FOMO : Pourquoi as-tu constamment peur de manquer de quelque chose

Hé là, viens par ici. T’as peur de manquer ? D’être laissé pour compte ? Allez, on sait tous que cette foutue peur existe depuis ta ritournelle d’enfance pour le dernier jouet dans le magasin, ou ce Tupperware de ton voisin à la cantine qui te faisait de l’œil. C’est pas nouveau, pas vrai ? T’es toujours aux aguets, à guetter le dernier truc tendance, une possible promotion, une belle affaire, ou même un bout de gâteau. Mais qu’est-ce que c’est que cette peur de manquer ? Un synonyme d’échec dans ton jargon intérieur ? Il est temps de se réveiller, mec.
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Peur de manquer, toi, oui toi

Approche-toi, camarade. Non, vraiment, rapproche-toi. Que je te tartine de vérité. Un massage à la crème de réalité.

La dure réalité de ta peur constante de manquer de quelque chose. Pas une nouveauté, pas vrai mon ami. Cet inconfort existe depuis que tu as cinq ans et que tu pleurais pour le dernier jouet. Ou ce Tupperware alléchant du voisin à la cantine.

Tu te vois là, scrutant le monde, le regard fiévreux, craignant de manquer le dernier gadget à la mode, une promotion, une belle opportunité, voire une part de gâteau. C’est quoi cette peur de manquer ? Un synonyme du mot raté dans ton dictionnaire intérieur ?

Hé, réveille-toi, camarade. Ne te laisse pas terrasser par cette peur.

Face à ton miroir de peurs

Prends Mathieu. Oui, c’est bien son nom. Un coup d’œil à sa liste de courses et tu croirais qu’il prépare une apocalypse. Il remplit son frigo comme un bunker, craignant que la famine ne frappe. Mon pote, on n’est pas en temps de guerre. On vit en 2024, pas dans Mad Max.

Tu te reconnais dans Mathieu, non ? Tu cours après le temps, les biens matériels et même les amitiés. Inconsciemment, tu crains un futur vide, endémique, une vie manquée.

C’est le moment de danser ! Remue, déplace-toi. Remets-toi en question. Chaque fois que cette peur affleure, demande-toi « Pourquoi ? ».

Pourquoi crains-je de manquer ? Suis-je vraiment dépourvu ? Est-ce la fin du monde si je n’ai pas ce dernier haut de Zara ou si j’arrive après tout le monde à la soirée ?

Camarade, ta valeur ne dépend pas de ce que tu possèdes, ni de ce que tu manques. Elle repose uniquement sur toi, sur qui tu es.

Oui, tu risques de manquer des choses dans la vie. Oui, tu vas rater des opportunités. Et alors ? Chaque choix mène à un renoncement. Mais le temps passé à te torturer l’esprit pourrait être investi autrement.

Camarade, pose le galop de la peur. Calme ton cœur. Ouvre les yeux sur tout ce que tu as déjà. Car la peur de manquer, c’est un leurre. Ce n’est pas le manque qui te fait peur, c’est l’idée du manque.

Alors, vas-y. Explore. Cherche. Quel est ton véritable manque, camarade ? Pourquoi cette peur a-t-elle autant de poids dans ta vie ? Tu sais, il n’y a pas de honte à chercher de l’aide.

Et surtout, souviens-toi. Tu n’es pas seul. Ou plutôt, oui, tu es seul. Salutairement seul devant ton miroir de peurs. Mais le reflet qui te regarde, il a une sacrée force en lui.

Recherche de satisfaction ou quête d’insatisfaction?

Écoute bien, camarade. Cette peur de manquer, elle vient d’où à ton avis ? Tu te crois incomplet sans cette dernière nouveauté ? Sens-toi quand même complet sans ça.

Ce que tu cherches, c’est la satisfaction, non ? Mais en réalité, plus tu cherches à posséder et à accumuler, plus tu te retrouves dans une quête d’insatisfaction. Un cycle sans fin. Un désir non assouvi invite un autre désir et ça continue jusqu’à ce que la satisfaction soit une étrangère pour toi.

