Comment faire une vraie pause de temps en temps ? Guide pratique

Là, mec, on cause de t’épuiser jusqu’à la moelle en bossant comme un forcené ou de prendre un vrai break. Tu crois qu’observer des photos de minous sur Insta, c’est une pause ? Grave erreur, mon pote. J’ai vu bon nombre de types qui se sont effondrés parce qu’ils ont cru pouvoir berner leur cerveau. Faire une vraie coupure, c’est pas optionnel, tu piges ? Oublie l’histoire de « j’ai pas le temps » et prends-le. Lâche prise, débranche de ton job. Allez, vas-y, tente l’expérience !
faire une pause

FAIS une vraie pause, ou continue à t’épuiser, c’est ton putain de choix

Allez, avoue-le, camarade. Tu es de ceux qui croient à l’efficacité des pauses de trente secondes entre deux dossiers périlleux, ou entre une réunion Zoom et un rapport annuel à rédiger en vitesse ?

Tu es de ces héroïques travailleurs, qui pensent qu’un coup d’œil rapide à des photos de chat sur Instagram équivaut à un vrai temps de repos ? Si c’est ton cas, je suis ravi de t’annoncer que tu te trompes lourdement.

Parmi mes clients, j’en ai vu des tas essayer de truander leur cerveau comme ça et finir par exploser en vol comme armistice de feu d’artifice.

Ils pensaient pouvoir bidouiller leur besoin de répit, le tordre abusivement jusqu’à le faire rentrer dans une box express de trois minutes top chrono.

Inévitablement, ils se retrouvaient un jour ou l’autre dans mon bureau, vidé, à bout de souffle, déplorant le fait que leur stratégie n’a pas du tout fonctionné.

Le burn-out : tu l’invites, il s’installe tranquille

Tu te dis peut-être à ce moment : « Mais je me sens bien moi, pas de signes alarmants à l’horizon« . Détrompe toi, mon ami, le burnout est un locataire indélicat, il n’envoie pas de préavis avant de s’installer chez toi.

Une étude réalisée par l’Université de Stanford en 2020, a montré que 50% des personnes en situation de burnout ne s’aperçoivent de leur état que lorsqu’elles sont complètement vidé, incapable de recharger les batteries même après une bonne nuit de sommeil.

Et devine quoi ? Je suis persuadé que tu préférerais ne pas rejoindre ce club. La solution ? Faire de vraies pauses.

Je parle de vrais moments pour toi, de 15-20 minutes minimum, où tu te déconnectes totalement de ton environnement de travail. Que tu promènes ton chien, que tu médites ou que tu te lances dans un marathon de cuisine, l’important est que tu largues complétement les amarres.

Maintenant, tu vas me dire : « Je n’ai pas le temps pour ça« . Je te réponds : « Eh bien, mon ami, trouve-le. » On n’a jamais le temps, on le prend. Faire une vraie pause n’est pas un luxe, c’est une nécessité, pour ta santé mentale, pour ta productivité, pour ta vie.

Une bonne pause : qu’est-ce que ça implique concrètement ?

Une bonne pause, c’est une véritable vacance de l’esprit. C’est couper tous les liens avec ce qui ressemble de près ou de loin à du travail.

Pas de mail en embuscade, pas de coup d’œil à ton calendrier sur ton téléphone, rien. Déconnecte ! Oui, tu peux te permettre de fermer l’ordinateur, éteindre le téléphone, exit le stress, bonjour le lâcher prise.

Le véritable repos ne se court-circuite pas, il se vit pleinement. Autrement dit, il faut donner le temps à ton cerveau de faire « reset ». C’est cette véritable rupture qui va permettre à ton cerveau d’émerger de la brume de la fatigue.

Et connais-tu la véritable beauté du repos ? Une fois que tu as libéré ton esprit de la pression du travail, il se met à vagabonder, et là, magic, la créativité se réveille, les nouvelles idées affluent, les solutions apparaissent.

Alors, est-ce que tu es prêt à tenter l’expérience ? Une vraie pause ne se négocie pas, elle se vit pleinement.

Je peux t’assurer, camarade, qu’une fois que tu auras goûté au fruit juteux et revitalisant de la vraie pause, tu ne reviendras jamais en arrière. Pas par contrainte, non, mais parce que tu y trouveras plus que du repos, tu y trouveras ta vie.

Le bureau : ton arène ou ton tombeau ?

Franchement, ta santé vaut bien plus que ces dossiers qui s’empilent sur ton bureau, non ? Malheureusement, on nous a inculqué cette idée folle que pour réussir, il fallait toujours en faire plus.

Et franchement, t’y a cru et t’as plongé tête la première. Au début, ça tournait bien, t’as même eu l’impression de voler. Mais ensuite, la chute. Le problème, c’est que ta chute, tu la vois pas venir.

Tu penses pouvoir t’en sortir en grignotant ton sandwich devant ton ordi, en faisant des micro-pauses entre deux réunions. Mais crois-moi, ça marche pas comme ça.

