La bienveillance sur les réseaux sociaux n’améliore pas forcément ta qualité de vie

Bien, mec, on adore tous se gaver de vidéos pleines de bienveillance, de billets de blogs positifs et de posts Instagram inspirants, hein ? On pète la forme avec tout ça, non ? Mais ça change vraiment quoi dans ta vie, tous ces trucs ? Je vais te dire, t’as peut-être un bon coup de barre de bonheur virtuel, mais est-ce que ça t’aide vraiment à avancer, ou c’est juste du vent ? Allez, laisse-moi te dire ce qui me dérange là-dedans.
bienveillance reseaux sociaux

La bienveillance, un produit consommé à la chaîne

Eh bien, camarade, on se régale à bourrer notre cerveau de vidéos bienveillantes, de billets de blogs empreints de positivité, de posts Instagram inspirants, n’est-ce pas ? Ah, cette impression de faire le plein d’énergie positive… Quoi de plus digeste ?

Mais, dis-moi, ton existence est-elle plus radieuse, plus épanouissante avec tout ce bien-être virtuel ingurgité ? Je te vois balayer la question, sourire entendu aux lèvres, réponse bien rodée prête à jaillir : « Oui, ça me fait du bien, nom d’un chien ! »

Je te présente mes plus plates excuses si je piétine un peu brutalement ton patchwork de clics rassurants. Trève de sarcasmes, laisse-moi t’exprimer clairement ce qui me tarabuste ici.

Cette tendance à se gaver de bienveillance sur les réseaux, aussi louable soit-elle, peut devenir une sacrée béquille pour avancer dans l’existence.

Les encouragements d’inconnus, les affirmations positives balancées par des coachs en jogging, les mantras du développement personnel trimbalés d’un feed à l’autre… C’est rassurant, confortable même.

Mais est-ce que ça change vraiment quelque chose dans ta vie quotidienne ? À moins que tu ne sois devenu un expert dans l’art de te voiler la face, tu connais bien la réponse.

Le danger de l’épanouissement virtuel

Comprends-moi bien, camarade. Je ne dénigre pas la bienveillance, je suis moi-même un dévoué artisan de cet art en tant que coach. Ce que je remets en question, c’est cette tendance à se fier trop aveuglément au virtuel pour améliorer son quotidien.

Une étude de 2016 du journal « Emotion » illustre ce piège. Elle démontre que notre cerveau a du mal à distinguer le réel du virtuel. Autrement dit, on peut se sentir bien simplement en contemplant un écran débordant de positivité. Le hic ? C’est un plaisir éphémère qui se volatilise dès lors que les images disparaissent.

Et qu’advient-il quand sévit une tempête émotionnelle ou un coup dur ? Peux-tu réellement compter sur tous ces mots rassurants lus aux quatre coins du web ? Peux-tu appeler à la rescousse cet influenceur cool et zen aux milliers de followers lorsque ton moral est au plus bas ?

Reconnais-le, tu mérites mieux que d’être un éternel consommateur de bienveillance virtuelle. Transforme-toi en véritable acteur de ton bien-être.

Ne serait-il pas plus judicieux de privilégier des actions concrètes, tangibles, dans la « vraie vie« , pour aller mieux ? À force de chercher constamment du réconfort derrière ton écran, tu oublies que le véritable travail se fait à l’intérieur de toi.

Je te parle d’expérience, j’ai traversé de multiples tourmentes avant de trouver ma propre voie. Chaque fois, c’est par un travail interne assidu, une introspection honnête et dénuée de complaisance, que j’ai réussi à m’en sortir.

Tu dois être acteur de ta vie, mon ami. Tu ne peux pas laisser le sort de ton épanouissement entre les mains de vidéos YouTube, aussi rassurantes soient-elles.

Si le partage de bienveillance digitale te plaît et t’inspire, tant mieux. Mais n’oublie pas que seuls tes actes, dans la réalité, ont le pouvoir de rendre ta vie plus belle.

Alors, prêt à décrocher de l’écran et à passer à l’action ?

