Le lâcher prise, définition
Le lâcher-prise, c’est arrêter de s’accrocher à ce qu’on ne peut pas contrôler et accepter que certaines choses échappent à notre pouvoir. C’est dire adieu aux attentes irréalistes et aux soucis inutiles, et faire la paix avec soi-même et la situation.
En gros, c’est se libérer du stress en laissant tomber ce qui nous pèse, pour se concentrer sur ce qui compte vraiment et retrouver une tranquillité d’esprit.
Stratégie pour lâcher prise
La chose n’est pas aussi simple que de lâcher le volant de la voiture (attention, tu risques de prendre le mur !) Tout se passe dans la tête.
Le lâcher-prise va de pair avec l’acceptation d’une situation, nous venons de le voir plus avant. Plus tu luttes, plus tu donnes de l’importance au problème, plus la colère te gagne, plus elle devient ravageuse.
La méthode
Voici une méthodologie claire et directe pour lâcher prise face à une situation stressante ou difficile sur l’instant
- Reconnaître ses émotions :
- Identifie précisément ce que tu ressens face à la situation. Nommer l’émotion diminue son intensité.
- Accepter sans juger :
- Accepte que ces émotions soient présentes. Ne te juge pas pour les ressentir. C’est une réaction humaine normale.
- Définir ce qui est hors de ton contrôle :
- Dresse une liste des éléments de la situation que tu ne peux pas changer. Concentre-toi sur ce qui est dans ton contrôle.
- Changer de perspective :
- Essaye de voir le problème sous un autre angle. Demande-toi si cela aura une importance dans cinq ans. Ou essaie de voir la situation avec le regard de l’autre, comment lui voit les choses.
Et aussi, de façon plus globale
- Fixer des limites claires :
- Apprends à dire non ou à mettre des limites saines dans tes interactions, évitant ainsi les situations qui alimentent ton stress.
- Se donner de la compassion :
- Traite-toi avec la même compassion que tu offrirais à un ami dans la même situation. Sois indulgent envers toi-même.
- Déconnecter des pensées négatives :
- Lorsque des pensées négatives surviennent, imagine-les comme des nuages passant dans le ciel, sans t’y accrocher.
- Fixer des objectifs réalisables :
- Détermine des actions concrètes que tu peux entreprendre immédiatement. Cela te permet de te sentir plus maître de la situation.
En complément, le matin ou le soir :
- Écrire ce qui te tracasse :
- Mets sur papier tout ce qui te préoccupe. Cela aide à clarifier les pensées et à voir les problèmes plus objectivement. C’est le journaling, une puissante méthode pour aller bien mieux.
- Pratiquer la gratitude :
- Chaque jour, note trois choses pour lesquelles tu es reconnaissant. La gratitude renforce le positivisme.
Tu veux continuer à te prendre la tête ?
T’as déjà essayé de te détendre ? Oui, je parle de véritable relaxation, pas juste de t’affaler sur le canapé avec ton téléphone à la main. Je te cause de laisser filer les soucis comme tu laisses défiler les stories sur Insta.
J’aborde la question parce que, tu vois, lâcher prise, c’est plus qu’un concept à la mode qu’on retrouve dans les ouvrages de développement personnel et sur les blogs de psychologie positive. C’est une méthode, un exercice mental, un entrainement pour ton ciboulot qui ne sait plus où donner de la tête.
Imagine un instant le scénario : ton boss te balance une deadline irréaliste, ta vie perso c’est Game of Thrones sans les dragons, et là, au milieu de ce bordel, t’as Cécile Neuville, une spécialiste en psychologie, qui te dit : « respire, ça va aller ». Tu te dis probablement qu’elle n’a pas idée de ce que tu traverses.
Mais le truc, c’est qu’elle a pas complètement tort. Le lâcher prise, ça commence souvent par un retour au présent, un moment de respiration, pour te detendre vraiment.
