surmonter ta peur de la souffrance

stephane briot whyislife orange 1

Stéphane

Souffrir ? T’as la trouille, hein ? Tu vois ça comme un coup sur la tronche. Comme si c’était une fatalité. Rateau ! Devenu coach, je rencontre toujours la même peur dans les yeux de mes clients : “Euh…y’en a marre de douiller là.” Bon, on va mettre un truc au clair : souffrir, c’est toi qui l’as décidé. Et ouais. Pas besoin de ramasser les miettes de douleur, c’est toi qui choisis de te flageller.
WhyIsLifeComment réussirsurmonter ta peur de la souffrance
depasser souffrance
envie briller

Souffrir ? Mais mon ami, ce n’est qu’un choix !

Souffrir, ça te fait flipper à un point inimaginable, n’est-ce pas camarade ? Le problème, c’est que tu te dis que la souffrance, c’est une gifle en pleine figure, un poing dans le ventre, un coup de pied où je pense. Raté !

Tu sais, cette peur, je la rencontre constamment dans mon métier de coach. Les clients qui débarquent dans mon bureau, ils ont tous le même regard. Celui qui dit : “Je ne veux plus souffrir, ça suffit maintenant.”

Alors laisse-moi te dire une chose : souffrir, c’est un choix. Oui, tu as bien lu. Personne ne t’impose de souffrir, c’est toi qui t’imposes cette souffrance.

La souffrance, cette vieille amie que tu invites constamment

Tu es bien confortable dans ton fauteuil ? Parfait. Imagine un instant. Tu es chez toi, tu te détends, un livre à la main, une tasse de thé à portée. Soudain, on sonne à la porte. Tu ouvres, c’est ta vieille amie la Souffrance qui est venue te rendre visite.

“Entre, entre”, tu lui dis. “Fais comme chez toi”. Et voilà, tu as invité la souffrance chez toi.

Rassure-toi, tu n’es pas le seul. C’est le cœur serré, le regard baissé, la voix éraillée que des clients comme Marc, Alice, ou encore François m’ont raconté comment ils ont ouvert leur porte à la souffrance et l’ont laissé s’installer chez eux.

C’est une habitude, mon ami. Tu as juste peur de t’affronter toi-même. Mais ne t’inquiète pas, c’est juste une phase. On est tous passé par là.

C’est peut-être dur à admettre, mais crois-moi sur parole : tu es le seul maître à bord. Tu es le seul à pouvoir changer les choses. Peut-être qu’il te faut un petit coup de pouce, une petite aide pour te sortir de cette spirale infernale.

Mais d’abord, faut que tu admettes que tu as un choix. Tu peux choisir de ne plus souffrir.

Et n’oublie pas : c’est toi qui commandes le navire. Tu as le droit de dire stop, de refuser cette visite désagréable.

Je sais ce que tu vas me dire : “Mais tu n’as pas de solution rapide ? Un petit truc pour éviter de souffrir immédiatement ?” Ah, camarade, si seulement c’était aussi simple !

La souffrance, ce n’est pas comme un vieux meuble à jeter. Ça ne se fait pas d’un claquement de doigts. Ça demande du travail, de la persévérance, de la patience.

C’est même pour ça que je suis là. Pour t’aider à sortir de ce trou noir, pour trouver cette lumière qui te fait tant défaut en ce moment.

Mon ami, il est temps de te lever, de te battre. Ne laisse pas la souffrance être la reine de ta vie. C’est toi le roi, ne l’oublie pas. Refuse cette visite qui te gâche la vie. Tu peux y arriver, je te le promets.

Pourquoi tu laisses la souffrance vadrouiller chez toi ?

Tu te demandes sûrement pourquoi tu fais ça, pourquoi tu laisses la souffrance entrer dans ta vie et gâcher tes journées ? On est tous dans le même bateau, mon gars. Tu es juste camouflé dans cette zone de confort, t’as juste peur de regarder le problème en face et de prendre des décisions.

C’est cette peur qui te fait inviter la souffrance. Et cette vieille peste, elle ne manque jamais une occasion de venir se faufiler chez toi.

Marc, Alice, François, tous avec cette même expression d’impuissance et de douleur dans les yeux, ils m’ont tous raconté comment ils ont laissé cette souffrance prendre racine chez eux. Ils ont fait le choix de souffrir, tu vois ? Mais le truc c’est qu’ils ignorent que l’autre option existe, l’option de ne pas souffrir.

Les conséquences de flirter avec la souffrance

Il faut que tu comprennes que d’entretenir ce drôle de flirt avec la souffrance n’a rien de sain. C’est comme être avec une personne toxique qui suçote ta joie de vivre à chaque instant. Et tu sais quoi ?

Le moment est venu de rompre ce cycle. C’est le moment de choisir de vivre plutôt que de survivre. La souffrance, aussi accablante soit-elle, ne définit pas qui tu es. Elle ne doit pas être ton compagnon de route.

