Pourquoi aimes-tu te compliquer la vie ? Explication et solutions

T’as déjà remarqué comme on aime se compliquer la vie ? On a bien beau se lever avec de bonnes résolutions, décider de prendre le chemin le plus facile pour une fois mais non. On finit toujours par l’embrouille. A se créer des obstacles, à organiser des plans dignes du cinéma. Pourquoi on se fourre toujours dans des galères pas possibles ? Pour l’adrénaline ? Par besoin de reconnaissance ? Ou peut-être juste parce que c’est plus croustillant ainsi ?
pourquoi se compliquer la vie

Se compliquer la vie, une lubie universelle ?

Tu sauras sans doute de quoi je parle. Tu te lèves un bon matin, prêt à conquérir le monde. Aujourd’hui, tu as décidé : c’est fini les galères ! Tu vas garder les choses simples, tu vas suivre le chemin le plus court.

Mais, paf ! À peine trois heures plus tard, te voilà dans une embrouille monumentale. Et tout ça pour quoi ? Parce qu’on adore se compliquer la vie, c’est aussi simple que ça, ou plutôt, pas si simple !

Alors, pourquoi on aime tellement s’emmêler les pinceaux ? Je crois bien que c’est un truc qu’on a tous en commun. C’est comme si on trouvait que la vie n’est pas assez corsée alors, on se fabrique des embrouilles, on tricote des complications, on monte des plans à la Océan’s Eleven…

Tout ça pour arriver au même résultat, mais avec un trajet bien plus tortueux et épuisant. C’est comme choisir de grimper l’Everest alors qu’on avait juste à passer par le tunnel pour arriver de l’autre côté de la montagne.

La quête d’adrénaline et le besoin de reconnaissance

Peut-être qu’on aime se compliquer la vie parce qu’on est en quête constante d’adrénaline. T’as remarqué ? Quand tout roule, quand tout est trop lisse, on s’ennuie. On cherche à mettre un peu de piment, à sentir que oui, on est vivants ! Et pour ça, quoi de mieux que de se mettre des bâtons dans les roues ?

Et puis, il y a cette étrange satisfaction quand, après avoir galéré, après avoir pensé cent fois « mais pourquoi j’ai fait ça ? », on arrive enfin à réussir. On se tape une fierté pas possible, on fanfaronne, on se sent plus grand, plus fort.

Est-ce que ce n’est pas pour ça qu’on aime se compliquer la vie ? Pour pouvoir dire « c’était dur, mais j’y suis arrivé ». Pour montrer aux autres, et à nous-mêmes, de quoi on est capable.

En parallèle, il y a aussi cette notion de mérite. On a l’impression que si on a pas galéré, si on n’a pas dû grimper une montagne pour obtenir ce qu’on veut, alors ça ne vaut rien. C’est comme si on avait besoin de payer un certain prix, de prouver qu’on mérite ce que l’on obtient.

Mais au fond de nous, on sait que tout ça sonne faux. On sait que se compliquer la vie ne nous mène nulle part, ne nous rend pas plus heureux. Mais bon, on continue quand même, parce qu’après tout, c’est peut-être ça qui donne du sel à notre vie, qui la rend plus vivante, plus authentique.

La vérité, c’est que tu peux te simplifier la vie autant que tu veux, mais il sera toujours plus excitant de prendre les chemins sinueux et périlleux. Parce qu au bout du compte, on adore se compliquer la vie. On adore le défi, le risque, le suspense. Alors, je te laisse, j’ai un Everest à gravir !

D’une montagne à l’autre

C’est vrai, j’ai un Everest à gravir, et bien sûr, tu te demandes : pourquoi ne pas emprunter le tunnel ? Oh, pote, quand t’aura compris ça, tu comprendras à quel point on aime se rendre coupables d’auto-sabotage.

Regarde, par exemple, t’as une idée claire de comment réaliser ton projet, ça pourrait être aussi simple qu’un pas après l’autre. Mais non, tu choisis de sauter trois étapes, te rendant ainsi la tâche trois fois plus difficile. Pourquoi ? Mystère ! Peut-être parce qu’on aime la difficulté, le challenge, l’échec avant la gloire… Ou peut-être qu’on kiffe juste sentir nos veines pulsées d’adrénaline. Qui sait ?

Et ça s’arrête pas là, car y a aussi toutes ces fois, où tu t’es mis des barrières toi-même. Tu te convaincs déjà d’échouer avant même d’avoir commencé. On est experts pour s’inventer des obstacles là où il n’y en a pas. On complique les choses nous-mêmes, comme si on était programmés pour ça.

Pensée diverses et variées

Est-ce du masochisme ? Peut-être. Est-ce qu’on aime souffrir ? Pas sûr. Faut peut-être plutôt voir ça comme un besoin de relever des défis pour se sentir exister. Un besoin de sentir qu’on a accompli quelque chose de grand, quelque chose de difficile, quelque chose qui a de la valeur.

Je ne dis pas qu’il faut qu’on s’arrête de se compliquer la vie. Parce que je pense qu’au fond, on a besoin de ça. On a besoin de ces embrouilles, de ces défis, de ces complications pour sentir qu’on est vivants, pour se sentir fiers de nous. Aussi paradoxal que ça puisse paraître, on a peut-être besoin de ces grands frissons pour donner du sens à notre vie.

Alors la prochaine fois que tu te lèves prêt à conquérir le monde, et te retrouve trois heures plus tard dans une embrouille monumentale, rappelle-toi de ça. Rappelle-toi que les embrouilles, les complications, les plans Océan’s Eleven, c’est nous qu’on les crée. Et probablement parce qu’au fond, c’est ça qu’on aime. Alors souris, respire, et affronte ton Everest. Parce que au final, c’est peut-être ça, vivre.

En conclusion

Dans ce bordel de vie qui n’en fait qu’à sa tête, on adore se mettre des bâtons dans les roues. C’est notre sel, notre piment fort, notre lot quotidien. T’as pas besoin de comprendre pourquoi on fonctionne comme ça. C’est juste écrit dans nos gènes, dans notre ADN de bipèdes têtus. Il suffit de l’accepter et de l’embrasser. Ces montagnes qu’on se construit, c’est nous qui les faisons et c’est toujours nous qui les détruisons. Après tout, vivre, c’est pas s’ennuyer bêtement au pied d’une colline. C’est gravir un Everest, raspouta ! On est nés pour ça, pour ce tracas, ce remue-ménage constant.

Donc, ma conclusion, mon dernier mot, c’est que la vie est un défi formidable. T’as une montagne à gravir ? Bah, gravis-là, bon sang ! T’as un rêve à réaliser ? Bah, réalise-le, et si t’as des complications en route, souviens-toi que c’est toi qui les a créées. Seulement alors, tu comprendras qu’il n’y a rien de plus satisfaisant que de franchir la ligne d’arrivée, d’atteindre le sommet et de voir le monde d’en haut. Alors, arrête de te casser la tête et lance-toi. Allez, à la prochaine montagne, pote !

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Valérie F.

Un échange humain.

Effectivement, Stephane dépote.

Plus qu’un coaching, c’est un vrai moment de partage d’expérience de la vie, ce qui rend la discussion riche.

Je me suis fait remuer, et je dois dire que si j’étais réticente, au bout du compte, j’en avais besoin.

Valérie F.

Sophie A.

Il faut aimer se faire bouger. Ce n’est pas toujours agréable, même si tout se passe dans la bonne humeur et avec le sourire.

On ne se fait pas gronder ou engueuler, mais ça remue, ça bouge.

Stéphane n’est pas là pour te laisser dans tes doutes, il te secoue.

Sophie A.

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