Tu as peur du changement mon ami ?
Tu crois que ta peur du changement te protège, qu’elle t’évite de faire des conneries et de tout perdre ? Faux.
Ce que tu ne vois pas, c’est que cette peur te maintient exactement là où tu es : dans l’immobilisme. Le vrai danger, ce n’est pas de prendre un virage risqué, c’est de rester figé, coincé dans un quotidien qui ne t’apporte plus rien.
T’as l’impression qu’il te faut un plan bien ficelé avant de bouger ? Laisse tomber. La vie, c’est pas un tableau Excel, c’est un bordel où tu dois avancer, même sans savoir exactement où ça te mène.
Et ce fameux échec qui te fait flipper, cette peur de l’échec, parlons-en. Oui, tu vas te planter, c’est inévitable. Mais chaque chute te rapproche de ton vrai but.
Et ce but, c’est ton Why. Quand tu agis en accord avec lui, même l’échec devient un pas en avant. T’es prêt à continuer à te laisser paralyser ou tu veux enfin avancer ?
Le plus grand risque, c’est l’immobilisme
On te l’a dit des centaines de fois : “Le changement, c’est risqué.” Perdre tes repères, foutre en l’air ce que t’as mis des années à construire, c’est flippant.
Alors, tu restes bien sage dans ta zone de confort, à ne surtout rien bousculer. Mais ce que tu ne vois pas, c’est que l’immobilisme est ton vrai problème.
La stagnation te bouffe de l’intérieur, te ronge doucement. Un peu comme une maladie silencieuse, elle fait son taf sans que tu t’en rendes compte, jusqu’au jour où tu te réveilles, et là, c’est trop tard.
Regarde ta situation actuelle. Oui, t’es stable. Oui, t’as un toit, un boulot, une routine bien huilée. Mais est-ce que ça te suffit ? Sérieusement ? Tu veux vraiment te contenter de ça toute ta vie ?
Quand j’ai décidé de sortir de ma situation merdique, ce n’était pas parce que j’avais un plan infaillible. C’était parce que je savais que rester là où j’étais, c’était crever à petit feu. Je ne voulais plus me contenter de survivre. J’ai pris des risques, j’ai failli tout perdre, mais j’ai gagné tellement plus.
Le vrai danger, ce n’est pas de sauter dans l’inconnu. C’est de t’éteindre à petit feu en te disant que demain, peut-être, tu bougeras. Ne pas agir est pire que tout.
Ce que tu perds vraiment, c’est toi-même
T’as sûrement entendu cette petite voix qui te murmure : “J’ai trop à perdre.” Et là, tu bloques. Ton job, ton confort, tes relations… tout ce que tu crois solide te retient. Mais ce que tu ne vois pas, c’est que la vraie perte, c’est toi-même.
Chaque jour où tu ne bouges pas, où tu restes dans cette routine qui t’endort, c’est une part de toi qui disparaît. Lentement, mais sûrement.
Regarde la vérité en face : tu te dis que t’as trop à perdre, mais qu’est-ce que tu gagnes, là, maintenant ? Tu t’ankyloses dans ton petit confort.
La vie, c’est pas un vieux canapé dans lequel tu t’enfonces doucement, c’est une aventure. Mais pour ça, faut bouger, casser des trucs, prendre des risques.
Quand j’ai décidé de tout lâcher pour me lancer dans l’informatique et la création de sites, j’avais tout à perdre. Et pourtant, c’est là que j’ai vraiment commencé à vivre, à me sentir en phase avec moi-même.
Le calcul est simple : ce que tu crois perdre en changeant, c’est rien comparé à ce que tu perds en restant immobile. Le confort, c’est une prison.
T’as peur d’échouer ? Tu vas échouer, et c’est tant mieux !
L’échec, c’est le cauchemar absolu. T’as tellement peur de te planter que tu préfères ne rien tenter. C’est plus sûr, moins douloureux. Mais je vais te dire un truc qui va te secouer : tu vas échouer.
Et c’est la meilleure chose qui puisse t’arriver. Pourquoi ? Parce que l’échec est le meilleur prof que tu puisses avoir, il t’apprend ce que la stagnation ne t’apprendra jamais.
Regarde mon parcours. Je me suis planté plus de fois que je ne peux compter. J’ai tenté de quitter ma situation à 22 ans, échec. À 27 ans, encore raté. Et pourtant, chaque chute m’a rapproché un peu plus de mon Why.
L’échec, c’est pas une fin, c’est un passage obligé. Ceux qui stagnent, ce sont ceux qui ont trop peur de tomber, alors qu’en réalité, c’est en te relevant que tu progresses.
Alors oui, l’échec fait mal, il te met à terre, mais c’est là que tu trouves la force de te relever. Échouer, c’est avancer. C’est une étape indispensable pour te rapprocher de ce qui te correspond vraiment.
Le changement sans Why, c’est du bricolage
On a tendance à croire que changer, c’est juste une question de modifier des éléments à la surface : changer de job, déménager, trouver un nouveau partenaire.
Mais si tu fais tout ça sans savoir pourquoi tu le fais, t’es juste en train de bricoler ta vie. T’essaies de bouger des pièces sans comprendre le tableau d’ensemble, et c’est pour ça que ça claque, que ça n’aboutit à rien de solide.
Le vrai changement, c’est celui qui part de ton Why. C’est là que tu commences à tout aligner, que tes actions prennent du sens. Quand j’ai découvert mon Why, tout s’est éclairé.
Avant, je courais dans tous les sens, je sautais d’un boulot à un autre, je déménageais pour fuir mes problèmes, mais ça ne résolvait rien. Pourquoi ? Parce que je n’étais pas aligné avec ce qui comptait vraiment pour moi.
Ton Why, c’est ton fil conducteur, ta boussole. C’est ce qui te permet de prendre des décisions en accord avec tes valeurs profondes. Et là, le changement ne te fait plus peur. T’as un cap, tu sais pourquoi tu bouges, même si ça fait flipper, même si t’as encore des doutes.
Le changement, c’est plus qu’une simple action : c’est aligner ta vie avec ce qui compte vraiment pour toi.