Pourquoi la prise de conscience de ton problème peut t’effrayer et te paralyser

Pssst, happy de te voir, beau luron! On va causer de quelque chose qui nous fout tous les chocottes, les problèmes. Ces bestioles qui donnent envie de se planquer sous la couette et d’espérer qu’elles disparaîtront par magie. Eh ouais, c’est flippant d’avoir à les affronter. Alors on joue à l’autruche et on fait comme si tout baignait. Mais entre nous, faut savoir faire face à ces sales bêtes. C’est dur, c’est vrai, mais c’est le premier pas pour corriger le tir, capito?
accepter ses problemes

T’es trop fort pour regarder ton problème en face?

Vas-y, crois-moi, y a rien de plus flippant que de se retrouver nez à nez avec son problème.

T’espérais peut-être que ça allait disparaître tout seul, que ça allait se résoudre miraculeusement. Tu vois bien que quelque chose ne tourne pas rond. Mais nom de nom, tu restes là, tétanisé à l’idée d’ouvrir cette boîte de Pandore. Pourquoi? Parce que t’as peur de ce que tu vas tomber sur quoi ?

Et là, tu te dis que c’est plus facile de faire l’autruche, de faire semblant que tout va bien. On est tous passés par là, crois-moi. Y a rien de honteux, c’est humain, t’imagines bien.

Mais laisse-moi te dire une chose :

le premier pas pour résoudre un problème, c’est de l’admettre, c’est de voir qu’il est là.

Moi, ton Coach

On n’a jamais dit que ce serait facile. Au contraire, c’est même super dur.

Mais y a pas de honte à avoir, y a pas de faiblesse dans le fait de se dire qu’on a un souci. C’est au contraire super courageux de ta part.

Pourquoi ça te paralyse autant, ce truc?

Bon, on a compris maintenant que ton problème te fiche la pétoche. Mais pourquoi ça te paralyse tant? En fait, c’est un peu comme si tu étais coincé sur une voie ferrée avec un train qui arrive à toute blinde. C’est super flippant: tu sais que tu ne peux pas rester là, que tu dois bouger. Mais t’es paralysé par la peur.

Cette paralysie, c’est ton cerveau qui te protège. Il préfère te tenir à l’écart de ce qui pourrait te faire du mal. Alors oui, c’est un peu brutal comme méthode, mais il n’a pas tellement le choix. Si tu ne veux pas regarder ton problème, si tu ne veux pas l’affronter, il va faire en sorte que tu restes bloqué là, même si ce n’est pas la meilleure option.

C’est là que le bât blesse : tu es coincé entre ton envie de fuir ce qui te fait peur et ton besoin de régler ça pour avancer dans ta vie.

Et crois-moi, rester bloquer n’est pas une solution. À un moment donné, tu vas devoir affronter cette peur pour pouvoir avancer.

Mais ouais, je comprends que tu te dises que c’est trop dur, que tu n’y arriveras pas. C’est normal de penser ça. Seulement, je vais te dire une chose: tu es plus fort que tu ne le crois. Tu as la capacité réelle d’affronter ton problème et de vaincre ta peur.

Car tu sais quoi? Prendre conscience de ton problème, ce n’est pas prendre une claque en plein visage. Non, bien au contraire, c’est te donner une chance d’agir. C’est te donner le pouvoir de te libérer de ce qui t’entrave depuis si longtemps.

En gros, regarder son problème en face, c’est aussi faire preuve de courage. C’est choisir d’être actif et non plus passif. C’est choisir de ne plus se laisser diriger par sa peur, mais bien de la combattre.

J’ai mis des années à trouver la force de regarder mon passé, de regarder mon passé en face. Oui, j’en ai chié. Grandir à l’ombre d’une mère toxique, c’était déjà un défi, une épreuve. Et puis, attendre encore des années une fois sorti de là, c’était pas la bonne idée. Alors, quand j’ai ouvert la boite, putain… Mais je savais qu’il fallait que je le fasse enfin.

Si je peux permettre, n’attends pas des années, ni même des mois. Car plus attends, plus c’est dur. La souffrance de l’épreuve suffit déjà bien, pas la peine d’en rajouter. Enfin, c’est toi qui voit. Après tout, t’as peut-être envie de te faire vraiment mal (je taquine, je taquine).

