T’as l’impression d’être une merde ? Bienvenue au club !
T’es là camarade, à te dire que t’es bon à rien, que tout ce que tu touches se transforme en fiasco.
Sache que t’es pas seul dans ce bordel : 50% des jeunes Français entre 18 et 30 ans manquent de confiance en eux, et 8 sur 10 laissent tomber leurs rêves à cause de ça.
Ce sentiment de nullité, c’est pas juste une petite voix agaçante dans ta tête ; c’est un putain de frein qui t’empêche de vivre pleinement ta vie, que ce soit au taf ou dans tes relations.
La spirale infernale du « je suis nul »
Quand tu te répètes sans cesse que t’es une merde, tu finis par y croire dur comme fer. Et devine quoi ? Ça devient une prophétie auto-réalisatrice :
- Tu te lances pas dans de nouveaux projets parce que t’as peur de te planter.
- Tu rates des opportunités en or parce que tu te sens pas à la hauteur.
- Tu te compares aux autres et, sans surprise, tu te trouves toujours en dessous.
Résultat : tu restes coincé dans ta zone de confort, qui ressemble plus à une prison qu’à un cocon.
On va te secouer un bon coup
Ici, on va pas te caresser dans le sens du poil. On va te mettre face à tes conneries, te montrer que ce sentiment de nullité, c’est de la foutaise, et surtout, on va te filer les clés pour t’en sortir.
On va creuser dans les origines de ce mal-être, démonter les croyances à la con qui te pourrissent la vie, et te montrer comment reprendre les rênes.
Prépare-toi à bouffer du concret, du vécu, et à te prendre quelques claques salutaires.
Allez, on attaque.
Pourquoi tu crois que t’es une merde ?
Creusons dans le passé : d’où vient ce poison mental ?
Quand tu te dis « je suis nul« , ça sort pas de nulle part, camarade. Ce genre de pensée, c’est comme un virus qu’on te refile dans l’enfance.
Une remarque blessante, un échec mal digéré, ou pire, des années à entendre que t’es bon à rien : tout ça, ça laisse des marques.
Moi, j’ai grandi avec une mère qui me sortait des « t’es qu’un incapable » à longueur de journée.
Résultat : je suis parti dans la vie avec l’idée que j’étais une foutue erreur de la nature.
Ce que tu ressens n’est pas toi
On confond souvent les blessures reçues avec notre identité. Mais ce sentiment d’être « nul« , c’est pas toi.
C’est juste une ombre qui s’accroche. T’as intégré des phrases qu’on t’a balancées et tu les as transformées en vérité absolue.
Mais sérieux, qui a dit que ton bourreau avait raison ? Les mots durs, c’est comme une cicatrice : ils sont là, mais ils définissent pas qui tu es.
Trois étapes pour identifier la source
- Repère les moments-clés : Quels sont les souvenirs ou les remarques qui t’ont marqué ? Note-les, noir sur blanc.
- Pose-toi la question du « pourquoi » : Pourquoi ces mots ou ces événements te hantent encore aujourd’hui ?
- Fais le tri entre passé et présent : Ce que tu ressens maintenant, est-ce encore lié à ce moment-là, ou c’est juste une vieille habitude mentale qui traîne ?
La vérité, c’est que ces blessures ne sont pas gravées dans le marbre. Elles sont comme des graffitis sur un mur : avec le bon coup de peinture, tu peux les effacer.
T’as juste besoin de commencer par les voir clairement.
Prêt à te secouer ? On passe au prochain point.
Pourquoi t’as l’impression que tout part en couilles ?
Ce sentiment de nullité, une illusion bien rodée
Quand tu te regardes dans le miroir et que tu te dis « je suis nul« , t’es en plein dans une distorsion cognitive, camarade.
Ton cerveau te joue des tours : il zoome sur tout ce que t’as foiré et fout à la poubelle le moindre petit succès. Moi aussi, je me suis regardé comme une vieille serpillère pendant des années.
Je voyais mes échecs en boucle, comme une mauvaise série télé, et j’oubliais tout ce que j’avais réussi à construire. Pourtant, j’ai fais de belles choses malgré les galères, mais je balayais tout. Rien n’existait, que les échecs.
Tu te fais avoir par tes propres pensées
Les psy appellent ça des biais cognitifs. En gros, ton cerveau est comme un pote bourré en soirée : il exagère tout, il généralise, et il tire des conclusions à l’arrache.
Résultat ?
- Tu te focalises sur tes échecs : Le taf que t’as pas décroché, la relation qui a capoté… tout ça prend 100 fois plus de place que ce qui a bien marché.
- Tu te compares aux autres : Et forcément, t’oublies que toi, t’as pas les mêmes cartes en main qu’eux. T’as grandi avec tes casseroles, pas les leurs.
- Tu généralises : Un échec devient « je rate tout« , et une critique devient « je suis une merde« .
Change ta vision : trois questions à te poser
- Quelles réussites as-tu oubliées ? : Creuse dans ta mémoire. Même les petites victoires comptent.
- Est-ce que tu jugerais un ami aussi sévèrement ? : Spoiler : non. Alors pourquoi être aussi dur avec toi-même ?
- Quel serait ton conseil à quelqu’un dans ta situation ? : T’étonneras de voir que t’es bien plus sage que tu le crois.
