Comment accepter et gérer tes propres désirs sexuels atypiques ou perversions

Dans ce monde aux mille couleurs, pourquoi se borner à voir la vie en noir et blanc, surtout quand il s’agit de sexualité ? Ah, je te vois venir, te tortillant sur ta chaise, gêné à l’idée même d’évoquer ce qui te fait vibrer. Stop ! Assez de ces chaînes invisibles tissées par une société frileuse. Tes « déviances » ? Un terme bien sévère pour qualifier la richesse de ta palette de désirs. Oublie les jugements, les étiquettes. Cet article est une invitation à redéfinir la normalité, à embrasser tes envies profondes sans culpabilité ni honte. Prêt pour le voyage ?
perversion bdsm

Hey camarade, pas besoin de te cacher, encore!

Tu te crois dépravé, perverti, « différent », n’est-ce pas ? Tu penses que tes « perversions » sont une honte qui te déprécie, t’emprisonne ?

Ah, qu’est-ce que ça doit être triste de vivre dans la peur et l’incompréhension de ses propres désirs… Attends ! Je suis en train de rire ici, pardon pour la rudesse.

Rien n’est plus pathétique que de se flageller pour ce qui fait ta singularité. Oui, je suis dur, mais ne te méprends pas, mon ami, c’est par amour, pas par jugement.

Note de service : cet article se lit dans le respect des lois en vigueur. Il est hors de question de porter atteinte à l’intégrité d’une femme, d’un homme, ou pire, d’un enfant. Ou encore, des animaux (oui, y’a des timbrés). Si ton délire est de faire du mal, d’agir à l’encontre d’une personne, là, faut vite te rendre chez un psy, vraiment. Le consentement n’est pas qu’une notion, c’est une réalité à respecter.

D’abord, disons une chose, toutes les personnes « normales » (note l’ironie) ont une sexualité ensoleillée, sans variations, sans aspérités, spontanée comme un bouquet de roses dans un film de Disney ? C’est faux.

Lève-toi pour que je t’applaudisse si tu fais partie de ces phénix 1% rares qui ne trouvent jamais de grain de sable dans leur paradis du plaisir !

C’est là, cher ami, où le biais d’autorité entre en scène. Tu vois, je suis là, moi, ton coach, engagé dans cette jungle passionnante de l’esprit humain depuis des années. Mon métier ? Éclairer tes ombres, défricher les mythes, guider les errants sur le chemin de l’autocompréhension.

Les gens viennent me voir, honteux, apeurés, avec un fardeau de « perversions« …Et je leur dis « Hé, ratés, que la honte vous perd ! Soyez fiers de vos plis et replis, de vos nuances et contrastes ! » Je leur montre qu’ils ne sont pas seuls, que le trésor le plus précieux, c’est leur unicité. Exactement comme toi, maintenant.

Assumer tes désirs, le vrai courage.

Pour t’aider à illustrer ce que je dis, je vais te raconter l’histoire de Simon. Un bon gars, la trentaine, brillant professeur de mathématiques. Ce geek des chiffres, paradoxalement, ne savait pas calculer sa vie sentimentale.

Simon se considérait comme « pervers ». Il avait des fantasmes liés au BDSM, une pulsion de domination qui lui donnait chaud au cœur et froid à l’âme. Il avait peur de se dévoiler, de révéler son désir refoulé. Alors, il est venu me voir, me dévoilant sa « honte ».

Je lui ai souri et je lui ai dit : « Simon, ton désir fait de toi ce que tu es. Assumer tes désirs, c’est assumer ton humanité. Être corseté dans une « norme » est une aberration. Le BDSM n’est pas une « perversion », c’est une facette de la sexualité, tout comme la vanille est une saveur parmi d’autres. »

Et voila, c’est aussi simple que ça. Rapidement, Simon a commencé à comprendre que ce n’était pas lui le problème. Il a compris que si tu ne fais de mal à personne avec tes désirs, alors il n’y a pas de problème.

Et aujourd’hui, Simon est un gars épanoui dans sa sexualité. Il ne se cache plus, il s’accepte tel qu’il est. Il n’est plus honteux de ses désirs. Il comprend que la sexualité est un domaine vaste dans lequel chacun a ses propres nuances. Et l’important, il a pu en discuter sa partenaire, et tous deux s’amusent bien dans les folies de notre ami Simon. Comme quoi !