Arrête de camper dans ta zone de confort !

Tu te demandes probablement pourquoi je fais le dur avec toi? C’est pas pour te prendre la tête, c’est pour te donner un coup de pied au cul. On a tous nos propres histoires, nos fantômes, nos tracas.

Mais regarde toi, t’es pas sans ressources. Tu apprends, tu grandis, tu peux soulever des montagnes si tu le veux. Alors arrête de camper dans ta zone de confort, tu sais pertinemment qu’il n’y a rien de bon qui t’attend là.

C’est pas en te voilant la face que tu vas résoudre tes problèmes. Non, il faut que tu te secoues, que tu te bouges l’arrière-train. Je sais bien que c’est plus facile à dire qu’à faire.

Je sais bien que ton problème semble gigantesque, qu’il éclipse tout le reste. Mais c’est pas en te planquant derrière que tu vas le vaincre. Faut que tu affrontes ton monstre, c’est la seule façon de le dégager de ta route.

Ouais, mais c’est pas facile

Ah ! Qui a dit que ça le serait ? Pas moi. C’est vrai que toi, moi, tous, nous sommes abreuvés par la pub qui nous promet des solutions miracles, ou au moins, rapide, facile et sans effort. Ça fait envie hein !

T’imagines, ton pervers narcissique, problème réglé en une vidéo YouTube ! Pouf !

Les boulets du passé, les parents toxiques, le chantage affectif, et hop, aussi vite résolu qu’on avale un verre de soda.

Ah oui, ça fait envie. C’est du marketing. Et le marketing, c’est pas la vie. Non. Pas du tout. Pour tout ce qui touche à l’âme, à l’esprit, faut bosser. Les livres, les programmes en ligne, les vidéos, ce sont de très bon supports. Ca ne t’exonère pas de bosser.

Il te suffit pas de faire tes courses chez Lidl ou Aldi pour être riche, de porter un parfum Hugo Boss pour plier le monde à tes règles, d’utiliser du L’Oréal pour avoir une bonne estime de toi.

Pour autant, tu peux te trouver des excuses, tu peux te planquer, te faire tout petit et prier très fort pour que tes démons te laissent en paix.

Entre toi et moi, tu sais que c’est un vœu pieux. Parce que tu sais qu’ils sont là.

De toutes les façons, t’es dedans, et va falloir en sortir. De toutes les façons, ça existe, et va bien falloir l’accepter, parce que tu en souffres.

C’est pas te faire la morale. Tu préférais entendre que c’est pas grave, que ça va s’arranger, que ça va aller. Ouais, moi aussi. Mais ça… Toi-même, tu sais.

Hey, j’ai une bonne nouvelle pour toi. Tu sais quoi ? Bah…

T’as déjà fait le plus dur !

Oui tu m’as bien lu ! Là t’es en train de lire ça, ça veut dire que tu réalises que t’as un souci. Eh bah, bravo! C’est déjà ça de fait. Tu commences à comprendre qu’un problème, c’est pas une fatalité. Tu peux être l’auteur de ta vie, t’as choisi de combattre. C’est déjà un énorme pas en avant, crois-moi.

Toute objectif, aussi énorme soit-il, est atteignable en découpant ça en petites tâches. C’est pareil pour résoudre ton problème. Commence par des étapes faciles, histoire de pas te démotiver tout de suite. Ensuite, petit à petit, ça deviendra plus simple. Tu verras, le reste suivra.

Joue la carte de l’audace !

Mais surtout, surtout, joue la carte de l’audace, camarade! Prends des risques, sors de ta coquille. Et qui sait, peut-être que tu trouveras de nouvelles forces que tu ne soupçonnais pas. Peut-être que tu rencontreras des gens qui te comprendront et te donneront un coup de main.

Ne laisse pas les doutes et les craintes te contrôler. Tu vaux bien mieux que ça ! La vie n’est pas une succession de problèmes, c’est une succession de défis. Alors relève la tête, serre les poings et affronte ton problème.

