Satisfaire de peu, une philosophie de vie
Allez, camarade, on parle vrai, tout schuss. Tu veux de la réussite, des paillettes, des dollars par charrettes. Tu trimes, te consumes, et pour quoi ? Pour ce match de la vie dans ce stade qu’on appelle la société.
Mais au final, qu’est-ce qui dit que ramasser du blé est le seul symbole de réussite ?
Ecoute, je n’invente pas l’eau chaude. Moi, malgré mes deux infarctus, j’ai appris à valoriser ce que j’ai, même si à première vue, c’est pas grand chose quand je vois les « coachs » publier leur photos depuis Dubaï, alors que je suis dans le Nord (:
Ne te méprends pas, ce n’est pas parler d’échec. C’est juste voir autrement. Rater le coche des standards de réussite ne signifie pas être bredouille de bonheur.
Avec un rien, j’ai fait de mon fardeau un matériau de construction. J’ai retourné la situation comme une crêpe. Ah oui, camarade, j’ai eu des galères. Tu crois vraiment que les brumes de l’alcool d’une mère toxique ou les éclats d’une vie chaotique sont des cadeaux ? Non, ils sont des épreuves mais aussi des chances.
Libérer tes chaînes grâce à ta perception
Alors, toi aussi, plonge dans la marmite. Bouge ton popotin. Sors de ta zone de confort. Tu as zéro en banque ? Echec professionnel ? Peu de ces atouts qui font frétiller la société ? No problemo, camarade, qui t’a dit que ça définissait ton existence ? Fais comme Mère Theresa, qui, malgré le dénuement le plus complet, avait une richesse intérieure plus éblouissante que tous ces putains d’influenceurs réuni !.
Ce qui compte, c’est la vision que tu as des choses. Tu peux voir un caillou ou une pépite, mon ami. Rien ne t’oblige à coller aux standards de réussite qu’on t’a inculqués. Un zéro en banque peut être un signe de liberté financière, pas de dettes, c’est pas déjà une belle récompense ?
Et l’échec professionnel ? Pense au livre de J.K. Rowling, « Harry Potter ». Refusé par douze éditeurs. Des échecs à la pelle. Au final, ils ont raté le train de la réussite, pas elle. L’erreur de parcours est une leçon, pas une sentence.
Réveille-toi, mon gars ! Il n’y a pas de réussite homogène, il y a ta réussite, celle qui te fait vibrer, même si elle ne fait pas bouger ton compte en banque !
Crois-moi, réussir à surmonter les donjons de ton passé comme j’ai fait des miens est une vraie odysée. Mon infarctus n’est pas ma défaite, c’est mon phénix. J’ai survécu, donc je suis un héros du quotidien.
Sors de la matrice. Planque les cahiers de normes au placard. Tu n’as pas besoin de prouver ta valeur par des acquisitions matérielles. La liberté, l’audace, c’est de tracer ta voie, même si elle n’est pas pavée d’or.
Dans une étude de 2021 parue dans Harvard Business Review, des chercheurs ont montré que la définition individuelle du succès était plus gratifiante à long terme que celle imposée par la société. Ces gens se sont satisfaits de ce qu’ils avaient, même si c’était peu.
C’est ainsi, camarade, qu’on retrouve la joie, le désir, le sourire. Crois-moi, ces trois pépites surclassent n’importe quel lingot d’or. Vas-y, creuse, sors ta pioche mental et commence ta quête.
Apprends à te satisfaire de ce que tu as, même si c’est peu. Ce n’est pas le montant de ta banque qui valorise ta vie, c’est la force de vie en toi. Apprends à reconnaître ton propre trésor, celui que tu portes en toi, et qui ne dépend d’aucune possession matérielle ou d’aucune approbation extérieure.
Avec ça en tête, camarade, tu peux affronter chaque défi qui se présente sur la route de ton existence. Et crois-moi, il n’y a rien de plus précieux que cette certitude au fond de toi. Rien de plus précieux que la richesse de ta propre vie. Alors, fais comme moi, trace ta route, avec tes propres cartes et ton propre trésor.
Après tout, pourquoi se contenter de courir après des chimères lorsque l’on peut construire son propre paradis intérieur ?
Alors lève-toi et trace ta route, comme je l’ai fait. Et n’oublie jamais : chaque jour est une nouvelle page à ajouter à l’épopée de ta vie.
Et maintenant, va, mon ami. L’univers attend ta marque. Aussi petite soit-elle, elle a sa valeur, elle compte. Ton parcours compte, tes choix, tes expériences, ton passé, ton présent et ton futur. Tout cela, c’est toi.
Et te dire que c’est rien, c’est ignorer la richesse de ta propre vie. Alors, prends ton courage à deux mains, et avance.
Règle d’or : n’attends pas d’avoir plus pour t’épanouir. Ce que tu as déjà, c’est tout ce dont tu as besoin pour construire la vie qui te ressemble.
L’échec comme moteur de vérité
Je vais te le dire, pas de chichis. Dans cette drôle de vie, tu vas te ramasser. Plus d’une fois. Par contre, tu ne dois jamais te sentir nul par rapport à ça. Apprends à te pardonner pour tes erreurs, cela va te permettre d’apprendre, te libérer, et te donner la capacité d’avancer.
L’échec, c’est l’aiguille sur ta boussole. C’est ce qui pointe vers ta vérité. Ça te bouscule, t’ébroue, et te fait comprendre que là où tu es n’est pas là où tu dois être. Tu comprends ? L’échec n’est pas ton ennemi, c’est ton guide.
