Accepte ta douleur, la méthode

Alors, t’es là avec ta souffrance qui te casse les pieds ? Et tu fais quoi ? Tu détournes le regard, comme si ça allait la faire partir. Mais moi, je te dis, arrête ton cinéma ! Fais-la cuire comme un pot de Nutella au micro-onde, cette foutue douleur. Accepte-là, déguste-là, apprivoise-là. Elle fait partie de toi, et faire comme si elle existait pas, ça va pas arranger les choses. Bien au contraire. Alors, tu te sens prêt à affronter la bête ? Allez, suis-moi, on va voir comment ça se passe…
accepter la douleur

T’as mal ? Fais-toi le pot de Nutella

Ouaip, c’est bien à toi que je cause. Tu te balades avec cette douleur constante, que tu veux ignorer, balayer du revers de la main. Tu te dis sans doute : « La douleur, elle n’a qu’à bien se tenir! ». T’es comme ça, tu luttes, tu résistes.

Mais tu ressens toujours cette douleur qui te ronge et t’épuise. Ton truc, c’est de jouer les super-héros. Tu te mets un masque, et hop, on n’en parle plus. Mais ce masque, il te va si mal !

Il faut que tu piges une chose : cette douleur, cette satanée douleur, elle ne va pas se volatiliser dans la nature, même si tu la largues en rase campagne à des kilomètres de chez toi. Elle va revenir et peut-être même te rendre encore plus malade. Mais alors, qu’est-ce que tu peux y faire ? La solution, mon pote, s’appelle « l’acceptation ».

L’acceptation, c’est quoi ? C’est comme quand tu découvres à la dernière cuillère qu’il ne reste plus de Nutella et que la vie continue quand même. C’est pas une reddition, c’est pas devenir copain-copain avec ton mal. Non, c’est juste prendre acte. C’est dire : « Ok, j’ai mal. Ça fait partie de moi, pour l’instant. À présent, comment je peux vivre avec ? »

Éteins la radio, écoute la musique

Par exemple, t’as déjà vu ces vieux rockeurs, avec leurs chevilles en vrac, leur dos qui grince, qui continuent à sauter partout comme si de rien n’était ? Ces mecs, ils ont appris à vivre sur le dance floor avec leur douleur. Ils savent qu’elle est là, mais ils la laissent pas guider la danse.

Bon, c’est pas un truc qui vient du jour au lendemain. Faut du temps, faut du courage, faut des ratés aussi. Mais une fois que tu as compris l’idée, une fois que tu as décidé de pas laisser la douleur être le DJ de ta vie, alors tu peux faire péter la musique.

Tu sais, quand on a une radio allumée en même temps qu’on écoute un album qui déchire, au début, on est perturbé par le bruit de la radio. Mais si tu concentres toute ton attention sur la musique, au bout d’un moment, tu finis par oublier la radio. Elle est toujours là, elle crache toujours ses ondes, mais toi, tu es ailleurs, tu es dans la musique. Et la radio, tu t’en fous.

Prends aussi comme exemple un grand yogi. Le gars se plante des aiguilles, il marche sur des braises, et il a l’air aussi détendu que si tu lui avais servi une tasse de camomille. C’est parce qu’il a appris à accepter sa douleur, à lui dire : « Ok, t’es là. Mais c’est moi qui mène la danse, et pas toi. »

Alors, tu vois, la douleur, c’est pas un truc à fuir, à renier, à détester. La douleur, même la plus forte, peut être acceptée. C’est un message que ton corps t’envoie. Le but n’est pas de le zapper comme un message instantané sur ton smartphone, mais de l’écouter, de comprendre ce qu’il veut te dire, et d’y faire face.

Alors oui, accepter la douleur, c’est loin d’être une partie de plaisir. Ça demande de la patience, de la résilience, de la force. Mais une fois que tu l’auras acceptée, tu te rendras compte qu’elle n’a pas le dernier mot dans ta vie. C’est toi qui décides. C’est toi le boss.

En bref, l’acceptation de la douleur, c’est ne plus te battre contre elle, mais avec elle. C’est transformer un ennemi en allié, pour pouvoir avancer ensemble, et continuer à kiffer la vie… avec ou sans Nutella.

La cause et les conséquences du masque

Entre nous, ce qui te pousse à porter ce masque, c’est la peur, non ? T’as peur de quoi au juste ? D’admettre que tu souffres ? De perdre ton image de dur à cuire ? De montrer ta vulnérabilité ? C’est normal, on passe tous par là.

On ne veut pas être perçus comme des faibles, on veut continuer à être ce super-héros dont tout le monde admire la force et la résistance.

Mais c’est là que se trouve le problème. En refusant d’accepter notre douleur, on se condamne à souffrir plus longtemps et plus intensément.

La conséquence ? On s’épuise, on se fragilise, on se rend malade. Et notre vie devient un combat permanent et épuisant contre quelque chose qu’on a du mal à comprendre et à contrôler.

Acceptation et résilience

En revanche, si tu acceptes ta douleur, si tu la laisses exister, si tu les traîtes avec respect et bienveillance, alors les choses changent.

L’acceptation crée un espace, une distance entre toi et ta douleur. Avec cette distance, tu peux alors observer ta douleur et non plus te battre contre elle.

Tu comprends pourquoi tu as mal, tu comprends ce qui te fait mal et tu peux alors chercher des solutions pour apprendre à vivre avec ou pour soulager cette douleur.

La résilience, c’est justement cette capacité à rebondir malgré la douleur. C’est un processus, c’est une force qui demande du courage, de la patience et de la volonté. C’est pas magique, c’est pas instantané. Mais c’est libérateur.

