La gourmandise du mythe « Quand on veut, on peut »
Allez, déguste un bonbon à la menthe et prête une oreille attentive, mon ami. L’heure est venue de démystifier la fameuse adage : « Quand on veut, on peut ».
N’est-ce pas un bel échantillon de ces petites phrases grasses, trop sucrées, que tout le monde mâchonne consciencieusement sans vraiment les digérer ?
En surface, ça ressemble à du bon, du vrai, du sain, du grandiose. C’est rassasiant, Et ça fait du bien à l’estime de soi. Qui dirait non à un plat aussi alléchant ? Toi non plus, je parie.
On le brandit comme un étendard, une proclamation de notre soi-disant liberté illimitée. Mais ce mantra est aussi calorique que trompeur.
On ne parle pas de faire une balade dans un chemin droit et dégagé, on parle de la montagne du changement, de la forêt dense de l’action, de l’océan profond de la volonté. C’est du lourd.
Ma mère, un véritable démon alcoolique et toxico aux médocs, m’inondait de discours culpabilisateurs sur l’effort et le désir. « Tu n’arrives à rien parce que tu ne le veux pas vraiment », me crachait-elle au visage, souvent en état d’ébriété. Plaisant, non ?
Mais attentions camarades : je ne viens pas te vendre du pessimisme froid comme une savonnette à hyppo.
Au contraire. Il faut juste donner du piment à ce vieux plat : « Quand on veut, on peut » n’est pas une recette miracle, c’est une balade dans les étangs de la volonté et de l’action.
Les délices du désir, l’appétit de l’action
Plutôt que de te noyer dans un pot-au-feu mielleux de phrases creuses, penchons-nous sur le concret, le tangible, le palpable, camarade.
Dis-moi, as-tu déjà voulu changer quelque chose dans ta vie ? Un boulot de merde, une relation toxique, troquer les bières pour du thé vert ?
En effet, je parie que tu as essayé, tu as voulu, tu as rêvé. Peut-être même que tu as fait un pas. Ou bien deux. Avant de trébucher et de manger la poussière, fier comme un coq mais le bec dans le foin.
Les psychologues avancés comme moi ne vont pas te balancer des coups de pouce vides. Je peux te chuchoter à l’oreille que l’intention, cette étincelle de désir, est nécessaire.
Mais l’action, mon chou, l’action est une énorme part de la tarte. Une étude sérieuse a montré que la volonté n’est qu’une partie du puzzle, à côté d’autres facteurs cruciaux, comme le contexte, les ressources, et le soutien social.
Tiens, regarde autour de toi. Tu vois Pierre, Paul, et Jacques ? Tous ont voulu des choses. Être riche, perdre du gras, écrire un grand roman. La volonté ? Pléthore. L’action ? Un palier trop haut pour leur ascenseur.
Rallumer la flamme du désir est une chose, mais pour bien la nourrir, il ne faut pas seulement du bois, mais aussi du souffle. En d’autres termes : tu dois donner du poids à ton plan, mon ami.
Jeter un coup d’oeil à mon article sur l’audace d’oser pourrait donner un nouveau souffle à ton brasero de motivation. Ah, et ce programme sur la confiance pourrait t’aider à mettre en place le bon plan. Penses-y !
Il ne suffit donc pas de vouloir changer les choses mon ami, mais il ne s’agit pas non plus de tomber dans le nihilisme. Tu mérites bien plus. Tu mérites de vouloir ET de pouvoir. Tu mérites de savourer ce plat riche, savoureux et puissant : le plat de la progression réelle.
Alors, mon ami, n’attends plus. Retrousses tes manches et vas-y : parce que quand on veut, on peut ? Non, parce que quand on agit, on vit.
Le pouvoir amer du vouloir continuel
Crois-tu vraiment que vouloir incessamment peut-être aussi apaisant qu’une boisson rafraichissante un jour de canicule ? Réfléchis un peu à cela. C’est un peu comme rester assis devant un feu sacré, l’alimenter avec du bois, mais ne jamais penser à faire griller quelque chose dessus.