Imagine Gandhi ou Mandela, en costard-cravate, entourés d’une brigade de courtisans. Ça ne colle pas, hein? Ils ont morflé, ont connu l’échec, mais ils ont sculpté l’histoire à leur façon. Ils sont restés vrais.
C’est pareil pour toi. Vis ta vérité, même si elle ne plaît pas à la galerie. Tu n’as pas besoin du dernier iPhone ou de la plus grosse Audi pour clamer que tu existes. Tu existes et tu es valable, avec ou sans écrans tactiles, et ça personne ne peut te le retirer.
Tes objectifs à toi, pas ceux des autres
Alors, comment faire pour satisfaire de peu et voir grand dans cette aventure qu’est la vie ? Commence par redéfinir ce qui compte vraiment pour toi. Ce n’est pas une question de renoncement mais de choix conscients. C’est décider de ne pas laisser la société dicter tes besoins et tes désirs.
Premier pas : fais l’inventaire de ta vie. Qu’est-ce qui te rend vraiment heureux ? La réponse ne se trouve pas dans le matériel, mais dans les expériences, les relations, les passions. Ces moments où tu te sens vivant, pas ceux où tu comptes tes possessions.
Ensuite, apprends à apprécier les petites choses. Un coucher de soleil, le rire d’un enfant, une conversation profonde avec un ami. La beauté est partout, si tu prends le temps de la regarder. La satisfaction de peu, c’est ça. C’est reconnaître la richesse dans la simplicité.
Et puis, il y a la résilience. L’échec t’apprendra cela mieux que n’importe quel succès. Chaque chute est une leçon, chaque rejet une direction vers quelque chose de nouveau. Embrasse ces moments, car ils forgeront en toi une force incroyable.
Ne sous-estime jamais le pouvoir de donner. Dans cette quête de simplicité, tu découvriras que partager avec les autres t’apporte plus de joie que de posséder. Que ce soit ton temps, ton énergie ou tes ressources, donner te rappelle que tu es une partie d’un tout plus grand.
Finalement, vis avec intention. Chaque choix, chaque action devrait refléter tes vraies valeurs et aspirations. Cela signifie parfois dire non aux distractions, aux tentations éphémères, pour dire oui à ce qui nourrit réellement ton âme.
Alors, tu vois, satisfaire de peu n’est pas une privation. C’est un enrichissement. C’est choisir de ne pas être enchaîné par le désir de toujours plus, mais de trouver la liberté dans le contentement de ce que tu as déjà. C’est là, dans ce choix, que tu découvriras une vie pleine de sens, d’aventure et de vérité.
En conclusion
C’est difficile, je sais, mais tu en tireras toujours quelque chose. Chaque déception te rapproche un peu plus de ta vérité. C’est ça le truc.
Et si tu sembles t’écarter du chemin que la société a tracé pour toi, et bien tant mieux! Pourquoi? Parce que t’es en train de tracer le tien. Et à la fin de la journée, qu’est-ce qui vaut mieux? Suivre le troupeau ou suivre ta vérité?
C’est clair que les chaînes du matérialisme sont tentantes. Elles brillent de mille feux, promettent le bonheur instantané, seulement, elles sont vides de sens. C’est un mirage, un leurre. Ce dernier iPhone ou cette grosse Audi ne te combleront pas, crois-moi.
Alors, lâche un peu ce foutu téléphone, oublie cette Audi. Cherche tes valeurs, ton pourquoi. Tu verras, rien n’est plus fort que de connaître ses objectifs profonds dans la vie et d’aligner ses actions pour les atteindre.
Très bien, donne-toi une tape dans le dos, camarade. Tu crois que la réussite, c’est accumuler des biens, et frimer devant ceux qui de toute façon, s’en fichent. Oui, s’en fichent. Je canarde, je sais… mais tu as besoin d’une bonne claque mentale.
L’oeil du coach
T’as cramé tes journées, même tes congés pour obtenir quoi au final ? Être le clone parfait du voisin ? Faire la course aux biens avec lui ?
Regarde-moi. Mon passé, entre une mère toxique, deux infarctus et des choix destructeurs est loin d’être gracieux et pourtant, j’y ai trouvé ma richesse. Une richesse de vie, une richesse d’âme.
Change ta perspective, camarade. Ta réussite n’est pas celle du voisin, de la société. C’est la tienne. Mon infarctus a été mon phœnix, pourquoi ton échec professionnel, ton zéro en banque ne serait-il pas ton tremplin ?
Réalise-le : la vérité, ton vrai toi, est dans ta perception. Normaliser ta vie sur le modèle de quelqu’un d’autre, c’est te départir de ton essence. Allez, tire le rideau sur cette sociabilité factice. Oui, je sais, t’es en mode panique. « Quoi, réussir sans i-Phone dernière version ni voiture qui crache des flammes ? »
Justement, J.K. Rowling, grâce à son échec professionnel a été l’auteure la plus vendue du 21e siècle. Pourquoi est-ce impossible pour toi ?
La liberté de vivre pleinement
Place à ta vision, ta définition personnelle de la réussite. En 2021, une recherche publiée dans la Harvard Business Review a informé que la définition individuelle du succès surpasse celle de la société pour le bien-être à long terme. Souviens t’en quand tu chercheras les cartes aux trésors dictées par la société.
Alors camarade, trace ta propre route vers ton paradis intérieur. Ne cours pas après des fantômes, mais construis ta vie, ta vérité, avec tes propres cartes et ton propre trésor. Pour plus d’inspiration, découvre ton propre why.