Par ailleurs, une étude de l’Ined (Institut National d’Études Démographiques) révèle que 10% de la population française a déjà expérimenté le BDSM (Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sadisme et Masochisme).

Outils, pratiques, règles de sécurité, conseils pour les novices, tout y est dans cet article.

Tu vois, camarade, la « perversion » n’est qu’un fantasme mal compris, un désir jugé selon des normes impersonnelles, hypocrites.

Ne te méprends pas, je ne t’encourage pas à devenir un pervers notoire. Je t’encourage simplement à t’accepter, à comprendre tes inclinations propres, sans jugement, sans honte.

Je propose que tu cesses d’utiliser le mot “perversion” pour doubler ton amour-propre. J’ai décidé d’être une lanterne pour toi, pas un fouet de jugement. Alors, qu’est-ce que tu en dis, camarade ?

Est-ce que tu te sens prêt à briser ces chaînes de honte et à assumer pleinement tes désirs, quelle que soit leur forme ? Le choix est entre tes mains.

Et la morale dans tout ça ?

La moralité, ce concept vaste et souvent écrasant qui pèse sur nos épaules comme une chape de plomb.

Prend l’exemple de cette femme, mère de famille, issue d’un milieu bourgeois et élevée dans une stricte éducation catholique.

À l’extérieur, elle incarne la perfection telle que dictée par sa communauté : une épouse dévouée, une mère attentionnée, une femme exemplaire, accomplie et professionnelle rigoureuse.

Mais sous cette façade, se cache un désir ardent, un appel irrésistible vers le BDSM, un monde où elle se sent vivante, puissante, et pourtant, incroyablement vulnérable.

Cette femme, comme tant d’autres, se retrouve à la croisée des chemins entre la morale inculquée par son éducation et ses désirs les plus profonds.

La peur du jugement, du regard des autre sur son corps, ses envies qui pourraient être (et le seraient sans doute si elle en parlait) jugées « déviantes » par son environnement, l’empêche de s’accepter pleinement.

Comment pourrait-elle, mère, épouse et professionnelle respectée, s’aventurer dans des pratiques qui, selon les dogmes qui l’ont façonnée, sont à la limite de l’immoral, de la perversion, de la honte, d’après la norme sociale ?

La Réconciliation avec la Morale

Pour elle, comme pour tous ceux qui se retrouvent dans cette situation, le chemin vers l’acceptation de soi passe par une réconciliation avec la notion de morale. Voici quelques étapes pour y parvenir :

  • Redéfinir la Morale : Commence par interroger et redéfinir ce que la morale signifie pour toi. La morale est-elle une série de règles imposées par les autres, ou est-ce un ensemble de principes personnels guidant ta conduite de manière à ne pas nuire à autrui ?
  • Séparer Morale et Plaisir : Accepte que la recherche du plaisir, y compris le plaisir sexuel, n’est pas immorale en soi. Ce qui compte, c’est la manière dont tu explores ces plaisirs : avec respect, consentement, et bienveillance envers toi-même et tes partenaires.
  • Accepter la Dualité : Reconnais que tu peux être à la fois une personne aimante, fidèle, et adepte du BDSM. Ces aspects de ton identité ne sont pas mutuellement exclusifs mais constituent les multiples facettes de ton être.
  • Chercher le Soutien : Entoure-toi de personnes qui comprennent et respectent ton voyage. Que ce soit à travers des communautés en ligne, des groupes de soutien, ou des amis de confiance, savoir que tu n’es pas seule peut être incroyablement libérateur.
  • Consulter un Professionnel : Parfois, le poids de la morale et de l’éducation est si lourd qu’il peut être utile de parler à un thérapeute spécialisé en sexualité. Celui-ci peut t’aider à naviguer entre tes désirs et ton éducation, te permettant de trouver un équilibre sain.

En fin de compte, se libérer des chaînes de la morale restrictive pour embrasser pleinement ses désirs et son identité est un acte de courage.

Cela nécessite de faire la paix avec le passé, d’embrasser le présent, et de regarder vers l’avenir avec espoir et confiance.

Pour cette personne, et pour tant d’autres, l’acceptation de soi et la réconciliation avec ses désirs sexuels est non seulement possible mais essentielle pour une vie pleinement vécue.

Mais alors, pourquoi ce sentiment de honte ?