T’as compris mon pote ? Le vrai problème n’est pas le fait de « manquer » mais l’obsession de toujours « avoir ». Plus spécifiquement, l’obsession d’avoir ce que les autres ont.

La comparaison, ta bête noire

La comparaison, mon pote, c’est ta bête noire. Ça te met dans un état d’insatisfaction chronique. Tu cours après des chimères, des symboles de statut qui te semblent cruciaux parce que quelqu’un d’autre les possède.

Mais attend, respirons un coup. Quand as-tu décidé que ton bonheur dépendrait de ce que possèdent les autres ? C’est un jeu que tu ne peux jamais gagner, parce qu’il y aura toujours quelque chose de plus grand, de mieux, de plus brillant… juste hors de portée.

Brise le cycle de la comparaison

  1. Limite ta consommation de réseaux sociaux : Ces plateformes sont souvent le terrain de jeu de la comparaison. Prends une pause ou limite ton temps d’écran. Tu verras, le monde réel a bien plus à offrir.
  2. Pratique la gratitude : Concentre-toi sur ce que tu as, pas sur ce qui te manque. Chaque jour, note trois choses pour lesquelles tu es reconnaissant. Cela peut radicalement changer ta perspective.
  3. Fixe tes propres objectifs : Définis ce qui est important pour toi, pas en fonction des attentes ou des possessions des autres. Quels sont tes passions, tes rêves, tes buts ? Travaille pour les réaliser, à ton rythme.
  4. Apprends à te connaître : Passe du temps seul, explore tes pensées et sentiments. Plus tu te connais, moins tu ressentiras le besoin de te comparer aux autres. Tu es unique, et ta voie l’est aussi.
  5. Célèbre les réussites des autres sans jalousie : Transforme l’envie en inspiration. Si quelqu’un atteint un objectif ou acquiert quelque chose d’admirable, laisse-le t’inspirer à poursuivre tes propres objectifs.

Le danger de l’obsession matérielle

L’obsession d’avoir ce que les autres possèdent n’est pas seulement épuisante, elle est également vide de sens. Tu te retrouves à courir après des choses matérielles, oubliant ce qui enrichit vraiment une vie : les relations, les expériences, la croissance personnelle. Ces choses ne se mesurent pas en possessions mais en moments, en souvenirs, en leçons apprises.

Reconnecte-toi à l’essentiel

Reconnecte-toi à l’essentiel. Est-ce vraiment une nouvelle voiture qui te rendra heureux sur le long terme ? Ou est-ce le sentiment de liberté lors d’un voyage, le rire partagé avec un ami, le frisson d’apprendre quelque chose de nouveau ? Ces moments de joie pure sont ce qui compte vraiment, et devine quoi ? Ils ne dépendent pas de ce que tu possèdes, mais de ce que tu choisis de chérir et de poursuivre.

Alors, mon pote, prêt à lâcher cette bête noire de la comparaison et à embrasser une vie mesurée non pas en biens matériels, mais en bonheur et en contentement ?

La vraie richesse, c’est de savoir apprécier ce que tu as, d’aimer qui tu es, et de poursuivre ce qui t’apporte une réelle satisfaction.

En conclusion

Eh, mec, après tout ce blabla, il faut que tu comprennes que la satisfaction ne viendra pas avec la possession. Il est temps de briser ce cycle sans fin et de réaliser que la vie, c’est pas de courir derrière ce que tu n’as pas. Le vrai bonheur, il est là, dans le vent qui souffle, dans le rire des enfants, dans le simple fait d’être en bonne santé.

Tu captes ? Arrête de te comparer à autrui, de convoiter le dernier iPhone ou la dernière paire de sneakers à la mode.

C’est pas tout ça qui te fera te sentir mieux. Le grand manège de la société de consommation, l’illustion de perfection des réseaux sociaux, ça n’est que fumée et miroirs.

Tu cherches la satisfaction ? Regarde autour de toi, elle est là, dans chaque petit moment du quotidien, dans chaque sourire que tu offres et reçois. La satisfaction, elle est en toi et tu n’as pas besoin de chercher ailleurs.

