La FAQ de la croyance limitante

Croyance limitante, la définition

Dans le royaume féérique de notre esprit, il existe des créatures mystérieuses appelées les « Croyances Limitantes ».

Ces créatures, semblables à de petits lutins malicieux, se cachent dans les coins sombres de notre conscience, se nourrissant de nos doutes et de nos peurs.

Elles tissent des toiles d’incertitude qui entravent notre élan et nous empêchent de voler librement vers nos rêves.

Les Croyances Limitantes sont comme des sortilèges qui nous enferment dans des cages invisibles.

Elles murmurent à notre oreille des mots tels que « tu n’es pas capable« , « tu ne mérites pas le succès » ou « tu dois être parfait« .

Ces mots se transforment en chaînes qui nous retiennent, nous empêchant d’atteindre notre véritable potentiel.

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Cependant, il est possible de briser le charme de ces lutins malveillants.

La clé pour se libérer de leur emprise réside en chacun de nous. Il nous suffit d’ouvrir les yeux de notre cœur et de voir ces croyances limitantes pour ce qu’elles sont : des illusions créées par nos propres peurs et insécurités, des illusions devenues des automatismes.

Pour les combattre, nous devons nous armer de courage et de sagesse, tels des chevaliers partant en quête de leur liberté.

Nous devons débusquer ces lutins, les confronter et les remplacer par des créatures bienveillantes, les « Croyances Libératrices ».

Ces êtres lumineux nous soutiendront et nous encourageront, nous permettant de déployer nos ailes et de voler vers les horizons les plus lointains de notre imagination.

Ainsi, les Croyances Limitantes ne sont rien de plus que des illusions qui nous retiennent prisonniers.

En les reconnaissant et en les confrontant, nous pouvons nous libérer de leur emprise et ouvrir la porte à un monde de possibilités infinies, où nos rêves deviennent réalité.

Voici l’exemple de Sarah, une jeune femme de 30 ans, avait l’habitude de s’enfermer dans ses propres croyances limitantes.

L’ascension de Sarah face à ses croyances limitantes

Ses croyances l’empêchaient de s’épanouir, de poursuivre ses rêves et d’embrasser pleinement la vie.

La prise de conscience

Un jour, alors qu’elle était au bord des larmes, Sarah réalisa que ces croyances limitantes étaient les murs qui l’emprisonnaient.

Elle décida de les briser un à un et de se libérer de ces entraves invisibles. Voici les croyances limitantes auxquelles Sarah faisait face :

  1. Je ne suis pas assez bonne
  2. Je ne mérite pas le succès
  3. Je ne peux pas changer
  4. Je ne peux pas réussir
  5. Je dois être parfaite

Tu te dis peut-être que tu connais déjà ces injonctions, mais c’est en les identifiant clairement que tu peux commencer à les combattre. Les connaitre est une chose, les dépasser en est une autre. Et nous allons voir comment Sarah y est arrivée.

La stratégie de l’éléphant

Sarah décida d’affronter ces croyances comme on mangerait un éléphant : une bouchée à la fois. Elle prit une feuille et un stylo et se mit à écrire.

Chaque croyance limitante était décomposée en pensées et en émotions, puis elle réfléchit à la manière de les dépasser. Comme le disait si bien Lao Tseu : « Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas. »

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Je ne suis pas assez bonne

Sarah se plongea dans ses souvenirs, repensant aux moments où les autres avaient reconnu son travail et ses compétences.

Elle se rappela les sourires sincères de ses collègues lorsqu’elle avait réussi à mener à bien un projet difficile, les mots d’encouragement de ses amis lorsqu’elle avait partagé ses ambitions, et les étreintes chaleureuses de sa famille lorsqu’elle leur avait annoncé une promotion.

En faisant l’inventaire de ces expériences positives, Sarah réalisa qu’il y avait un décalage entre la réalité et sa croyance de ne pas être assez bonne.

Elle avait bel et bien connu des succès dans sa vie, et ces succès étaient la preuve qu’elle avait du talent et des compétences.

Sarah comprit alors que cette croyance limitante n’était qu’une illusion créée par ses propres peurs et insécurités.

Elle décida de se concentrer sur ses forces et ses réussites passées pour se rappeler qu’elle était capable de réaliser de grandes choses.

Elle se mit à établir un plan d’action, déterminée à travailler dur pour atteindre ses objectifs, tout en restant attentive à ses progrès et en tirant des enseignements de ses échecs.

Je ne mérite pas le succès

Sarah réalisa que cette croyance était profondément ancrée en elle depuis l’enfance.

Elle se demanda si cette croyance était vraiment vraie, et en discutant avec des amis, elle comprit qu’elle méritait autant le succès que n’importe qui.

En explorant les souvenirs de son enfance, Sarah identifia plusieurs moments où elle avait été persuadée qu’elle ne méritait pas le succès.

Peut-être était-ce à cause des attentes élevées de ses parents, des comparaisons injustes avec ses frères et sœurs, ou des critiques acerbes de certains enseignants.

Toutes ces expériences avaient laissé des cicatrices émotionnelles et avaient forgé cette croyance limitante en elle.

Sarah décida de remettre en question cette croyance et d’en discuter avec des amis proches.

Au fil des conversations, elle se rendit compte que le succès n’était pas réservé à une élite ou à des personnes spécifiques, mais qu’il était accessible à tous ceux qui étaient prêts à s’investir et à persévérer.

Ses amis lui rappelèrent également ses propres réussites et la convainquirent qu’elle méritait autant le succès que n’importe qui d’autre.

Au fur et à mesure que Sarah déconstruisait cette croyance, elle commença à se sentir plus légère et plus confiante.