Si tu veux passer au niveau supérieur, je peux te conseiller un excellent article sur le sujet, épinglé dans le moteur de recherche de mon blog. Hop, un coup d’œil à ton fichier, et voilà : « Retrouver la confiance ». J’espère que tu y trouveras des pistes intéressantes pour sortir de l’épisode de la bienveillance à avaler en quantité.

Causes du gavage de bienveillance virtuelle

Alors, pourquoi donc tu te gaves de cette nourriture virtuelle, hein ? T’as peut-être remarqué que ton existence est de plus en plus engluée par la routine, le stress, les contraintes…

Et entre deux tâches du quotidien, le web t’offre une petite pause bien méritée : un instant de respiration avec toute sa panoplie de positivité en libre-service.

Alors tu vas chercher cette échappée, ce petit moment de tranquillité derrière ton écran. Livré à toi même, tu cours après la quiétude qu’offre le virtuel en cherchant à visionner une scène bienveillante.

Conséquences de l’omniprésence de la bienveillance virtuelle

Et là, mon pote, tu tombes dans le piège. Tu vas t’habituer à cette dose quotidienne de bienveillance. Et tu finis par consommer, consommer, consommer.

Jusqu’à être incapable d’agir sans une incitation positive venue du digital. C’est un peu comme si tu étais devenu accro à un sucre artificiel de la motivation, sauf que là, c’est ta capacité à t’auto-motiver qui dépérit.

La Réalité Déformée

Ce flux constant de bienveillance virtuelle peut te faire croire que la réalité devrait être tout aussi ensoleillée et exempte de tout problème. Or, la vie, camarade, c’est tout sauf un filtre Instagram permanent.

Les hauts et les bas, les échecs et les réussites, tout ça forme un cocktail bien plus complexe et nutritif pour ton développement personnel que n’importe quelle citation inspirante placardée sur un fond de coucher de soleil.

La Passivité Encouragée

Et que dire de cette passivité qu’encourage la consommation excessive de contenu bienveillant ? À force de regarder les autres « faire », on en oublie de « faire » soi-même. On devient spectateur de sa propre vie, se contentant de cliquer sur « j’aime » ou de partager, plutôt que de vivre activement ses propres expériences, de créer ses propres souvenirs.

L’Action Remplacée par l’Illusion

Il est facile de se sentir bien, apaisé, voire même accompli, après avoir passé une heure à consommer de la positivité en ligne. Mais ce sentiment est éphémère, car il n’est pas ancré dans l’action réelle. L’illusion d’une vie meilleure vécue par procuration peut devenir un substitut dangereux à la poursuite de tes propres objectifs et désirs.

Vers une Consommation Plus Saine

Alors, que faire ? D’abord, reconnaît que tu es le seul acteur de ta vie. La bienveillance, ça se vit, ça s’expérimente, ça se pratique au quotidien, et pas seulement derrière un écran. Ensuite, modère ta consommation de positivité virtuelle. Cherche l’équilibre. Laisse-toi inspirer, mais rappelle-toi que la vraie transformation requiert action et engagement dans le monde réel.

Enfin, cultive ta propre source de bienveillance. Sois bienveillant envers toi-même en te fixant des objectifs réalisables, en célébrant tes victoires, même les plus petites, et en apprenant de tes erreurs. La vraie bienveillance commence par soi et se propage ensuite, créant un cercle vertueux de positivité authentique et durable.

La bienveillance virtuelle ? Un outil, pas une fin en soi. Ta vie, tes choix, tes actions : voilà ce qui compte vraiment. Alors, prêt à éteindre l’écran et à agir ?

En conclusion

En gros, tu te fais des belles illusions et tu te mets à croire au monde idyllique que t’affiche ton petit écran, tu comprends? C’est comme si tu étais dans une bulle et tu refusais de sortir, par peur de trouver la réalité moins belle.

Ça, c’est le vrai danger de la bienveillance en overdose. Tu te nourris de contenus tout beaux, tout gentils, pour ne pas voir la réalité. Tu te caches, tu fais l’autruche, t’évades dans le virtuel.

Tu agis comme si le monde extérieur ne te convenait pas. Mais réveille-toi! La vraie vie, c’est aussi l’acceptation des défis, des risques et même des déceptions.