Mets tes lunettes propres
Regarde ta vie comme elle est vraiment, pas comme ton cerveau biaisé te la montre. Ça va pas tout réparer d’un coup, mais ça va déjà te filer une bonne claque de réalité.
Et crois-moi, tu vas voir que t’es loin d’être aussi nul que tu le crois.
On passe au prochain point, camarade, parce qu’il est temps de lâcher le poids du jugement des autres.
Pourquoi tu laisses les autres te foutre à terre ?
Les jugements des autres, ces boulets que tu traînes
Camarade, tu te compares aux autres, tu gobes leurs critiques comme si c’était des vérités divines, et voilà : t’es coincé.
Perso, j’ai passé des années à écouter les « tu réussiras jamais » et les « t’es pas fait pour ça« .
Ça m’a paralysé. C’est comme si je donnais les clés de ma vie à des gens qui n’avaient rien à foutre de mon bonheur.
Les autres n’ont pas ton GPS
Le problème, c’est que tu te laisses définir par des gens qui ne connaissent rien de ton parcours, de tes galères, de tes rêves.
Ils te jugent avec leurs propres filtres, leurs propres peurs. C’est comme si tu naviguais avec une boussole aimantée par leurs insécurités.
Le regard des autres, sauf de ceux qui te sont vraiment proches, et encore… bah on s’en cogne !
Trois étapes pour larguer les jugements
- Identifie qui te freine vraiment : Fais une liste des gens dont les jugements t’impactent. Famille, collègues, « amis ». Oui, ça pique, mais c’est crucial.
- Demande-toi si leur avis compte vraiment : Ces personnes vivent-elles la vie que tu veux ? Si non, pourquoi leur donner autant de pouvoir ?
- Crée ta propre vérité : Note ce que TOI, tu veux pour ta vie. Pas ce que les autres attendent de toi, pas ce qu’ils pensent que tu devrais faire.
Tourne la page du « qu’en-dira-t-on »
Arrête de suivre des conseils qui ne collent pas à tes valeurs. Quand t’arrêtes de vivre pour plaire aux autres, tu récupères une énergie de dingue.
Sérieux, camarade, t’as mieux à faire que de porter le poids des attentes des autres. La vie, c’est pas un concours de popularité ; c’est une quête de sens.
Et pour ça, on va voir comment trouver ton Why. Allez, accroche-toi, ça va être grandiose.
Retrouve ton Why : ta boussole dans la tempête
Ton Why, c’est quoi ce bordel ?
Le Why, c’est ton moteur, camarade. C’est cette raison profonde qui te pousse à avancer, même quand tout part en vrille.
Quand tu connais ton Why, t’as une boussole intérieure qui te guide, peu importe le chaos autour.
Perso, ça m’a sauvé. Après des années à me sentir comme une mouche dans un bocal, j’ai enfin trouvé ce qui me faisait vibrer, ce qui donnait du sens à mes choix.
Pourquoi ça change tout ?
Trouver son Why, c’est arrêter de tourner en rond, d’essayer de plaire à tout le monde, et de courir après des conneries qui ne te nourrissent pas vraiment.
C’est la différence entre vivre pour remplir des cases et vivre pour toi. Ton Why, c’est comme une putain de lumière dans un tunnel sombre.
Comment trouver ton Why en trois étapes ?
- Creuse dans ton histoire : Regarde les moments où tu t’es senti vivant. Qu’est-ce qui te faisait vibrer ?
- Identifie tes valeurs : Qu’est-ce qui est essentiel pour toi ? Ce qui te rend fier ? Ce que tu veux transmettre ?
- Formule ton Why : C’est pas une poésie. C’est une phrase simple qui résume pourquoi tu fais ce que tu fais. Exemple : « Inspirer les autres à se dépasser » ou « Créer un monde plus juste ».
Ton Why : ton armure contre le « je suis nul »
Quand t’as ton Why, tu deviens inarrêtable. Ce n’est pas que les doutes disparaissent, mais ils perdent de leur pouvoir.
T’as un cap, une direction. Et chaque décision devient plus claire, plus alignée avec qui tu es vraiment.
Alors, camarade, es-tu prêt à découvrir ce qui t’anime au plus profond ? Parce que là, on parle pas de survie, on parle de vie.
Tout ça, c’est entre tes mains
Tu vois, camarade, ce sentiment de nullité, cette peur de te lancer, ce poids des jugements des autres…
Ce ne sont que des illusions bien ancrées.
Elles te pourrissent la vie, mais elles ne sont pas insurmontables. En comprenant d’où viennent ces pensées, en arrêtant de te comparer aux autres et en découvrant ton Why, tu récupères ce qui t’a toujours appartenu : la maîtrise de ta vie.
Rien ne change si tu ne bouges pas. Alors la vraie question, c’est : qu’est-ce que tu veux vivre maintenant ?
Continuer à te laisser bouffer par tes doutes, ou enfin construire une vie qui te ressemble ? C’est toi qui vois, c’est toi qui décides.
Ce que tu dois retenir
- Ton sentiment de nullité n’est pas toi : C’est un résidu du passé que tu peux balayer.
- Arrête de t’écraser sous le regard des autres : Ce qu’ils pensent ne te définit pas.
- Trouve ton Why et avance avec un cap : C’est la clé pour transformer tes doutes en force.
Alors, prêt à passer à l’action ? C’est là que tout commence. Le reste, c’est toi qui écris l’histoire.