Oublie deux minutes le passé, et prends conscience de ton corps. T’entends le battement de ton rythme cardiaque qui s’emballe ? Eh bien, c’est le moment de lui dire « on se calme ».
Lâcher prise au quotidien, c’est aussi apprendre à lâcher cette manie de vouloir tout contrôler.
Parce que, soyons honnêtes, est-ce que tu maîtrises vraiment quelque chose en t’énervant sur un truc qui est déjà arrivé ou sur une chose que tu ne peux pas changer ?
La réponse est non, au cas où tu te poserais encore la question. C’est comme regarder un épisode d’une meilleure comédie que tu connais par cœur et espérer un autre dénouement. C’est pas juste inutile, c’est du masochisme pur.
Donc, laisse-moi te donner un conseil d’ami : commence par des exercices simples de respiration abdominale, ceux-là mêmes que ton sophrologue t’as montré la dernière fois. Oui, tu sais, cette activité que t’as trouvé un peu niaise sur le moment. Eh bien c’est l’heure de l’adopter.
Respirer profondément pour détendre ton corps et distancer tes pensées. Ça a l’air bête, mais c’est redoutablement efficace. C’est comme s’ancrer dans l’instant pour te donner le calme nécessaire à prendre du recul face à tes problèmes.
Mais tu sais quoi ? Le lâcher prise c’est aussi renoncer. Oui, tu as bien lu. Renoncer à régler un problème que tu ne peux pas solutionner immédiatement.
C’est admettre qu’il existe différentes manières de voir une situation, et que ton point de vue n’est pas la réalité absolue.
Accepter que t’es pas la personne la plus importante de l’univers et que le monde ne va pas s’effondrer si tu mets de côté ton désir de maîtrise sur tout. Et, crois-moi, c’est là où tu commences à trouver un peu de cette paix mentale tant désirée.
Alors, tous ces mots comme sophrologie, sophrologue, psychologie ce sont des clés pour t’aider à lâcher prise.
Cécile Neuville et bien d’autres te proposent des moyens, menant à une vie plus zen, plus équilibrée, où stress, pression et anxiété ne sont plus à l’ordre du jour. Et avant que tu te dises que ce n’est pas pour toi, essaie donc.
Juste une minute, un exercice, une activité qui te permet de te relâcher, de te laisser aller. Parce que franchement, quel est le pire qui puisse arriver si tu décides de lâcher prise ? Que tu te sentes mieux ?
Tu ne peux pas tout contrôler
Mon ami, il est naturel de chercher le contrôle dans notre vie, mais c’est dans l’acceptation de l’impermanence et de l’incontrôlable que nous trouvons la véritable liberté. Le lâcher prise n’est pas un signe de faiblesse, c’est un pas courageux vers une vie plus sereine et authentique.
Le lâcher-prise est un concept qui signifie la capacité à abandonner le contrôle excessif sur certaines situations, émotions ou pensées.
Cela peut être considéré comme un processus de relaxation mentale et émotionnelle qui permet de réduire le stress et l’anxiété.
Le lâcher-prise implique de reconnaître ses limites, de faire confiance à la vie pour faire son cours naturel, d’accepter ce qui est, puisque c’est là.
Cela peut apporter plus de paix intérieure, de clarté mentale et d’acceptation de soi et des autres.
En général, le lâcher-prise est un aspect important pour améliorer la qualité de vie et renforcer les relations interpersonnelles.
C’est quoi la notion de contrôle excessif
Le contrôle excessif peut être défini comme un besoin compulsif de maîtriser les situations, les émotions et les pensées, même si cela peut causer de la frustration et de la stress.