T’as vraiment besoin d’arrêter de te faire bercer par l’illusion du virtuel. T’as besoin de te reconnecter à la réalité, de la vivre pleinement, avec ses bons et ses mauvais côtés. Le virtuel, c’est bien, mais ça reste du virtuel. Le réel, c’est là où t’es vraiment. Alors mon conseil, gars, c’est d’arrêter de te gaver de cette bienveillance virtuelle et de commencer à vivre ta vraie

L’oeil du coach

Allez, avoue, camarade. C’est plaisant de s’abreuver de positivité et de bienveillance en buvant ton café devant la dernière publication Instagram de ton coach préféré, non ?

Rassure-toi, tu n’es pas le seul à te complaire dans cette douce illusion de bien-être digital. Quoi de mieux pour démarrer la journée, tu me diras. Mais dis-moi, ton quotidien est-il moins morose grâce à cette avalanche de bonheur virtuel ? Hélas, je vois le doute pointer dans ton regard.

Danger de l’épanouissement virtuel : la déconnexion au réel

Crois-moi, mon ami, cette dépendance pour le bonheur à portée de clic peut se révéler une entrave réelle à ton épanouissement. En 2016, une étude du journal « Emotion » a soulevé un problème majeur. L’ampleur des images positives que nous absorbons peut avoir des effets éphémères, de simples distractions qui disparaissent au premier coup du sort. Alors, que fais-tu quand la tempête frappe ?

Agir dans le concret pour un bien-être durable

N’est-il pas temps de lâcher cet écran et de se concentrer sur des actions concrètes ? Parce que seul le travail intérieur et des actions tangibles peuvent t’aider à surmonter ces moments de turpitude. Je ne parle pas en théorie, j’ai vécu des montagnes russes émotionnelles avant de trouver la voie du bien-être. Parole de coach !

En clair, stoppe cette consommation excessive de bienveillance virtuelle et deviens acteur de ton épanouissement. Oui, le partage d’images inspirantes est agréable, mais soyons francs, cela ne changera pas ton quotidien.

Le piège de la commodité numérique

Devant la routine et l’angoisse, tu te tournes vers la facilité : la dose presque infinie de bonnes vibes derrière ton écran. Et tu tombes dans le piège de l’évasion virtuelle, crois-moi.

Conclusion : la vraie vie est hors écran

En résumé, camarade, la seule façon de vraiment embellir ta vie est de te libérer des chaînes de cette illusion digitale et de te confronter à la réalité. Ce n’est qu’en affrontant la vie dans son intégralité que tu pourras vraiment grandir et t’épanouir. C’est dans la réalité, en dehors de cet oasis digital, que la vraie vie se déroule.

Alors, prêt à éteindre ton écran et à te plonger dans le grand bain du réel ? Si tu te sens perdu, je te conseille ce précieux guide « Oser sa voie, oser être soi ». Tu y trouveras des conseils précieux. Ensemble, nous pouvons t’aider à reprendre les rênes. Après tout, c’est en ne faisant rien qu’on y parviendra, n’est-ce pas ?

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Ce qu’ils disent de moi

Valérie F.

Rated 4,0 out of 5

Un échange humain.

Effectivement, Stephane dépote.

Plus qu’un coaching, c’est un vrai moment de partage d’expérience de la vie, ce qui rend la discussion riche.

Je me suis fait remuer, et je dois dire que si j’étais réticente, au bout du compte, j’en avais besoin.

Valérie F.

Sophie A.

Rated 3,0 out of 5

Il faut aimer se faire bouger. Ce n’est pas toujours agréable, même si tout se passe dans la bonne humeur et avec le sourire.

On ne se fait pas gronder ou engueuler, mais ça remue, ça bouge.

Stéphane n’est pas là pour te laisser dans tes doutes, il te secoue.

Sophie A.

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ta confiance

Ok, t’a confiance s’est fait la malle, partie sans laisser d’adresse, et depuis, tu galères à la moindre difficulté.

C’est quoi ? Un trauma passé qui te plombe, une rupture sentimentale qui a tiré le rideau ses tes espoirs, tu t’emmerdes au boulot ? Bon, voici de quoi te remettre sur les rails.

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