Déchaîne-toi de tes chaînes
Désolé pour le mauvais jeu de mots sur ce sous titre ci-dessus, il est tellement nul que j’ai pu m’en empêcher, pardon ^^
Bon, tu es un kamikaze émotionnel, mon ami. Tu t’accroches à cette souffrance psychologique que tu chéris comme une vieille couverture trouée ? Bravo !
Continue à te noyer dans ce marécage de douleurs refoulées. Tu verras, c’est un sacré voyage ! Pardon, je m’emporte un peu. C’est juste que je vois trop souvent des camarades tels que toi, enlacés dans les bras de leurs démons intérieurs et ça me rend légèrement… perplexe.
Certains adorent leurs chaînes psychologiques, les embrassent, les couvent avec une affection malsaine au lieu de prendre la tangente. Pourquoi se compliquer la vie avec la guérison alors que l’on peut rester en pyjama toute la journée à festoyer dans nos tréfonds sombres ?
Selon une étude du magazine de psychologie « Psychotherapy and Psychosomatics », ce comportement autodestructeur est typiques des individus ayant eu une enfance tumultueuse, pareille à la mienne.
Parce qu’on a vécu des traumatismes, on se croit obligé de rester sur le bas-côté de la vie à regarder les voitures passer, condamnés à être triste toute la vie.
Mais camarade, il y a une autre voie. Une voie où tu mets le pied au cul de tes démons et te déchaînes de ces chaînes psychologiques.
Une voie où tu te libères de cette souffrance qui t’étouffe à petit feu. Une voie que tu peux emprunter ici : Oser sa voie, oser être soi.
Mais être triste, c’est tellement plus cool et plus facile surtout. Ne change rien, et n’affronte pas tes soucis, on sait jamais.
Ah, tu es fâché, c’est bien, tu réagis encore, y’a de l’espoir. Bien, continiuons.
Fais la lumière sur ta souffrance
C’est une drôle de chose, la souffrance psychologique. Elle saute sur notre dos comme un fardeau encombrant, s’accroche, nous tire vers le bas.
Sombres pensées, peur paralysante, cela nous tire vers le bas, nous empêche de voler, de prendre notre envol, de devenir la meilleure version de nous-même.
Prenons l’exemple de Lisa, une de mes clientes. Elle s’accrochait à son passé comme une moule à son rocher, refusant de lâcher prise, de se libérer de ses chaînes.
Je lui ai fait comprendre que libérer son esprit de la souffrance était nécessaire pour trouver le chemin vers le bonheur. Après tout, la sacro-sainte définition de la stupidité est de…
faire encore et encore la même chose tout en espérant un résultat différent
Parce que la réalité est là, mon ami, ta souffrance psychologique est une construction mentale. Ça ne veut pas dire qu’elle n’est pas réelle. Elle foutrement réelle pour toi. Elle fait partie de ton histoire, de ton identité. Mais, je t’en supplie, ne la laisse pas diriger ta vie, accepte là et poursuit ta route.
Après une longue escapade dans le labyrinthe de ses souffrances, Lisa a pris sa machette mentale et a commencé à se frayer un chemin vers la libération.
Comment ? En affrontant son passé, tu peux découvrir les détails ici : La résilience, affronter le passé.
Elle a élaboré une stratégie avec moi pour canaliser ses souffrances, transformer ses peurs en courage, et esquisser un sourire authentique.
Peut-être que cela ressemble à une montagne à gravir avec une paire de tongs pour toi maintenant, mais je te jure que une fois la course commencée, tu te rendras compte que ce n’est pas aussi terrible que tu l’imagines.
Et puis, dis-toi bien que une fois que tu te seras confronté à cette montagne, tu pourras enfin retrouver la confiance en toi.
Dénouer les fils de sa souffrance psychologique, c’est comme mener une enquête sur soi. En fouillant dans son passé, Lisa a découvert des pans de sa vie qu’elle ne soupçonnait pas.
Elle a commencé à voir le monde différemment, à le comprendre à travers un prisme de couleur, de lumière plutôt que de ténèbres. Cette libération est possible pour toi aussi.
Alors, mon ami, je te demande : combien de temps veux-tu encore passer à construire des synapses de souffrance au lieu de synapses de joie dans ton cerveau ?