C’est simple. C’est parce que ce monde merdique dans lequel nous vivons ne jure que par les normes. Pas n’importe quelles normes, celles imposées par une élite, un groupe de privilégiés qui a réussi – Dieu sait comment – à convaincre tout le monde que leur façon de voir la sexualité est la seule acceptable. Un peu égoïste, non ?

Et toi, mon ami, tu bois leurs paroles comme du petit lait. Mais regarde-toi ! Réveille-toi, merde ! Tu n’as pas à porter le poids de leurs conneries. Tu ne dois pas laisser leur vision rigide de la sexualité te pousser à te sentir « pervers ».

Le problème c’est que tu te laisses berner par leurs discours moralisateurs. Tu te laisses influencer par leurs stigmatisations insensées et tu finis par te sentir coupable, dégoûté, misérable à cause de tes désirs. Et ça, mon vieux, c’est la connerie humaine dans toute sa splendeur.

Alors, qu’est-ce que ça peut bien foutre ?

Eh bien, cette autocensure a des conséquences camarade. En te reniant, en enterrant tes désirs les plus profonds sous une montagne de honte, tu ne fais pas que te mentir à toi-même ; tu t’empêches de vivre pleinement.

Tu te prives de la richesse de ton être, de la complexité de tes envies. Tu mets en cage ta propre sexualité, la réduisant à une version édulcorée, acceptable, « normale ». Mais qui veut être normal dans un monde qui célèbre la diversité ?

Brise les Chaînes :

  • Accepte-toi : Commence par t’accepter. Tes désirs sont une partie intégrante de qui tu es. Ils sont uniques, et c’est ce qui te rend spécial.
  • Éduque-toi : Plonge-toi dans la connaissance. Apprends sur les différentes facettes de la sexualité humaine. Tu découvriras vite que le spectre des désirs est vaste et que tu n’es pas seul.
  • Dialogue : Trouve des espaces sécurisés où exprimer et explorer tes désirs. Des forums, des groupes de discussion, des professionnels. Parler peut libérer.
  • Fixe tes limites : Connais et respecte tes limites et celles de tes partenaires. La communication est essentielle. Consentement et respect mutuel sont les maîtres mots.
  • Détache-toi des jugements : Ce que les autres pensent de toi est leur problème, pas le tien. Vis ta sexualité selon tes propres termes, tant que cela ne nuit à personne.
  • Cherche du soutien si nécessaire : Si la honte et la culpabilité sont trop lourdes à porter, n’hésite pas à te tourner vers un professionnel. Il y a des thérapeutes spécialisés dans les questions de sexualité qui peuvent t’aider à naviguer ces eaux parfois troubles.

Rappelle-toi que la sexualité est un aspect merveilleusement complexe de l’expérience humaine. Elle est censée être explorée, appréciée et vécue pleinement, sans honte ni peur.

Alors, éclate ces chaînes invisibles qui t’entravent, et donne-toi la permission de découvrir et d’embrasser pleinement tes désirs.

La véritable perversion, c’est de vivre une vie à demi, enfermé dans les peurs et les préjugés d’une société qui ne sait pas mieux. Libère-toi, et vis ta sexualité avec joie, curiosité et respect.

Ceux qui jugent

Le BDSM, univers mal compris, suscite beaucoup réactions épidermiques. Pourquoi tant de jugements, tant de répulsion ? La réponse est complexe, mais tentons de la détricoter.

Au cœur de ces critiques acerbes se trouve souvent une peur viscérale de l’inconnu, de ce qui sort des sentiers battus de la « normale » sexualité.

Pour beaucoup, le BDSM évoque des images sombres, teintées de douleur et de domination, un monde à mille lieues de leur conception de l’amour et du plaisir. Ils voient la surface, les stéréotypes, sans chercher à comprendre les fondations de confiance, de respect et de consentement mutuel qui sous-tendent ces pratiques.

Ces jugements durs naissent également d’une incompréhension profonde. Dans une société où le sexe est déjà un sujet tabou, le BDSM représente le tabou ultime, le summum de la « déviance ».

Il remet en question les idées préconçues sur le pouvoir, le contrôle, le plaisir et la douleur, brouillant les lignes entre ce qui est considéré comme acceptable et ce qui ne l’est pas.

L’inconfort face au BDSM découle aussi de la peur de l’autre, de celui qui ose explorer des territoires que la plupart n’osent même pas imaginer.

