t’en as pas marre de tourner en rond
Putain, t’as jamais l’impression de pédaler dans la semoule, de répéter les mêmes conneries sans fin, de tourner en rond ? T’es pas le seul.
En France, près de 20 % des adultes ont consulté un psychologue ou un psychothérapeute au cours de leur vie, et 12 % ont suivi une thérapie au cours des cinq dernières années.
Et toi, t’en es où dans tout ça ?
On va pas se mentir, la prise de conscience, c’est pas juste un concept à la con pour les bobos.
C’est le premier pas pour arrêter de se voiler la face et enfin prendre les rênes de sa vie. Dans les pages qui suivent, on va dézinguer les idées reçues, te filer des outils concrets comme le journaling, et te montrer comment le Why peut te servir de boussole.
Allez, on arrête de se raconter des salades et on passe aux choses sérieuses.
T’es coincé dans ta routine ? commence par ouvrir les yeux, camarade
Stop les excuses, regarde la réalité en face
Camarade, arrête de croire que tout ira mieux avec un nouveau job, une autre maison ou des vacances de rêve.
La vérité, c’est que tu tournes en rond parce que t’as pas encore capté ce qui cloche vraiment.
On est tous un peu comme ça, hein. On pense que le problème, c’est l’extérieur. En vrai, le merdier, il est à l’intérieur.
T’as sûrement entendu des phrases du genre « Change ton environnement et tout suivra. »
Bullshit.
Dans ton parcours, comme dans le mien, ce qui coince, c’est souvent nos schémas invisibles, ces foutus réflexes qu’on traîne depuis des années.
Moi, j’ai longtemps cru que c’était la faute des autres. Mais le jour où j’ai pris conscience de mes mécanismes, tout a changé.
La routine, c’est dans la tête, pas autour de toi
T’as peur de bouger, je parie. La peur de l’échec te tient en laisse, comme elle m’a tenu pendant des années. Mais laisse-moi te dire un truc : tant que tu refuses de voir pourquoi t’es bloqué, t’avanceras pas.
Prendre conscience, c’est pas une baguette magique. C’est un coup de pied au cul pour regarder tes comportements en face et commencer à les changer.
Prends cinq minutes, écris ce qui te saoule dans ta vie. Regarde bien cette liste. Combien de ces trucs dépendent vraiment de toi ?
Et combien tu mets sur le dos des autres ? Si t’as des réponses honnêtes, t’es déjà sur le bon chemin.
Camarade, personne viendra te sauver. C’est toi, ton Why et tes tripes qui feront la différence. Alors, qu’est-ce que t’attends pour ouvrir les yeux ?
Pose-toi les bonnes questions, camarade
Arrête de chercher les réponses ailleurs
On est tous pareils : dès que ça coince, on se rue sur les conseils des autres. « T’en penses quoi, toi ? » « Tu ferais quoi à ma place ? »
Mais camarade, ce que t’as pas encore capté, c’est que ces réponses sont jamais vraiment les tiennes. Les autres te filent leurs solutions, mais toi, t’as besoin de creuser tes propres questions.
Quand j’étais au fond du trou, j’ai fait comme toi. J’ai cherché à droite, à gauche, en espérant qu’on me file une clé magique.
Spoiler : y’en a pas.
La seule chose qui m’a sauvé, c’est de me poser les vraies questions, les bonnes questions. Pas les « Comment les autres voient ça ? » mais les « Pourquoi je ressens ça ?«
les questions qui changent tout
Alors, camarade, prends un carnet. Écris ces questions et réponds-y :
- Qu’est-ce qui me fout en rogne dans ma vie ?
- Qu’est-ce que j’attends vraiment de mes choix actuels ?
- Si j’écoutais mes tripes, qu’est-ce que je ferais différemment demain ?
Pose-toi, sans bullshit, et sois honnête. Ces questions, elles vont te bousculer.
Mais elles vont aussi te réveiller.
T’as pas besoin d’une solution extérieure. T’as besoin d’écouter ce qui se passe en toi.
Et si tu veux un truc extérieur, un coach va te pousser à te poser ces questions là. Mais il ne peut pas y répondre pour toi. En revanche, il sera avec toi pour sécuriser ton parcours.
Alors, tu prends ce carnet ou tu continues à te cacher derrière les conseils des autres ?
Echecs, frustrations, douleurs : tes alliés pour avancer
Les coups durs, ce sont pas des boulets, c’est du carburant
Camarade, faut qu’on parle de tes échecs. Ces trucs que tu planques bien sous le tapis en espérant qu’ils disparaissent.
T’as tort.