Vouloir continuellement sans passer à l’action n’est rien d’autre qu’une fuite constante. C’est un truc qui te tétanise, t’installe dans une frustration qui monte crescendo sans que tu comprennes pourquoi.
Ça ressemble à une promesse qu’on ne tient jamais, à un pain qu’on ne mange jamais malgré la faim qui te vrille le ventre.
La conséquence ? A force de vouloir sans agir, tu finis par tourner en rond, bloqué dans un cycle de déceptions et de frustrations. Tu erres à travers la vie, perdant peu à peu confiance en toi, te dévalorisant, te rabaissant. Sale affaire.
L’ambrosia de l’action, le nectar du faire
T’es exaspéré par tes vaines volontés, t’as le bourdon ? Parfait. Alors, stoppe le rodéo dans ta tête et commence plutôt à agir. Tu pourrais être surpris de ce que tu peux réaliser lorsque tu échanges ce désir éternel contre une action authentique.
Imagine combien tu seras fier de toi-même lorsque tu commenceras à rayer des choses de ta liste de souhaits. C’est un sentiment gratifiant. Tu te sentiras vivant, dynamique et énergique.
Rectifie le tir maintenant. Arrête cette sale affaire de vouloir non-stop sans rien y faire. Vise plutot à agir, à te bouger, à concrétiser tes idées, à donner vie à tes envies. Ne suis pas la vague, sois la vague. Ne sois pas spectateur de ta vie, mais l’acteur principal.
C’est ça la clé. Change ta mentalité. Au lieu de te noyer dans le doute et l’hésitation, prends les commandes et fais un pas en avant. Fais-le avec discernement, fais-le avec audace, fais-le avec conviction. Découvre l’ambrosia de l’action et le nectar du faire, tu verras combien le goût est doux.
L’oeil du coach
Suis ton rêve… ou pas !
Ah ! Le doux refrain du « Quand on veut, on peut ! »… Ça décapsule les grimaces mieux qu’un tirage de dents, n’est-ce pas ? À force de le gober comme une guimauve, on finit par croire que c’est le miel des dieux. Au diable le contexte, les ressources, ou le soutien social … Tant que t’as la dalle, tu peux gagner le buffet, non ? Oh, mon cher ami, tu tombes dans une marmite de miel !
Le grand banquet du désir contre l’appétit de l’action
Combien de fois as-tu pensé à quitter ce job mortifère, à mettre un terme à ce flirt douteux, à virer les pintes pour le thé vert ? Ouais, tu as rêvé, tu as désiré, tu as même fait un effort. Pourtant, tu t’es ramassé, les dentelles dans la poussière, et le sourire aux lèvres.
Selon une étude, vouloir est vital, mais l’action est la crème de la crème. Ça te rappelle Pierre, Paul, et Jacques ? Ils ont aimé imaginer leur vie autrement. Mais, le pas à franchir de la volonté vers l’action leur semblait comme essayer de chevaucher un girafe.
Le doux poison du désir perpétuel
Imagines-tu le charme de vouloir constamment sans ne jamais réaliser ? Ça laisse un arrière-goût de cendre sous le palais. Vouloir sans fin c’est s’installer dans la frustration d’une partie de pêche sans aucun poisson à l’horizon.
Le savoureux cocktail de l’action
Basta, l’inertie de l’éternel désir ! Échange-le pour une action solide, camarade. Lorsque tu commences à cocher des cases sur ta liste de to-dos, tu te sens comme un feu d’artifice allumé. C’est un délice.
Alors, maintenant, c’est ton tour. Transforme ton « vouloir » en une action brillante. Mets les mains dans le cambouis, branche ta vie sur l’énergie dynamique de ton être. Sois la vague qui modifie le paysage sur son passage. Il est temps de découvrir la saveur sucrée de l’action.
Pour y arriver, jette un œil ici Ose ta voie, ose ton être. C’est gratuit, comme l’envie de passer à l’action !