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Comment surmonter ton complexe d’infériorité

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Stéphane

Salut, arrête de jouer les victimes! Ton complexe d’infériorité, c’est du flan! T’as aucune raison de te sentir moins que les autres. C’est ta tête qui te joue des tours, rien de plus. Tu te compares sans cesse? Stooop! Tu vaux bien plus que tu le crois, mon pote. Le secret, c’est d’écouter la bonne voix dans ta tête, celle qui croit en toi. Allez, on va décortiquer ça ensemble, d’accord? On va dégommer ces idées noires et te faire briller comme tu le mérites. Allez, on y va?
complexe inferiorite

ton complexe d’infériorité, c’est du bidon!

Installe-toi confortablement. On va parler cash, sans détour. Ce complexe d’infériorité qui te grignote, il est où, tu le vois? Moi je ne le vois pas.

Alors tu vas me dire, “Coach, c’est dans ma tête.” Et je vais te répondre, “Mais c’est toi qui contrôle ta tête, mon ami!”

Allez, prends Marc, un de mes clients. Marc, il est comptable, pas très grand, quelques kilos en trop. Le genre de mec qu’on ne remarque pas dans la foule, ou alors, quand on le remarque, c’est plus pour se moquer de lui qu’autre chose tu vois. Ouais, la connerie de la société et des pseudos standards de la société.

Un jour, il m’a dit, “Coach, je suis moins bien que les autres.” Moi, je l’ai regardé et j’ai répondu, “T’es moins bien en quoi, Marc? Tu sais compter, tu obtiens des résultats qui rendent ton boss heureux. Alors, où est le souci, Marc?” Marc, il est resté sans réponse. Et tu sais pourquoi ? Parce qu’il n’y en avait pas de réponse!

Ton cerveau est un peu comme une vieille radio qui crache du bruit blanc. Il faut juste que tu apprennes à changer de fréquence. Tu vois ce que je veux dire ? Change de station, trouve la chaine qui te fait vibrer au lieu de te faire douter!

Stop à la petite voix qui te sabote, mon pote

Cette petite voix dans ta tête qui te répète sans cesse que tu n’es pas à la hauteur, que tu vas échouer. Faut faire taire ce râleur. C’est l’heure de passer à autre chose, camarade. C’est toi le boss, ok ? Et le boss, il n’écoute pas les rabats-joie.

Prends Sonia, une de mes clientes les plus brillantes. Elle a été promue à un poste de direction. Et devine quoi ? Elle voulait refuser ! Pourquoi ? À cause de cette foutue voix qui hurlait dans sa tête que ce n’était “pas pour elle”, qu’elle “n’était pas à la hauteur“. C’était dingue !

Tu veux savoir ce que je lui ai dit ?

Eh bien, je lui ai dit, “Sonia, ta voix intérieure, tu vas lui dire de se taire, ok ? Tu es là parce que tu le mérites. Alors, arrête de penser que tu ne vaux rien, putain !” Et tu sais quoi ? Sonia l’a fait. Elle a accepté le poste. Et devine quoi ? Bah elle assure, elle fait le taf !

Alors, qu’est-ce que tu attends, mon pote ? Le bon moment ? Il est là, maintenant, devant tes yeux ! Allez, on change de station, et on s’écoute une autre musique, ok ?

C’est l’heure de se regarder en face. De s’affirmer. De se dire que oui, tu peux le faire, que oui, tu mérites le meilleur. Peu importe ce que la petite voix rabat-joie te raconte. On est bien d’accord ?

Alors, levons-nous, et crions haut et fort, “Je suis le boss !”, d’accord ? Allez, on le fait ensemble, mon pote. Un, deux, trois…

Et si tu veux continuer à te libérer, à prendre confiance, jette un œil par là. Et non, je ne te parle pas d’un truc farfelu. Je te parle du concret, du réel. Alors, stop aux excuses, stop à l’autoflagellation. Et comme dirait l’autre, juste fais-le !

Creuse un coup, et tu vas voir, ces causes c’est de la daube

Alors t’imagines bien que si t’en es arrivé à avoir un complexe d’infériorité, y a forcément quelque chose qui cloche quelque part. Et si je devais trouver un responsable, je te le dis cash, je pointerai du doigt ton enfance, tes parents, tes profs, ta bande de potes, la société et même ton miroir.

Tu te souviens, quand t’étais môme et qu’on te répétait sans cesse que t’étais pas aussi doué que ton frère, ta sœur, le fils de la voisine? Et cette réflexion de ta prof en primaire, “Tu crois vraiment que tu peux réussir avec ce genre de travail?”

Et ta bande de potes qui te taquine sans cesse sur tel ou tel truc. Et cette image de toi que te renvoie le miroir, celle que tu trouves trop petite, trop grosse, trop moche, trop ceci ou pas assez cela.

Et on en parle de la société, de son culte de la perfection, de ces mannequins photoshopés, de ces fils d’Instagram tous plus réussis les uns que les autres?

Alors oui, tout ça, ça a de quoi foutre le moral en l’air, et y coller un gros complexe d’infériorité à la place.

Mais les conséquences de ce complexe, c’est toi qui les subis

Tu les vois comme je les vois, ces conséquences? Ça se manifeste comment? Tu te sens constamment jugé, tu es incapable de prendre une décision, tu te compares sans cesse aux autres, tu te dévalorises, tu te sabotes. Tu te mets des barrières là où y en a pas. Et tout ça, ça gangrène ta vie, ça t’empêche de kiffer, de réussir, de te sentir bien dans tes baskets.

