Tu veux changer, mais tu restes là. Pourquoi ?
On t’a dit mille fois : “Sors de ta zone de confort”.
Tu le sais. Tu le crois.
Mais entre savoir… et faire, y’a un monde.
Et ce monde, c’est celui que t’as peur d’explorer.
Pas parce que t’es lâche.
Mais parce que t’as appris à confondre confort et sécurité.
Et parce que t’as oublié que ta peur est une boussole, pas une frontière.
🏡 Ce que tu appelles confort, c’est peut-être juste de la survie bien rangée
Tu t’es construit un cocon. Douillet. Silencieux.
Un quotidien sans trop d’aspérités.
Pas de vague. Pas d’échec. Pas de vraie joie non plus, mais c’est “ok”, non ?
En apparence, tu gères.
Mais au fond, tu t’éteins. Lentement. Sans bruit. Sans cris.
Et ce que tu appelles stabilité… c’est souvent juste de l’immobilité maquillée.
🧠 La psychologue Brené Brown parle d’engourdissement émotionnel :
“Quand on refuse de ressentir la peur, on empêche aussi la joie de passer.”
🐌 Les petits pas, c’est doux… mais parfois, c’est une excuse
Les conseils “bienveillants” pullulent :
- “Fais-le à ton rythme”
- “Un petit pas chaque jour”
- “Écoute-toi avant tout”
Oui. Bien sûr. Écoute-toi.
Mais écoute vraiment : est-ce que t’as besoin de douceur… ou est-ce que t’as juste peur ?
Parce que parfois, avancer doucement, c’est juste une autre manière de rester en place.
🎓 Selon l’étude de Prochaska & DiClemente sur le changement de comportement :
“Le passage à l’action nécessite une rupture claire avec la phase de contemplation. Rester trop longtemps à réfléchir, c’est rester coincé.”
💡 Le confort, c’est pas le bonheur. C’est l’anesthésie.
Tu crois que c’est une bénédiction d’être “à l’aise”.
Tu te dis que t’as de la chance de pas avoir de crise à gérer.
Mais ce calme, là… il te coûte cher.
Parce que pendant que tu restes dans ce calme, tes désirs crient en silence.
Et ce silence-là, il pèse. Il te grignote. Il t’endort.
🔁 Tu veux du mouvement, mais tu choisis l’oreiller.
Et tu finis par te dire que c’est “mieux que rien”.
Mais mieux que rien, c’est pas la vie que tu voulais.
🔥 Il va falloir ouvrir les yeux (même si ça pique)
Sortir de ta zone de confort, c’est pas un kiff.
C’est pas un shoot d’adrénaline.
C’est pas un Instagram “avant-après”.
C’est brut.
C’est flou.
C’est inconfortable.
Mais c’est vivant.
Et tu sais ce qui t’attend derrière ce flou ?
Ta vraie direction. Ton Why.
Ce truc en toi qui te fait te lever le matin même quand t’as pas envie.
🎯 Viktor Frankl, psychiatre et survivant des camps, écrivait :
“Quand on a un pourquoi, on peut supporter n’importe quel comment.”
🚫 L’illusion de contrôle te rassure… mais t’étouffe
Tu crois que tu maîtrises. Que tu gères.
Tu coches les cases. Tu planifies. Tu évites les “prises de risques”.
Mais c’est pas du contrôle, c’est de l’évitement.
T’as peur d’échouer, alors tu restes dans ce que tu connais.
Mais en vérité, tu renonces à tout ce que tu pourrais devenir.
📌 Pose-toi cette question simple :
“Est-ce que je choisis cette vie… ou est-ce que je la subis doucement ?”
⚠️ Le confort est un poison lent, mais socialement accepté
Tu veux savoir ce qui fait vraiment mal ?
Ce n’est pas d’avoir échoué.
C’est de te rendre compte que tu n’as jamais vraiment essayé.
Ce que tu vois comme de la paix intérieure est parfois juste de l’épuisement refoulé.
Tu vis sans bruit, mais sans feu.
Et ce feu, tu crois l’avoir perdu.
Mais non. Tu l’as juste recouvert d’un plaid IKEA et de quelques to-do lists.
🚀 Le Why, c’est ton putain de moteur intérieur
Tu n’as pas besoin d’un plan en 10 étapes.
Tu n’as pas besoin d’attendre le moment parfait.
Tu as besoin d’un de ton Why.
Quelque chose en toi qui crie plus fort que ta peur.
Quand tu sais pourquoi tu fais les choses,
le comment, tu l’inventes. Tu le bricoles. Tu le rates et tu recommences.
Mais tu bouges.
Et tu redeviens vivante.
🧭 Alors,tu choisis quoi ?
Tu choisis de rester là, à appeler ça “ta zone”
– ou tu choisis d’oser, même sans garantie, même tremblante ?
Tu ne perdras pas ton confort.
Tu le transformeras.
En confiance. En mouvement. En sens.
🗝️ Le vrai choix, c’est pas entre confort et galère.
C’est entre vivoter dans ce que tu connais
ou grandir dans ce que tu ignores encore de toi.