis. Que t’es humain. Et que c’est pas grave de ressentir.

Mais attends, camarade, ce n’est pas tout. Le chagrin surgit souvent de manière inopinée, comme une taupe dans ton jardin parfaitement tondu. Perte, déception, un doux rêve mort-né.

Quelque soit sa facette, il te grimpe dessus et se tape l’incruste. Alors, on le gère comment, le chagrin ? On vit avec, on le combat, on l’accueille. On fait tout sauf l’ignorer. Mais on vit, bordel !

Bien, tu sembles prêt à avancer avec ton chagrin. Je suis fier de toi, camarade. Maintenant, relève la tête, et vas-y, montre-lui qui est le boss. Ta vie, ton chagrin, ton combat. Allez, bouge-toi ! Pour toi. Montre leur à tous ce que c’est que d’être humain et vivant.


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