Alors, détends-toi, fais un pas en arrière et reprends simplement ton souffle. La vie est bien plus belle quand on n’est pas constamment en quête de quelque chose.

L’oeil du coach

La réalité qui chahute

Alors comme ça, tu vis dans la peur constante de manquer, camarade ? Du jouet ultime que tu convoitais à tes cinq ans, à la promotion que tu craintes de laisser filer, c’est toujours la même rengaine. Tu te tortures l’esprit, et pour quoi ? Un gâteau à la crème de culpabilité saupoudré d’anxiété ?

Le syndrome de l’épicier psycho-rigide

Prends Gérard, par exemple. Sa liste de courses ressemble à un inventaire pour la fin du monde. Du fromage à raclette à l’aspirine, rien ne lui échappe. Mais on n’est pas dans un thriller post-apocalyptique, camarade. Ce n’est pas « Seul au monde », c’est juste mardi.

Alors, mon ami, pourquoi cette danse macabre avec le manque ? Est-ce une préoccupation réelle ou une illusion ? Pourquoi cette peur de manquer ? As-tu vraiment besoin de cette chemise ? Est-ce vraiment si terrible d’arriver après tout le monde à la soirée ?

En toute franchise, qui se soucie de savoir si tu as le dernier gadget à la mode ? Ton vrai pouvoir réside dans ta propre valeur, pas dans le nombre de biens que tu possèdes.

Ouvrons les yeux, mon ami. Il te manquera toujours quelque chose dans la vie. Et alors ? Tu ne peux pas tout avoir, mais tu peux apprécier ce que tu as déjà. C’est un pas vital vers la réalisation que ta valeur ne se mesure pas à tes possessions mais à qui tu es.

La charge de l’insatisfaction constante

Ma petite parenthèse cosmique : n’est-ce pas étrange que plus tu t’efforces d’avoir, plus tu te sens incomplet ? À force de vouloir tout et son contraire, tu finis par tourner en rond. Ce n’est pas le manque qui est le problème, c’est le désir incessant d’avoir.

La prison du miroir des autres

En somme, camarade, faut-il vraiment que tu possèdes cette voiture, cette tenue, cette maison, uniquement parce que quelqu’un d’autre les a ? Ne te laisse pas emprisonner par la peur de manquer ce que les autres ont.

Donc, voilà…

Ton bonheur est en toi, pas dans les trucs que tu possèdes. Le grand méchant loup des réseaux sociaux, des nouvelles tendances et des avoirs n’est qu’une illusion. Cesse de courir après le dernier iPhone ou les chaussures Yeezy. Apprécie ce que tu as, savoure les moments simples.

Sois maître de ta vie, camarade, et non esclave de tes désirs. Mais si tu te sens perdu dans cette valse folle, jettes un œil à ce programme. Ça pourrait te donner un coup de pouce.

Comme tu as kiffé ce billet, maintenant, tu le partages, bah ouais, merci !

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Ce qu’ils disent de moi

Valérie F.

Rated 4,0 out of 5

Un échange humain.

Effectivement, Stephane dépote.

Plus qu’un coaching, c’est un vrai moment de partage d’expérience de la vie, ce qui rend la discussion riche.

Je me suis fait remuer, et je dois dire que si j’étais réticente, au bout du compte, j’en avais besoin.

Valérie F.

Sophie A.

Rated 3,0 out of 5

Il faut aimer se faire bouger. Ce n’est pas toujours agréable, même si tout se passe dans la bonne humeur et avec le sourire.

On ne se fait pas gronder ou engueuler, mais ça remue, ça bouge.

Stéphane n’est pas là pour te laisser dans tes doutes, il te secoue.

Sophie A.

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ta confiance

Ok, t’a confiance s’est fait la malle, partie sans laisser d’adresse, et depuis, tu galères à la moindre difficulté.

C’est quoi ? Un trauma passé qui te plombe, une rupture sentimentale qui a tiré le rideau ses tes espoirs, tu t’emmerdes au boulot ? Bon, voici de quoi te remettre sur les rails.

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