L’allié dans ta douleur

La douleur peut devenir un allié. Le jour où tu comprends cela, tu changes la donne. Ton masque tombe, ta peur disparaît. Tu te dégages de la contrainte de faire semblant constamment. Tu acceptes ta réalité, beaucoup plus riche et complexe que cette image de super-héros que tu t’échinais à maintenir.

Ce n’est pas une défaite, au contraire. C’est une victoire sur toi-même, sur ta peur, sur la vie en somme. Tu cesses de fuir, tu fais face et tu avances. C’est pas toujours facile, c’est souvent douloureux, mais c’est réel.

Et le meilleur dans tout ça ? Quand tu acceptes ta douleur, tu te rends compte que tu peux vraiment avancer, vraiment évoluer, que tout n’est pas figé. Tu deviens plus fort, plus résilient, plus authentique.

Alors, prêt à changer le game ?

Bon, alors, t’es prêt à enlever ton putain masque de super-héros et à vraiment vivre ta vie ? À accepter tes blessures et tes douleurs et à en faire tes alliés plutôt que tes ennemis ? Prêt à transformer ta douleur en défi et en opportunité de grandir et d’avancer ?

Si tu es prêt à changer, à commencer à vivre pleinement, alors lance-toi. Accepte la douleur, écoute-la, comprends-la, et change de musique. Et rappelle-toi, la douleur n’est pas ton ennemi. Elle est juste un autre aspect de la vie qu’il faut apprendre à soprano. Et toi, t’es le boss de ta vie, alors vis-la à fond, avec ou sans Nutella.

En conclusion

Oui, porter un masque peut te rassurer, te donner l’impression de contrôle, te protéger de la douleur. Mais t’as vu où ça t’a mené ? Si tu continues à l’enfiler, c’est toi qui décides de rester dans ce malaise, cette douleur. Tu te limites, tu te condamnes à une vie qui ne te satisfait pas, à des relations superficielles. Alors ouais, c’est flippant d’enlever ce fichu masque. Mais dis-toi que plus tu attends, plus ce sera difficile.

Fais le premier pas, fais-le pour toi. Commence par accepter ta douleur, puis traite-la avec respect et bienveillance. C’est le seul moyen de découvrir ce qui se cache derrière et de trouver des moyens pour l’apaiser.

Maintenant que tu sais ça, t’es armé pour te lancer et commencer à changer ta vie. Ose être toi-même, sans masque. Accepte ta réalité, embrasse-la, et tu verras que tu peux en faire une force pour avancer. Ne laisse pas ta peur te contrôler, c’est toi le boss ici. Alors, hop, tu te bouges et tu prends ta vie en main, avec ou sans masque! Et penses à te munir d’un pot de Nutella, ça aide toujours!

L’oeil du coach

Suis tu ces conseils camarade, l’acceptation de ta douleur ? En arrêtant de te cacher derrière une façade de super-héros, tu pourrais affronter et accepter ta douleur de manière constructive.

Psychologiquement parlant, c’est connu comme l’approche de l’acceptation et de l’engagement, basée sur les travaux de Steven C. Hayes, un professeur éminent de psychologie à l’Université du Nevada. Ses recherches démontrent que quand on arrête de se battre contre la douleur et qu’on l’accepte, on crée un espace pour avancer.

Lutter constamment contre la douleur ne fait qu’augmenter le stress et l’anxiété, c’est scientifiquement prouvé. Dans une étude publiée dans le Journal of Behavioral Medicine, les chercheurs ont observé que ceux qui refusent d’accepter leur douleur finissent par avoir des niveaux de stress plus élevés.

Lutter éternellement contre la douleur peut aussi conduire à l’épuisement émotionnel, ou ce que les psychologues appellent souvent le «burnout».

Alors, pourquoi ne pas essayer une nouvelle approche? Commence par reconnaître ta douleur : elle fait partie intégrante de l’expérience humaine. En l’acceptant et en lui permettant d’exister, tu ouvres un chemin pour la comprendre et chercher des solutions pour vivre avec ou pour l’apaiser.

D’ailleurs, la recherche suggère que l’acceptation de la douleur peut mener à une résilience accrue. C’est un processus d’adaptation positive face à l’adversité, comme l’ont démontré plusieurs études, notamment celles du Dr Alex Linley, un psychologue britannique spécialiste de la psychologie positive.

Ce que tu dois bien comprendre, c’est que la douleur n’est pas notre ennemi, mais juste un aspect de la vie à apprendre à maîtriser. En acceptant de vivre avec, la douleur peut devenir un allié précieux pour avancer.

Alors, prépare toi à prendre ce courage à deux mains, à enlever ton masque de super-héros et vive ta vie à fond. C’est toi le boss ici, avec ou sans Nutella. Fais toi cette promesse aujourd’hui : prendre ta vie en main, accepter la douleur et voir comment elle peut devenir un allié et non un ennemi.

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Ce qu’ils disent de moi

Valérie F.

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Un échange humain.

Effectivement, Stephane dépote.

Plus qu’un coaching, c’est un vrai moment de partage d’expérience de la vie, ce qui rend la discussion riche.

Je me suis fait remuer, et je dois dire que si j’étais réticente, au bout du compte, j’en avais besoin.

Valérie F.

Sophie A.

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Il faut aimer se faire bouger. Ce n’est pas toujours agréable, même si tout se passe dans la bonne humeur et avec le sourire.

On ne se fait pas gronder ou engueuler, mais ça remue, ça bouge.

Stéphane n’est pas là pour te laisser dans tes doutes, il te secoue.

Sophie A.

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