En conclusion

Fini de jouer les autruches, mon pote. Tu dois prendre tes problèmes à bras-le-corps. C’est normal d’avoir peur, c’est humain. Mais la vraie force, c’est de transformer cette peur en une volonté de fer de bousculer le destin.

Crois-moi, il n’y a rien de plus libérateur que de sortir de cette neutralité soporifique qu’est ta zone de confort, surtout quand tu es dans la douleur. Alors, oui, ça va faire mal, ça va secouer…mais après la pluie vient le beau temps, c’est pas moi qui l’ai inventé.

Tu sais, personne n’a la solution miracle, tu es le seul à détenir la clé. Alors, stop d’attendre que ça tombe du ciel ! Il faut que tu te secoues, que tu agisses à ta manière, avec tes moyens. Un pas après l’autre, à ton rythme. Peut-être te planteras-tu quelques fois, mais l’échec n’est qu’un apprentissage, un pas de plus vers la victoire.

Alors, fous-toi un coup de pied au cul, et avance. En affrontant tes problèmes, tu affrontes ta peur, et tu découvriras ta vraie nature. Et je te parie que tu seras étonné de la puissance que tu as en toi.

Ne laisse pas ta vie te passer sous le nez. Arrête de camper dans ta zone de confort et fais un pas vers l’aventure. Le courage, l’audace, l’initiative… voilà les clés qui ouvriront les portes de ta liberté. Allez, hop! On se bouge, on se secoue ! Vas-y, lance-toi ! Tu m’en diras des nouvelles.

L’oeil du coach

Il est commun de faire face à des problèmes qui semblent insurmontables. Ces situations ont l’habitude de nous paralyser, et notre première réaction naturelle est souvent de les éviter. C’est une construction de notre psychologie, notre cerveau encourage l’évitement car il a évolutionnairement appris que c’est une stratégie efficace pour gérer les menaces immédiates. Pourtant, cette approche n’est pas toujours la meilleure.

Selon des études en psychologie, éviter nos problèmes peut souvent mener à leur exacerbation. En réalité, l’évitement peut amplifier nos angoisses plutôt que de les atténuer. Tu vois, c’est un peu comme donner à ton cerveau le mauvais entraînement. À force de fuir, il comprend que le danger est réel, et la peur s’ancre encore plus profondément.

Alors, devant ce constat, que faire? La réponse est dans le courage de regarder ton problème en face. Point besoin de le régler du jour au lendemain, il est même préférable d’y aller étape par étape.

La thérapie d’acceptation et d’engagement nous apprend cela : reconnaître la situation, accepter l’inconfort et avancer en dépit de ceux-ci. C’est une démarche qui nécessite du courage mais qui, selon de nombreuses études, est efficace pour surmonter les peurs et les angoisses.

Il y a une véritable puissance dans le fait d’admettre qu’un problème existe, et que tu en es affecté. C’est un pas courageux vers la résolution de tes problèmes.

Confronter ses peurs, cela signifie aussi se débarrasser du poids qu’elles représentent. D’une certaine manière, accepter de faire face à ton problème, c’est aussi te donner le pouvoir de le vaincre.

Alors, ne sois pas trop dur avec toi-même. T’es humain, t’as le droit d’avoir peur. Mais n’oublie pas, t’as aussi en toi la force de surmonter ces défis. Ça ne signifie pas que le chemin sera facile, mais chaque pas que tu fais vers ton problème est une victoire en soi.

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Ce qu’ils disent de moi

Valérie F.

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Un échange humain.

Effectivement, Stephane dépote.

Plus qu’un coaching, c’est un vrai moment de partage d’expérience de la vie, ce qui rend la discussion riche.

Je me suis fait remuer, et je dois dire que si j’étais réticente, au bout du compte, j’en avais besoin.

Valérie F.

Sophie A.

Rated 3,0 out of 5

Il faut aimer se faire bouger. Ce n’est pas toujours agréable, même si tout se passe dans la bonne humeur et avec le sourire.

On ne se fait pas gronder ou engueuler, mais ça remue, ça bouge.

Stéphane n’est pas là pour te laisser dans tes doutes, il te secoue.

Sophie A.

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