Ces échecs, c’est ton trésor. Ouais, t’as bien entendu. Ce qui te semble être des boulets, ce sont en fait des briques pour construire la suite.
Regarde ma vie : des années à me vautrer, à fumer comme un pompier, à me cacher derrière des excuses.
J’en ai fait des conneries, crois-moi.
Mais le jour où j’ai arrêté de fuir mes échecs, j’ai commencé à en tirer des leçons.
Et devine quoi ?
Ces mêmes échecs, ils m’ont appris ce que je voulais vraiment.
Apprendre à lire les messages de tes frustrations
Alors, camarade, regarde tes échecs bien en face. Note-les. Analyse-les. Qu’est-ce qu’ils disent sur toi ? Sur ce que tu veux, ou au contraire, sur ce que tu refuses de voir ?
T’as l’impression de stagner ? Ça veut dire que t’es pas aligné avec tes envies profondes.
T’as peur d’échouer ? C’est peut-être parce que tu cherches à atteindre un truc qui compte pas vraiment pour toi.
Pose-toi cette question clé : qu’est-ce que mes frustrations essaient de me dire ?
Les réponses, elles sont là, planquées dans tes échecs.
Creuse. Parce que chaque gamelle, chaque douleur, c’est une putain d’opportunité de te connaître mieux.
Alors, camarade, tu fais quoi ? Tu continues à te plaindre, ou tu transformes tout ça en force ?
Le journaling : ton arme secrète pour y voir clair
Vider ta tête pour avancer, c’est pas de la poésie
Camarade, on va pas se mentir : t’as la tête pleine de bordel.
Entre tes frustrations, tes envies et toutes les conneries que t’écoutes à droite et à gauche, ça déborde.
Mais y’a un truc simple qui peut t’aider à y voir plus clair : le journaling. Et non, c’est pas un délire de poète en quête d’inspiration. C’est une vraie méthode pour te comprendre, pour poser tes idées et voir où ça coince.
Quand j’étais paumé, j’ai commencé à écrire. Juste pour me défouler au début, balancer tout ce qui me trottait dans la tête.
Et tu sais quoi ?
Petit à petit, ça m’a permis de mettre le doigt sur ce qui me bloquait vraiment. Ce que je croyais être des problèmes étaient souvent des excuses.
comment écrire pour clarifier ta vie
Prends un carnet, un stylo, et balance tout :
- Qu’est-ce qui t’a foutu en rogne aujourd’hui ?
- Quelles émotions a tu ressentis, pourquoi ?
- Qu’est-ce qui t’a rendu fier, même un peu ?
- Si tu pouvais changer une chose dans ta vie, là, tout de suite, ce serait quoi ?
Et fais ça tous les jours, sans chercher à faire beau. Écris ce qui te passe par la tête, même si ça ressemble à rien.
Le journaling, c’est pas pour les autres, c’est pour toi. Pose les mots, et ne relis pas ! Le but est d’évacuer. Si tu relis, tu fais tout rentrer à nouveau.
Avec le temps, tu verras des schémas émerger. Des trucs que t’avais pas captés.
Peut-être que ce job que tu détestes te file la sécurité que tu cherches, ou peut-être que cette « sécurité » est une excuse pour pas te bouger. Mais ça, tu le sauras qu’en écrivant.
Alors, camarade, tu veux continuer à te noyer dans tes pensées, ou tu prends ce stylo et tu commences à faire le tri ?
tTas les clés en main, camarade
T’as vu ? Tout est là, sous ton nez. La routine qui te gave, les excuses qui t’enferment, les échecs qui t’apprennent, et la journaling pour foutre un peu d’ordre là-dedans.
Ça fait beaucoup, ouais, mais c’est pas insurmontable. Parce que tout ce dont t’as besoin, c’est toi. T’es déjà équipé pour avancer, pour comprendre ce qui cloche, pour te réaligner et te réaliser mon pote.
Alors, arrête d’attendre que ça tombe du ciel, camarade.
Pose-toi les bonnes questions, regarde tes échecs droit dans les yeux, et utilise ces outils pour ouvrir des portes que t’as jamais osé pousser. Le reste, c’est toi qui décide.
ce que tu dois retenir
- T’es pas bloqué par ta routine, mais par tes schémas intérieurs.
- Tes échecs, c’est pas des boulets : c’est du carburant.
- La journaling, c’est pas de la poésie : c’est un outil pour clarifier ta vie.
- Le vrai problème, c’est pas les autres, c’est ton manque de conscience sur tes besoins réels.
Allez, c’est toi qui vois, mais pose-toi cette question : qu’est-ce que t’as envie de vivre maintenant ?