Le repos, c’est fondamental. Il faut te donner ce temps pour te remettre de tes efforts et te ressourcer. Si tu le fais pas, c’est ton corps qui va le faire à ta place, et ça sera pas beau à voir. J’te parle de fatigue intense, d’irritabilité, de dépression, d’épuisement… Bref, l’effet inverse de ce que tu recherchais par ton acharnement.

Le cercle vicieux de la surchauffe

En conclusion, ton bureau, c’est une arène si tu sais comment l’utiliser, et un tombeau si tu te laisses emporter par le tourbillon du surmenage. Alors, il est temps de faire un choix : soit tu continues dans cette voie qui mène droit à la perte, soit tu décides de prendre en main ta vie et de la rendre plus saine.

Travailler dur, c’est une chose. Mais se donner à fond au point de négliger ta santé, c’est tout simplement de la folie. T’as le choix : tu peux transformer ton bureau en tombeau, ou tu peux en faire une arène où tu vas lutter, certes, mais où tu auras la chance de vivre pleinement.

En réalité, tout repose sur une connaissance profonde de soi. Il faut comprendre tes valeurs, tes motivations, ton « why ». Il faut savoir pourquoi tu fais tout ça. Si tu ne peux pas répondre à cette question, alors il est grand temps de te la poser.

L’oeil du coach

Bois encore une gorgée de café, camarade, fais le plein de fatigue

Je t’imagine bien, cher travailleur, pensant qu’un peu plus de caféine, une autre vidéo de 30 secondes de chatons sur Instagram, te permettra d’enchainer haut la main les réunions à rallonge ! C’est ça ? Tu te résignes à te faire envahir par les ordinateurs, les smartphones et les montagnes de dossiers ?

Et bien, laisse-moi te dire cet accomplissement, cette fuite temporaire dans le monde des chats mignons, n’est rien d’autre qu’une route rapide et fiable vers la saturation mentale, ton cerveau ne s’amuse pas, il crie «SOS». D’ailleurs, Stanford te le confirme, à travers leurs recherches : 50% d’entre nous sont déjà au bord du burnout et ils ne le savent même pas.

Le but ici n’est pas de t’effrayer ! J’aimerais que tu prennes conscience des faits.

Inviter le burn-out, quelle aubaine!

Alors, que dirais-tu de laisser ce club sélectif de chambres d’hôpital ? Ose te l’accorder, des pauses réelles, d’au moins 15 minutes.

Pas un simple tour sur les réseaux sociaux, non. Donnes le temps à ton esprit de décompresser de ce déluge d’information.

Va promener le chien ou lance-toi dans une recette de cuisine, ce ne sera sûrement pas du temps perdu, crois-moi. Tu peux aussi penser à des choses coquines ! Et pourquoi pas ! Imagine toi en train de briser tes tabous, de réaliser tes fantasmes. Crois moi ça délasse, et ça fait un bien fou !

Ta pause, authentique ou fictive?

Ton plein potentiel réside dans la capacité à prendre d’authentiques pauses, à donner à ton cerveau le temps de redémarrer et d’émerger de la brume du burnout. Lorsque tu autorises ton cerveau à errer, tu ouvres la voie à l’innovation et à l’augmentation de la créativité.

La créativité est le fruit de la distraction stressante. Explore donc ce monde, celui du repos, de la détente et de la déconnexion. Fais moi confiance, mon ami. Tu ne regretteras jamais ces dossiers en filigrane.

Est-ce que tu te sens prêt à accepter ce cadeau, ce bonheur gratuit, cette authenticité dans une pause ? Va plus loin. Explore la technique du « Pomodoro » pour stimuler ta productivité : L’art de la pause selon la méthode Pomodoro.

Ton bureau : un champ de bataille ou un cimetière?

Ta mission si tu l’acceptes, sera de transformer ton espace de travail en arme pour ta productivité plutôt qu’en tombeau pour ta santé mentale. Tu choisis quoi, épuisement ou équilibrer ton « Pourquoi » Oser sa voie, oser être soi ?

Alors, courage camarade ! Ta santé mentale en dépend.

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Ce qu’ils disent de moi

Valérie F.

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Un échange humain.

Effectivement, Stephane dépote.

Plus qu’un coaching, c’est un vrai moment de partage d’expérience de la vie, ce qui rend la discussion riche.

Je me suis fait remuer, et je dois dire que si j’étais réticente, au bout du compte, j’en avais besoin.

Valérie F.

Sophie A.

Rated 3,0 out of 5

Il faut aimer se faire bouger. Ce n’est pas toujours agréable, même si tout se passe dans la bonne humeur et avec le sourire.

On ne se fait pas gronder ou engueuler, mais ça remue, ça bouge.

Stéphane n’est pas là pour te laisser dans tes doutes, il te secoue.

Sophie A.

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Ok, t’a confiance s’est fait la malle, partie sans laisser d’adresse, et depuis, tu galères à la moindre difficulté.

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