Libère-toi du fardeau de la peur
La peur est une autre chaine qui nous empêche de bouger. C’est littéralement une entrave à ton potentiel. La peur, c’est comme une vieille chaussette puante et humide qu’on garde dans un tiroir fermé. On fait tout pour l’éviter, pour ne pas avoir à la sortir et à l’affronter. C’est confortable de rester dans notre cocon douillet, à éviter tous nos problèmes, sans jamais avoir à les affronter.
Mais mon pote, t’as pas idée de la satisfaction que tu ressens quand tu secoues ces vieux fantômes et que tu vois ces peurs s’éparpiller aux vents. Te retrouver face à face avec ta peur, c’est comme être dans une arène, prêt à affronter un lion. Ça fait flipper au début, mais une fois que tu as dompté la bête, t’as un sentiment de puissance, une fierté immense qui te fait sentir invincible.
Et le truc génial, c’est que le lion n’est qu’illusion. Créé et nourri par notre esprit, il prend sa force de nos propres pensées. Donc, si tu as le courage de regarder, tu vas commencer par voir tes peurs, puis, tout ce qu’il y a à voir au delà : de la joie, de la vie, du bonheur.
En conclusion,
c’est toi qui a le pouvoir de gérer ta peur. Oui, c’est dur et ça fait mal. Mais ne te cache pas derrière des excuses pour ne pas affronter ta peur.
Les escaliers les plus difficiles mènent aux plus belles vues et celle que tu auras une fois que tu auras surmonté ta peur sera sans pareil. Va chercher ta liberté et arrête de porter ce lourd fardeau de peurs qui te ralentit.
Tu mérites de vivre pleinement, de réaliser tous tes rêves. Ne laisse pas la peur te prendre ces opportunités ! Tu as en toi le courage d’affronter tes peurs et de les vaincre.
C’est une bataille que tu peux et tu DOIS gagner. Ne laisse pas la peur décider de ta vie à ta place. Le bonheur est à portée de main si tu es juste prêt à tendre le bras.
Alors, sors de ta zone de confort, affronte tes peurs une à une, dompte ce lion imaginaire qui te fait tant peur. C’est le moment de te libérer de ce fardeau et de vivre pleinement ta vie. Se libérer de la peur, c’est aussi se libérer de ce qui nous limite et
L’oeil du coach
Détache-toi de ces liens psychologiques farfelus
Donc, tu brûles d’envie d’entrer dans le club prisé des masochistes émotionnels, n’est-ce pas, camarade ? Bichonner cette souffrance psychique, la dorloter comme un animal de compagnie affamé.
Eh bien, dis donc, quelle belle idée! Va et plonge dans ce torrent tumultueux de chagrin, au lieu de mettre un pied devant l’autre vers un avenir plus paisible.
Une étude de « Psychotherapy and Psychosomatics » illustre que cette attirance pour l’autodestruction est caractéristique de ceux ayant affronté une enfance rocailleuse, comme la mienne.
Pourtant, laisse-moi te dire qu’il y a une autre direction. Un chemin ensoleillé où tu envoies balader ton misérable fardeau et où tu te délivres de tes liens psychologiques. Oui, c’est ce chemin que tu peux explorer ici.
Plonger et nager dans le lagon de tes souffrances
Imaginons Jean, un de mes clients, adossé à ses douleurs passées comme une bernique à son rocher, incapable de lâcher prise sur son vécu. Aimerais-tu être arc-bouté à ton passé comme Jean, au lieu d’affronter tes démons ?
Ou préférerais-tu empoigner ta peine, la regarder en face et lui dire « C’est terminé, tu ne me contrôles plus » ? Jean l’a fait. Et si lui a pu le faire, tu peux le faire aussi.
Balayer ton fardeau de la peur
La peur. Elle te tient solidement, t’empêche de vivre, de respirer. Mais voilà ce que tu dois faire : la mettre K.O., la regarder tomber et profiter enfin de la liberté qui te tend les bras.
Arriveras-tu à lâcher la peur et choisir la liberté ? C’est le défi que je te lance. Commence aujourd’hui vers ta liberté.
Pour conclure…
Alors, camarade, la question se pose : à quand ta rébellion contre ces chaines psychologiques ? À quand ce plongeon dans le lagon de ta vie, où tu laisseras derrière toi les habits de peur et de douleur pour nager librement vers une future version spectaculaire de toi-même ?
Le bonheur est à ta portée, il suffit de tendre la main.