Voici quelques exemples de situations courantes qui peuvent illustrer le contrôle excessif dans la vie de tous les jours :
- Vouloir toujours avoir raison dans une conversation, même si cela signifie interrompre les autres pour le faire
- Refuser de prendre un jour de congé, même si vous êtes épuisé, parce que vous voulez être sûr que tout se passe bien au travail
- Essayer de tout planifier à l’avance, sans laisser de place à l’imprévu
- Refuser de manger autre chose que des aliments sains, même si tu as envie d’un bon dessert
- Vouloir tout ranger à sa place immédiatement, même si tu es en visite chez des amis
- Le contrôle excessif peut rendre la vie plus stressante et moins amusante, il est donc important d’apprendre à lâcher prise pour retrouver une vie plus équilibrée.
Pourquoi tu devrais lâcher prise
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles le lâcher-prise peut être bénéfique :
Réduction du stress
Le contrôle excessif peut causer beaucoup de stress et d’anxiété, mais en apprenant à lâcher prise, vous pouvez réduire ces niveaux de stress
Amélioration de la santé mentale
Le lâcher-prise peut aider à améliorer la santé mentale en permettant de laisser aller les pensées négatives et les émotions perturbatrices
Augmentation de la clarté mentale
En abandonnant le contrôle excessif, vous pouvez vous concentrer sur l’instant présent et être plus conscient de ce qui se passe autour de vous
Développement de la confiance en soi
Le lâcher-prise peut renforcer la confiance en soi en vous montrant que vous pouvez faire face aux défis sans avoir à tout contrôler.
Amélioration des relations interpersonnelles
Le lâcher-prise peut également aider à améliorer les relations interpersonnelles en vous permettant de mieux comprendre et d’accepter les points de vue et les comportements des autres.
N’est-il pas dangereux de lâcher prise
Il est normal d’avoir un certain besoin de contrôle, car cela peut t’aider à te sentir en sécurité et en confiance.
Le lâcher-prise ne signifie pas abandonner complètement le contrôle, mais plutôt d’apprendre à trouver un équilibre entre le contrôle et l’acceptation de ce que tu ne peux pas contrôler.
Le lâcher-prise peut être un processus progressif et délicat, surtout si tu as ce besoin très fort de tout contrôler, mais avec de la pratique, tu peux développer de nouvelles compétences pour faire face aux défis de la vie avec plus de sérénité.
Lâcher prise et émotions
Le lâcher-prise peut aider à gérer les émotions en permettant de les ressentir sans essayer de les contrôler ou de les réprimer.
Cela peut améliorer la capacité à gérer les émotions difficiles et à développer une relation plus saine avec elles.
Cependant, le lâcher-prise concerne également d’autres aspects de la vie, tels que les situations, les relations, les attentes, etc.
Cela signifie apprendre à accepter ce qui est hors de ton contrôle et à faire face aux défis avec une attitude plus détendue et plus positive.
En général, le lâcher-prise peut aider à développer une relation plus saine avec toi-même et avec les autres, ainsi qu’une vie plus satisfaisante et moins stressante.
Accepter ou lâcher prise
Lâcher-prise signifie laisser aller le besoin de contrôler les choses et d’être toujours dans la volonté d’endosser la responsabilité.
L’acceptation, quant à elle, signifie accepter une situation telle qu’elle est sans essayer de la changer.
En général, lâcher-prise et acceptation sont souvent des étapes interconnectées pour faire face à des situations difficiles.
Le lâcher-prise peut aider à développer l’acceptation, tandis que l’acceptation peut aider à développer un état d’esprit de lâcher-prise.
En travaillant ensemble, lâcher-prise et acceptation peuvent t’aider à te sentir plus en paix et plus détendu face aux défis de la vie.
Prenons l’exemple du trafic sur ton trajet quotidien. Lâcher-prise dans ce cas signifie accepter que tu ne peux pas contrôler la situation du trafic et laisser aller ton stress à ce sujet.
Tu peux écouter de la musique, respirer profondément ou te détendre en utilisant une technique de méditation pour aider à laisser aller ton stress.
Acceptation signifie accepter que le trafic peut être lent et que tu ne peux rien y faire.
Au lieu de t’inquiéter pour les retards potentiels, tu peux te concentrer sur le moment présent et apprécier le temps que tu as pour te détendre ou te préparer pour la journée à venir.
