On adore ce qui est simple, n’est-ce pas ?
Alors, toi ! Oui, oui, toi qui te tournes et retournes dans ton lit à l’idée de faire face à des tâches complexes. Franchement, camarade, on mange pas de ce pain-là nous. Le simple, c’est bon, c’est cool, c’est digeste.
Oui, je te vois esquisser un petit sourire là. Tu sais pourquoi ? Parce ton cerveau adore grignoter du simple. Comme moi, avec un bon fromage. Simple, facile, délicieux.
Un exemple, c’est encore plus savoureux ! Illustrons ça avec notre cher ami Bernard. Ce type a toutes les cartes en main pour prendre les bonnes décisions. Il a lu tous les guides, pris des formations, fait des listes et des plans détaillés pour son projet. Mais attend, camarade… Bernard ne fait rien. Il reste planté là, les pieds dans la boue.
Bizarre hein ? Pas vraiment. Bernard a négligé une chose importante. Son cerveau est paresseux, exactement comme le tien, comme le mien, comme nous tous.
Fais pas cette tête, mon ami. C’est une réalité, notre cerveau est un sacré glandeur. Mais attention, il n’y a pas de honte à ça. C’est simplement un mécanisme d’économie d’énergie vieux comme le monde.
Mais pourquoi ton cerveau est-il si flémard ?
Alors voilà. Imagine un chien qui court après sa queue. Fatiguant, n’est-ce pas ? Ton cerveau fonctionne exactement comme ce chien. Il fait tourner ses rouages à une vitesse folle pour tout comprendre, tout analyser, tout anticiper. Et je peux te dire que ça lui pompe une quantité folle d’énergie.
Alors, comme un bon vieux chien, il choisit la paresse. Pour lui, plus c’est simple, mieux c’est.
C’est pour ça, camarade, que face à une tâche complexe et embrouillée, ton cerveau choisit le canapé. Il préfère regarder la télé, fumer une cigarette ou grignoter un truc sucré plutôt que de s’attaquer à la montagne.
Pour en savoir plus sur la façon dont ton cerveau peut te saboter la vie, en restant volontairement « aveugle » à tes plans les plus sophistiqués, je te laisse aller jeter un œil à cet article sur l’auto-sabotage.
Rappelle-toi, mon ami. Ton cerveau n’est pas ton ennemi. Il est simplement paresseux. Il aime ce qui est simple, ce qui est facile à comprendre et à intégrer.
Alors au lieu de le combattre, apprenons à le comprendre. Apprenons à travailler avec lui, plutôt que contre lui.
Et si tu es prêt à prendre le taureau par les cornes et à travailler avec ton cerveau plutôt que contre lui, j’ai ce qu’il te faut.
J’ai aidé des personnes comme toi à reprendre confiance en elles et à revendiquer leur pouvoir personnel.
Voici le lien vers le programme retrouver la confiance. C’est ton moment, mon ami. Il est temps de mettre ces vieux démons de côté et de s’attaquer à la vraie vie.
En somme, si tu es fatigué d’être le prisonnier de ton propre cerveau, viens nous rejoindre. Tu n’as rien à perdre et tout à gagner. Allez, camarade, sors de ton trou !
Quels sont les impacts de cette flemmardise cérébrale ?
La conséquence principale, c’est que si tu présentes à ton cerveau une montagne de tâches à accomplir, il va simplement décider de faire la sieste. Comme notre pote Bernard.
Toutes les connaissances du monde ne servent à rien si tu n’es pas prêt à bouger tes fesses et te mettre au travail.
Mais attention, l’impact va encore plus loin. Ton cerveau est le maître de ta motivation et de ton énergie. S’il décide de faire grève, tu n’iras pas loin.
C’est comme essayer de faire avancer un bateau sans vent dans les voiles. T’es condamné à ramer sans fin. Alors, tu fais comment ?
La solution est simple, mon ami. Il s’agit de rendre les choses plus simples pour ton cerveau. Prends une tâche complexe et divise-la en petites actions concrètes. C’est comme avoir un gros casse-tête et le résoudre pièce par pièce.
Et c’est là que ça devient intéressant. Une fois que tu as réussi à accomplir une petite tâche, ton cerveau reçoit une dose de dopamine, l’hormone du bonheur.
Cette sensation de récompense te pousse à continuer, à en vouloir plus. C’est comme si, soudain, ton bateau trouvait le vent et commençait à glisser sur l’eau avec aisance.
Ou alors, c’est comme quand tu reçois des likes sur tes publications, ça te donne envie de continuer à produire des contenus, pour avoir encore des likes, qui te poussent à produire, pour avoir des likes, etc… bref, tu captes.