Se débarrasser de la souffrance : 5 actions factuelles

  1. Reconnais et accepte ta douleur : La première étape pour te libérer de la souffrance est de l’accepter. Ne la cache pas, ne prétends pas qu’elle n’existe pas. Reconnaître ta douleur est le premier pas vers la guérison.
  2. Parle à quelqu’un de confiance : Que ce soit un ami proche, un membre de ta famille ou un professionnel, partager ce que tu ressens peut t’aider à alléger ton fardeau. Parler ouvre la voie à la compréhension et à l’acceptation.
  3. Pratique la pleine conscience et la méditation : Ces pratiques peuvent t’aider à te centrer, à réduire le stress et à mieux gérer la douleur. Elles t’enseignent à vivre dans l’instant présent et à accepter tes sentiments sans jugement.
  4. Écris un journal : Mettre des mots sur ta douleur peut te permettre de l’extérioriser et de mieux la comprendre. Écrire tes pensées et tes sentiments te donne également l’occasion de réfléchir et de trouver des solutions.
  5. Engage-toi dans des activités qui te rendent heureux : Trouve ce qui te passionne et consacre-y du temps. Que ce soit la peinture, le sport, la cuisine ou toute autre activité, le fait de faire quelque chose que tu aimes peut t’aider à te sentir mieux et à réduire ta souffrance.

Le chemin vers la guérison

La guérison est un voyage, pas une destination instantanée. Il se peut que tu trébuches, que tu te sentes parfois perdu ou que tu doutes de ton progrès, mais chaque pas en avant est un pas vers une vie moins empreinte de souffrance.

N’oublie jamais que tu as le droit de chercher le bonheur et la paix intérieure. Ta résilience est ta force, et ton courage de te confronter à ta souffrance est le véritable acte de bravoure.

Marc, Alice, François, et toi, mon ami, vous pouvez choisir de ne pas laisser la souffrance définir votre existence. Il est temps de reprendre le contrôle et de commencer à écrire un nouveau chapitre, un chapitre où la souffrance est une vieille connaissance, non un compagnon permanent.

En conclusion

Faut que tu ouvres les yeux, bonhomme! Tu déroules le tapis rouge à la souffrance sans même t’en rendre compte. Elle devient ta compagne de tous les jours, elle s’incruste dans ton fauteuil, dans ta cuisine, dans ta tête, et elle te bouffe.

Mais regarde-toi, ça te fait quoi au final ? Tu te sens heureux ? Serein ? T’es juste devenu un boulet pour toi-même.

Il faut que tu te bouges, que tu claques la porte à cette foutue souffrance. La vie vaut la peine d’être vécue, j’te jure. Vas chercher la joie, l’amour, la paix, le bonheur là-bas, bien loin de ce grand bordel qu’est devenue ta tranquillité d’esprit.

Fais-moi cette faveur, okay ? On a tous nos merdes, toi comme moi. Mais ne les laisse pas diriger ta vie. Fuis la souffrance, elle ne mérite pas que tu la consideres autant. Rappelle-toi de ta valeur, de ton importance. Et si tu as besoin d’aide, eh bien, n’hésite pas à m’en parler. Je suis là pour toi, frérot.

L’oeil du coach

Écoute, tu t’affales dans ton canapé en cuir, bouquin en main, ta tisane à portée d’épaule, et qui pointe son nez à la porte ? La Souffrance, avec sa p’tite tête familière qui te dit : “Je peux rentrer ?”. Et toi, grand naïf, tu vas pas la repousser, non ! Tu lui ouvres et tu lui dis “Fais comme à la maison !”.

Alors elle entre, enfile tes chaussons, squatte ta télé, éparpille ses affaires partout. Et tu la laisses faire, en espérant qu’elle finisse par se lasser. Comme Pierre, mon client qui, chaque semaine, me raconte comment il laisse la souffrance investir son salon.

Mais laisse-moi te dire camarade, c’est pas la souffrance le problème. C’est toi qui as choisi de lui donner les clés de chez toi. Et là, tu me demandes : “Pourquoi je fais ça ?” Ah l’innocence…

Tu veux savoir pourquoi ? Parce que tu es terrifié. Terrifié de faire face à toi-même. Terrifié de l’inconnu. Alors tu te caches derrière ton petit doigt et tu espères, naïvement, que ça passe. Sauf que ça ne passe pas.

Crois-moi, si je pouvais te donner une pilule magique qui bannirait la souffrance de ton existence, je le ferais. Mais la vie ne fonctionne pas comme ça.

La souffrance, mon ami, c’est pas une entité indépendante. C’est une partie intégrante de toi. Et pourtant, devine quoi, c’est toi qui décide si tu veux souffrir ou pas. C’est à dire que tu peux aussi ne PAS souffrir.

Oui, je sais. C’est un concept révolutionnaire. Mais savais-tu qu’une étude de l’Université de Harvard montre que le simple fait de reconnaître que tu as un choix – que tu peux choisir de ne pas souffrir – réduit considérablement les sentiments d’impuissance et la dépression ?

Quitte ta zone de confort. Écrase la Souffrance. Ne te repose pas sur tes lauriers. Reviens-moi quand tu seras prêt à prendre le taureau par les cornes.


logo whyislife 2024 350

partage avec tes amis ou collègues, merci (:

stephane briot whyislife orange 2