Alors, tu peux continuer à t’enfermer dans ce cercle vicieux, à écouter cette petite voix qui te pourrit la vie. Ou alors, tu peux dire stop. Tu peux décider de reprendre le contrôle, de devenir le boss de ta vie.

Alors stop à ce complexe, mon vieux

Eh ouais, t’as le choix. Tu peux dire stop. C’est toi le boss, pas ce foutu complexe!

Tu vas laisser ta vie se réduire à ce bidon de complexe, ou tu vas te bouger, et réaliser que t’es un mec bien, un mec qui a du potentiel, un mec qui peut réussir.Alors, vas tu aussi jeter un œil par là, tout est dit sur la confiance à ne pas avoir en ces conneries de complexe.

Et puis merde, t’es le boss, non? Alors, agis comme le boss que tu es! Alors, on se bouge, on reprend le contrôle, on vire cette voix de merde, et on déchire tout.

Allez, hop, on arrête de se plaindre, on va chercher ce qui nous revient de droit. On fait taire cette voix qui nous rabaisse, et on s’affirme, ok?

En conclusion

Faut arrêter de se laisser pourrir la vie par cette daube de complexe. T’as fait assez de concessions, perdu trop de trucs parce que t’as trop laissé cette merde prendre le dessus.

Mais le truc, c’est qu’il est temps que tu te ressaisisses. Et ça, personne d’autre que toi ne peut le faire. T’as toute la force nécessaire en toi, alors faudrait peut-être penser à la canaliser et à l’utiliser pour la bonne cause, non?

Arrête de te laisser influencer par des propos éhontés, des comparaisons insipides, des idéaux inaccessibles.

Fous-toi dans le crâne que t’es valable, que t’en vaux la peine, que tu mérites ce que tu obtiens. Mate-toi dans le miroir et apprécie cette personne que tu vois, parce que tu sais quoi? Y’a que toi qui puisses te juger comme tu le mérites.

Alors, choisis-toi, bordel! Bats-toi pour toi, pour tes rêves, pour tes ambitions. Ecrase ce complexe pourri sous ta godasse et avance, parce que c’est ta vie, parce que personne d’autre que toi ne peut changer quoi que ce soit.

C’est ton putain de moment, alors vis-le comme tu l’entends! Allez, bon vent, et à toi de jouer!

L’oeil du coach

Mon pote, tu sais ce que c’est ton complexe d’infériorité? C’est de la connerie en barre! Serait-ce possible que toi, oui toi, tu sois ton propre saboteur? Se pourrait-il que tu te limites toi-même? Pose-toi ces questions, mais fais-moi le plaisir de ne rien changera. Après tout, pourquoi changer quelque chose qui fonctionne si bien ?

Ah, ton complexe est dans ta tête, tu dis ? Eh ben, qui dirige ta tête, mon vieux ? C’est pas toi par hasard? Allez, file-moi un exemple de ces situations où tu te sens moins.

Tiens, par exemple, Madeleine. Directrice d’une grosse boîte. Terriblement effrayée rien qu’à l’idée de tenir un discours devant son équipe. Et pourquoi ? À cause de ce complexe d’infériorité qui la ronge.

J’ai dit à Madeleine : “Pourquoi tu te prends la tête? T’es juste en train de parler à une bande de types en costume”. Elle s’est rendu compte que c’était vrai. Mais continue de penser le contraire, s’il te plaît.

Ton cerveau, c’est comme un vieux transistor. Il crache du bruit blanc. Et cette voix dans ta tête qui te rappelle sans cesse que tu es un moins que rien. Tu la connais, non ?

Allons, continue d’écouter cette voix pessimiste. Après tout, c’est toi le patron ici, non ? Tu adores les critiques, non?

Pensons à Robert. Un talentueux chef cuisinier. Pourtant, devine quoi ? Il a refusé une émission de télé parce qu’il pensait qu’il allait la gâcher. Pourquoi ne pas l’imiter, et rester dans ton coin, tranquille ?

Creusons un peu, tu verras bien à quel point c’est délirant. Les professeurs qui ne te soutenaient pas, les parents qui te comparaient toujours aux autres, les amis qui se moquaient… Ah, tout ça t’a poussé à te sentir inférieur, non ? Et tu sais quoi ? Encore une fois, c’est parfait, continue comme ça.

Tu es conscient des conséquences, non? C’est toi qui souffre, pas eux. Tu te perçois comme une personne inférieure, tu t’auto-sabotes, tu doutes constamment. Continue, tu le fais si bien.

Aller, faut que j’arrête de te prendre la tête ! Reste dans ton trou, mon vieux. Après tout, ce n’est pas toi le patron, non ?

Je vais te dire un truc : oui, l’enfant que tu étais est responsable à un certain niveau de ton complexe, et oui, les autres ne t’aident pas pour t’en débarrasser.

Mais qui va y remédier ? Qui va se lever et prendre les choses en main ? Bah pas toi pardi! Tu préfères la voie facile, celle de rester dans ta zone grise. N’est-ce pas merveilleux?

En conclusion, profite bien de ce complexe. Il te rend tellement service. Après tout, pourquoi changer une chose qui te ronge dès le réveil?

Alors continue sur ta lancée, n’arrête surtout pas. Et souviens-toi : t’es pas le boss, le complexe l’est.

partage avec tes amis ou collègues, merci (:

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