Mais ne t’arrête pas là
La clé, c’est la régularité. Tu ne peux pas juste diviser tes tâches, en faire une, puis te poser en attendant que l’inspiration te frappe à nouveau. Non, camarade, tu dois établir un rythme, un peu comme ces vieux marins qui connaissent les mers par cœur.
Tu crées un système, une routine qui fait que chaque jour, tu avances un peu plus. Pas besoin de sprinter ; marche à ton rythme, mais marche tous les jours.
Imagine-toi en train de construire un château. Chaque petite action est un bloc de plus vers ton chef-d’œuvre.
le piège à éviter, c’est la procrastination.
Tu sais, cette vieille amie qui te susurre à l’oreille : « Allez, un épisode de plus, qu’est-ce que ça peut faire ? » ou « Tu peux le faire demain, repose-toi aujourd’hui« .
C’est là que tu dois être fort, mon ami. C’est là que tu dois te rappeler pourquoi tu as commencé. Pourquoi est-ce important pour toi ?
Transforme tes « Je dois » en « Je veux ». Change ta perspective. Au lieu de voir une montagne insurmontable, vois chaque petite action comme une victoire, une étape de plus vers ton but.
En résumé, si tu veux que ton cerveau arrête de se la couler douce et se mette enfin au travail, montre-lui le chemin. Simplifie tes tâches, divise-les en actions réalisables, et surtout, fête chaque petite victoire. Avant que tu ne t’en rendes compte, tu auras gravi ta montagne.
Et n’oublie jamais, le vent ne favorise que les marins qui ont le courage de sortir du port. Alors, hisse les voiles, et en avant ! La mer est vaste, et ton aventure ne fait que commencer.
En conclusion,
Ne laisse pas ta flemmardise cérébrale te gâcher la vie. Ton cerveau est une bête de course incroyable, mais il a aussi besoin de sa dose de repos pour être au top.
Alors, oui, il aura tendance à choisir la voie la plus facile, celle qui lui demande le moins d’effort. Mais c’est à toi de lui montrer qu’il peut aussi y avoir du plaisir dans l’effort.
Divise tes gros projets en petites tâches à accomplir, et tu verras que ton cerveau sera plus enclin à se mettre au travail.
Ne reste pas bloqué dans l’inaction, fait un pas après l’autre, même petit. C’est toujours mieux que de rester sur place. Parce qu’au final, c’est toi qui commandes, pas ton cerveau.
Alors, bouge-toi, fais-le travailler, donne-lui quelque chose à se mettre sous la dent et tu seras étonné de ce que vous pourrez accomplir ensemble… et sans flemme! Allez, hop, au boulot!
L’oeil du coach
Écoute, mon pote. Tu fais de ton cerveau un frein. Il t’effraie. Tu le vois comme cet énorme labyrinthe, parsemé de tâches compliquées. Stop! Ça suffit. Ton cerveau n’est pas le Kraken, ce monstre des profondeurs coriaces. Détends-toi, il est de ton côté!
Penses à Jérôme. Toujours dans la théorie, jamais dans l’action. Paralysé. Pire qu’un sac de pommes de terre. Pourtant, il a les outils, mais il manque le mojo. Pourquoi? Son cerveau, mon ami, préfère la farniente. Oui, tu as bien lu. Ton cerveau est un glandeur professionnel. Pour lui, le mot d’ordre est : économies.
Traînons-nous avec l’intention
Conjure l’image d’un moustique qui tourne en rond. Ton cerveau, mon ami, est ce moustique. Il tourbillonne comme un tourbillon, cherchant à engloutir toutes les informations. Mais cela lui coûte cher. Tel l’animal, il préfère le repos, le simple, le digeste. Face à l’Everest des tâches, il choisit le transat. Ah ! la dolce farniente !
La sieste ou la confiance ? Choisis ton camp!
Envie d’en savoir plus sur comment ton cerveau te mène à la baguette? Consulte l’article sur l’auto-sabotage. Si tu te sens prêt à te prendre en main, avec ton cerveau comme co-pilote, tente le programme retrouver la confiance. Colle-toi une bonne claque et dis au revoir à tes démons.
Ton cerveau t’arnaque, il choisit la sieste plutôt que le coup de pioche. Il maîtrise ton énergie, ton envie. Un bateau sans vent, ça te parle ?
Ne laisse pas ta paresse cérébrale te ligoter. Apprécie ton cerveau, chéri-le. Mais montre-lui le chemin, le sens de l’effort, la beauté de la lutte. Plus c’est fractionné, plus ton cerveau sera dans les starting-blocks.
Prends une décision et mets-toi en action, même minime. C’est mieux que de stagner. Après tout, c’est toi le boss, pas ton cerveau.
Allez, on se dit à demain, avec du carburant à donner à ton cerveau. Bouge-toi, fais bosser ton cerveau, il sera ton meilleur allié. Allez, sois pas flemmard, on va réussir, promis!