Comment lâcher prise?
La vie courante recèle d’exemples sur lesquels tu peux t’exercer au lâcher prise, voici des exemples concrets pour mieux comprendre et agir de façon concrètes.
Le lâcher prise du réveil
Ton mioche refuse de se lever le matin, et tu te mets en pétard au bout de la troisième injonction. Mais le gamin, lui, continue de traîner. Je te rassure, avec ma gamine, c’est pareil.
J’en ai eu assez de me mettre en colère. J’ai donc accepté cet état de fait, d’autant plus facilement qu’à son âge, je dois bien avouer que je ne sautais pas du lit pour foncer à l’école.
L’évolution suit son cours, car je m’y suis collé depuis quelques semaines, et les habitudes ont la vie dure. L’amélioration est certaine, tant pour moi, que pour elle.
Elle ne se lève pas plus vite, mais au moins, nous évitons le clash matinal bien connu dans nombre de familles, et cela fait du bien.
Le lâcher prise des tâches ménagères
Les tâches ménagères sont aussi une source réputée d’embrouilles dans les couples. L’un semble en faire plus que l’autre. De fait, celui qui en fait plus se sent tout à la fois lésé, abandonné, et forcément, la colère monte.
Avec ma femme, nous avons mis en place une entente quasi naturelle. Elle gère une partie, moi l’autre. Ce qui nous évite bien des soucis. Et puis il faut bien faire ce qui doit être fait.
C’est une forme de lâcher-prise. Lutter contre le fait de devoir faire le ménage, pourquoi pas. Mais quelles sont les conséquences ?
D’abord, tu vivras dans une maison pas très reluisante, ce qui n’est pas agréable pour la vue et le confort. Ensuite, tu auras constamment cette petite voix qui te dira qu’il serait bien de faire un coup de clean.
Tu vas donc lutter en permanence contre cela. Alors qu’une heure de ménage, et le tour est joué ! L’esprit libre.
Le lâcher prise du dimanche
Le piège du dimanche, tu connais ? C’est dimanche, et tu es déjà en train de penser au lundi matin, surtout si tu n’as pas envie d’aller bosser le lundi matin.
Et là, c’est l’angoisse. Tu passes en revue tout ce qui t’attend, la réunion, le déplacement, les collègues, les bouchons, le dossier super urgent.
Autant te dire que sans même t’en rendre compte, ton visage s’est crispé, tu as viré à l’humeur maussade.
Pourquoi ne pas simplement penser à autre chose et profiter un peu de ta famille, de ce dimanche à ne rien faire, ou aller faire du sport, lire un bouquin, faire une balade en famille ?
Le lâcher prise des engueulades
Les disputes et autres scènes de ménage. Sans doute le plus compliqué. Encore une fois, tout passe par l’acceptation.
Plutôt que de vouloir à tout prix avoir raison, tu as aussi le droit d’accepter que ton partenaire soit en pétard. Voilà qui va déjà considérablement désamorcer la crise.
Plutôt que de vouloir gueuler plus fort, de te justifier, tu peux aussi dire à la personne en face de toi que tu comprends qu’elle soit en rogne.
Après tout, toi aussi face à certaines situations tu te mets en furie, et tu estimes cette colère légitime. Alors, pourquoi celle de ton partenaire ne le serait pas ?
Tu as fait une erreur, ce qui irrite ton partenaire ? Le reconnaître te rendra ta dignité, et renforcera vos liens.
Bon, si tu as envie de divorcer, fonce dans la crise, tôt ou tard, tu obtiendras gain de cause.
Pourquoi c’est si difficile de lâcher prise
À cause de notre cher et tendre ego ! Tu exprimes une conviction, un ressenti dont tout découle. C’est le « j’existe », « je suis », et cela, déconnecté de toute conscience du monde qui t’entoure, et tu veux que le monde entier se plie à ta loi.