Elle réalisa que mériter le succès n’était pas une question de chance ou de prédispositions, mais plutôt de travail acharné, de détermination et de la capacité à surmonter les épreuves.

Elle comprit que, comme tout le monde, elle avait le droit de rêver grand et de poursuivre ses objectifs avec passion.

Ainsi, Sarah remplaça progressivement cette croyance limitante par une conviction plus saine et plus constructive : elle méritait le succès autant que quiconque, et elle pouvait l’atteindre en se donnant les moyens et en croyant en elle-même.

Cette prise de conscience fut un véritable tournant dans sa vie, lui permettant de se libérer de cette entrave mentale et de se rapprocher de l’épanouissement personnel.

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Je ne peux pas changer

Un jour, alors que Sarah réfléchissait à cette croyance, elle comprit qu’elle l’utilisait comme un bouclier pour se protéger de l’inconfort et de la peur que suscitait le changement.

Elle réalisait qu’en maintenant cette croyance, elle évitait de faire des efforts et de prendre des risques pour améliorer sa vie.

Décidée à briser cette chaîne mentale, Sarah établit des objectifs réalisables qui la conduiraient progressivement vers les changements qu’elle désirait.

Elle décida de se concentrer sur ses progrès, même s’ils étaient minimes, plutôt que de se laisser décourager par l’ampleur des défis à relever.

Elle comprit que chaque petit pas en avant comptait et que la somme de ces avancées la rapprocherait inévitablement de ses buts.

Sarah se rendit compte que le changement était possible, à condition d’être patiente et persévérante.

Elle apprit à apprécier les petites victoires et à célébrer ses progrès, comprenant que le changement était un processus graduel qui demandait du temps et de l’engagement.

Elle sut aussi accepter les revers et les obstacles comme des opportunités d’apprentissage et de croissance, plutôt que comme des signes d’échec.

En se libérant de cette croyance limitante, elle découvrit qu’elle était capable d’évoluer, de s’adapter et de créer la vie qu’elle désirait.

Et elle réalisa que, finalement, le pouvoir de changer était entre ses mains, pour peu qu’elle décide de l’embrasser avec courage et détermination.

Je ne peux pas réussir

En examinant cette croyance de plus près, Sarah découvrit que sa peur de l’échec en était la principale source.

Elle craignait que les autres la jugent ou la critiquent si elle échouait, et que cela la rende vulnérable.

Elle comprit que cette peur l’empêchait de prendre des risques et de saisir les opportunités qui s’offraient à elle, limitant ainsi ses chances de réussite.

Sarah décida de changer sa perspective sur l’échec. Elle choisit de le voir comme une occasion d’apprendre et de grandir, plutôt que comme une fin en soi.

Elle se rappela que même les personnes les plus accomplies avaient connu des échecs dans leur vie et que ceux-ci avaient souvent été des catalyseurs pour leur succès futur.

En adoptant cette nouvelle vision de l’échec, Sarah se permit de célébrer ses petits succès, reconnaissant que chaque victoire, aussi modeste soit-elle, était un pas de plus vers l’atteinte de ses objectifs.

Elle apprit également à tirer des leçons de ses erreurs, en les analysant de manière constructive et en identifiant les ajustements nécessaires pour améliorer ses performances.

Cette approche lui permit de surmonter sa peur de l’échec et de se débarrasser de la croyance limitante selon laquelle elle ne pouvait pas réussir.

Elle se rendit compte que la réussite était un processus, et non un résultat immuable, et que chaque échec et chaque succès étaient des étapes sur le chemin de l’épanouissement.

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Je dois être parfaite

En réfléchissant à cette croyance, Sarah réalisa qu’elle s’était imposée un fardeau écrasant en cherchant constamment la perfection en toutes choses.

Elle comprit que cette poursuite inatteignable la privait de la joie et de la satisfaction qu’elle pouvait trouver dans ses réalisations, même si elles étaient imparfaites.

Sarah décida de changer sa façon de voir les choses et de se débarrasser de cette exigence de perfection.

Elle commença à accepter ses imperfections, en reconnaissant qu’elles faisaient partie intégrante de ce qui la rendait unique et humaine.

Elle se rappela que même les plus grandes réussites étaient souvent le fruit d’essais et d’erreurs, et que la perfection n’était pas un prérequis pour le bonheur ou le succès.

En lâchant prise sur cette croyance limitante, Sarah adopta une approche plus bienveillante et réaliste envers elle-même.

Elle continua à chercher à s’améliorer, mais sans se flageller pour ses imperfections.

Elle apprit à apprécier les progrès réalisés, même s’ils étaient parfois entachés d’erreurs, et à se concentrer sur les aspects positifs de son parcours.

Cette transformation lui permit de vivre une vie plus équilibrée et sereine. Sarah découvrit que l’acceptation de soi et la quête de progrès, plutôt que de perfection, étaient des clés essentielles pour mener une vie épanouissante.

« L’important n’est pas d’être parfait, mais d’être authentique. » – Brené Brown_

La métamorphose

Au fur et à mesure que Sarah déconstruisait ces croyances limitantes, elle se sentait de plus en plus libre et épanouie.

Elle commença à prendre des risques, à sortir de sa zone de confort et à s’ouvrir à de nouvelles opportunités.

La vie de Sarah changea radicalement, et elle réalisa enfin qu’elle était maîtresse de son destin.

Un nouveau départ

Sarah n’est pas une super-héroïne; elle est juste une femme ordinaire qui a décidé de prendre en main sa vie et de briser les chaînes mentales qui l’entravaient.

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