C’est la peur de ce que cela révèle sur nos propres désirs enfouis, ceux que nous n’avons ni le courage ni la liberté d’explorer.

C’est une pratique séculaire, oui, mais une qui exige de ses participants une honnêteté et une vulnérabilité que tous ne sont pas prêts à affronter.

En fin de compte, le jugement dur envers le BDSM est un miroir de nos propres insécurités, de nos limites personnelles en matière de sexualité et de plaisir.

Il est plus facile de condamner que de chercher à comprendre, plus rassurant de se tenir à distance que de reconnaître la complexité et la diversité des expressions sexuelles humaines.

Mais en ouvrant nos esprits, en questionnant nos peurs, nous pouvons commencer à voir le BDSM pour ce qu’il est réellement : une autre facette, riche et nuancée, de la sexualité humaine.

En conclusion

Il est grand temps de te foutre de ce que le monde pense de toi. Lâche-toi et vis ta vie comme tu l’entends. Si tu as des désirs qui ne correspondent pas à la norme, et alors ? Qui a dit que la norme émanait de l’intelligence suprême ? Le choix, l’acceptation, le plaisir, la jouissance, tout ça ne t’appartient-il pas en fin de compte ?

La société a ses normes, et toi, tes désirs. Le vrai courage, c’est de les accepter tels qu’ils sont, avec leurs défauts et leurs qualités. Tu n’as pas à te sentir honteux parce que tu ne rentres pas dans leur stupide case.

C’est plutôt eux qui devraient avoir honte de te faire sentir misérable à cause de qui tu es.

Et si tu te sens honteux, rappelle-toi que le vrai pervers, c’est sans doute celui qui regarde, qui aimerait, mais ne fait rien et qui juge et sans doute non pas la personne qui désire et agit.

Pour mieux comprendre tes propres valeurs et te libérer de cette honte, je te conseille de te plonger profondément dans ton « pourquoi ». Il est crucial d’en avoir une vraie connaissance pour te sentir libre, respecté, et accepté.

L’oeil du coach

Te sentir « dépravé », te torturer pour ce qui fait ta singularité, n’est-ce-pas ridicule ?

Désintoxiquons-nous de cette « normalité » hypocrite. Levons notre verre à ces gentils phénix qui jamais ne trouvent d’aspérité dans leur paradis du plaisir !

Tu as l’honneur d’avoir ton coach personnel, qui défriche les mythes, éclaire tes ombres multicolores. Honteux et perdus, de tas de gens comme toi viennent à moi. « Vous êtes unique, attrapez cette unicité, » je leur dis.

Le courage est… d’assumer tes désirs

Simon, professeur de maths de 30 ans, se pensait « pervers ». BDSM ? Horreur ! A lui, j’ai dit « le BDSM est une autre saveur, comme la vanille dans la crème glacée. » Aujourd’hui, Simon est un homme qui s’amourache de ses désirs et comprend la richesse de la sexualité.

D’ailleurs, l’Ined rapporte que 1 Français sur 10 a déjà testé le BDSM.

La honte ? Un fantasme mal interprété et jugé par des normes hypocrites

Ce monde obéit à des normes. Mais tu ne dois pas boire leurs paroles. Il n’y a pas de connerie plus grande que de se laisser stigmatiser et se sentir dépravé à cause de ces beaux parleurs.

Si tu veux te libérer, vis comme tu l’entends, peu importe leurs normes ! Va t’hiberner avec tes désirs et expériences. Les normes ? Elles viennent d’un groupe égoïste, pas de toi.

Exprime-toi, accepte tes qualités et défauts. Tu ne dois pas te sentir honteux parce que tu brises leurs stupides cases. C’est eux qui ont la honte.

Le seul moyen de te libérer de cette honte cyclique est de connaître profondément ton « Pourquoi ». Pour aider, clique ici Oser sa voie, oser être soi.

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Valérie F.

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Un échange humain.

Effectivement, Stephane dépote.

Plus qu’un coaching, c’est un vrai moment de partage d’expérience de la vie, ce qui rend la discussion riche.

Je me suis fait remuer, et je dois dire que si j’étais réticente, au bout du compte, j’en avais besoin.

Valérie F.

Sophie A.

Rated 3,0 out of 5

Il faut aimer se faire bouger. Ce n’est pas toujours agréable, même si tout se passe dans la bonne humeur et avec le sourire.

On ne se fait pas gronder ou engueuler, mais ça remue, ça bouge.

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