Observe les attitudes des uns et des autres sur les réseaux sociaux. Chacun y va de son savoir, de sa science, et si tu n’es pas d’accord, tu n’es rien, on te moque, on t’insulte, puis on te bloque. Tu es nié dans ton existence.
Une voix contraire est interdite. Chacun veut dire ce qu’il a à dire, et veut être entendu. Entendu, veut ici dire : sois d’accord avec moi. Interdiction de me contredire.
Plus toxique comme façon d’être, je ne connais pas. Nous touchons là à une forme de fascisme. Visiblement, ça n’a pas l’air de rendre grand monde heureux.
Quand je braille après ma fille qui ne se lève pas, j’oublie que j’ai été un gamin à qui il fallait trois plombes pour se lever, et j’oublie que j’ai aussi des réveils compliqués. En prenant conscience de cela, je peux la réveiller un peu plus tôt pour lui laisser le temps d’émerger tranquillement.
J’accepte que ma môme ait besoin d’un peu de temps pour se mettre en route, comme son père. Et cela nous facilite la vie à tous les deux.
Et plus qu’une faiblesse, c’est une opportunité de mieux vivre ensemble nos matins. Je ne nie en rien mon rôle de père, je l’augmente, puisque je prends l’existence pleine et entière de mon enfant dans cet instant de vie.
Ma fille se sent écoutée, reconnue, et même si certains jours je dois encore la pousser un peu au cul, nos journées démarrent quand même bien mieux.
Lâcher prise ou résignation ?
La résignation et le lâcher-prise semblent similaires car tous deux impliquent de relâcher une certaine prise sur les événements, mais ils diffèrent profondément dans leur essence et leurs impacts.
La résignation est teintée de pessimisme et de passivité. Lorsque tu es résigné, tu abandonnes face à une situation en acceptant ton impuissance, souvent avec amertume et déception.
Cela implique une soumission à la situation sans chercher à en tirer un quelconque bénéfice positif, accompagnée d’une perte de motivation et d’espoir.
À l’inverse, le lâcher-prise est une démarche proactive et optimiste. Il s’agit d’accepter que certaines choses échappent à ton contrôle et de choisir consciemment de ne pas laisser ces circonstances dicter ton bien-être émotionnel.
Le lâcher-prise est libérateur; il te permet de te détacher des résultats tout en continuant d’agir de manière intentionnelle et alignée avec tes valeurs. Cela conduit souvent à une plus grande paix intérieure et à une ouverture à de nouvelles possibilités.
Ainsi, alors que la résignation est une capitulation, le lâcher-prise est une acceptation éclairée et une continuation résiliente de la vie.
En conclusion
Nous sommes habitués à lutter, partout, tout le temps, contre tout et contre rien. Et lutter, plus que nous renforcer, nous épuise. C’est fatiguant de toujours lutter, c’est fatiguant psychiquement, c’est fatiguant physiquement.
Tu ne pourras jamais contrôler tout ce qui se passe autour de toi, vouloir croire le contraire, c’est vivre dans l’illusion.
Tu ne contrôles pas tes collègues, ton partenaire, tes enfants, les gens dans la rue, tes clients. Tu ne contrôles pas la météo, le trafic, la queue au supermarché, le livreur qui est en retard. De tout cela, tu ne contrôles rien. L’accepter, le reconnaître, en prendre conscience, c’est un premier pas vers le lâcher-prise.
Je vis le lâcher-prise comme un art de vivre. Ce n’est pas de la dilettante, du « je-m’en-foutisme », c’est avoir conscience que je ne peux contrôler les autres.
Cela ne m’empêche de faire ce que je dois faire du mieux possible, au contraire, puisque j’ai plus de ressources à ma disposition pour écrire, lire, vivre avec les miens, accueillir les autres dans mon univers.
Cela ne m’empêche pas de faire preuve de fermeté quand le besoin s’en fait sentir, et je me sens tout à fait à l’aise avec cela. Et toi ?