Être bienveillant, c’est pas être mielleux. Tu peux être sarcastique, cynique, ironique… et rester bienveillant. Parce que la vraie bienveillance, c’est vouloir le bien de l’autre, pas son confort. C’est dire les choses, même si ça pique. Ce n’est pas le ton qui compte, c’est l’intention….
On te balance que la dopamine bon marché est le poison moderne. Vrai. Mais balancer ces vérités sans nuance, c’est oublier la douleur, la solitude, le contexte. Chaque “fuite” a une origine. Tu veux éveiller les consciences ? Commence par respecter la complexité humaine, pas la condamner….
Le développement personnel t’endort avec ses mantras bienveillants. “Écoute ton corps”, “lâche prise”, “ne juge pas”… Ok. Mais dans la vraie vie, ça tient pas debout. On démonte point par point ces belles phrases qui te flattent sans jamais t’aider à affronter ta réalité….
Le développement personnel te dit que tu mérites mieux. Mais c’est quoi, le “mérite” ? Et si tu fais rien, tu mérites quoi en vrai ? Ce que tu mérites, c’est pas une récompense magique, c’est de devenir quelqu’un de solide, qui agit en conscience. Le mérite n’est pas un droit : c’est un engagement….
Le développement personnel t’inspire… puis t’écrase. Sur le moment, tu te sens invincible. Une heure plus tard, tu culpabilises de ne rien avoir changé. Parce que ce n’est pas l’inspiration qui transforme : c’est l’action, lente, réelle, ancrée dans ton contexte. Voici comment t’en sortir….
Le développement personnel te vend des modèles “universels”, mais oublie un détail : ton contexte. T’as pas leur réseau, leur fric, leur vie. Et pourtant, on te fait croire que si tu échoues, c’est ta faute. Ta vérité, ton socle, ton pouvoir : c’est ta réalité. C’est elle qu’il faut écouter….
On t’a dit que tu pouvais tout être ? Bullshit. Le développement personnel vend du rêve, mais oublie la réalité : tes limites, ton histoire, ta vraie vie. Tu peux progresser, te transformer, oui. Mais pas devenir n’importe quoi. Et surtout pas sans effort. Réveille-toi….
Écouter, ce n’est pas obéir. C’est s’ouvrir, comprendre, sans forcément changer d’avis. Apprends à écouter sans t’effacer, à comprendre sans te trahir, à poser des limites sans fermer les portes. Un vrai signe de force mentale, pas de soumission….
Sur les réseaux, tu réagis violemment dès qu’on n’est pas d’accord avec toi. Mais ce que tu défends, c’est pas ton idée : c’est ton ego blessé. Tu crois poser une limite, tu poses une barrière. Apprends à écouter, à rester debout sans frapper. La vraie puissance, c’est pas dans la réaction, c’est dans la maîtrise….
Répondre à la violence par la violence te soulage, mais te piège. Tu crois reprendre le pouvoir, tu ne fais que nourrir le schéma. La vraie puissance, c’est pas cogner plus fort. C’est choisir ta réponse. Maîtriser ton impact. Protéger sans dominer. Et là, tu guéris au lieu de répliquer. Tu deviens libre….
Balancer ton trauma sur les réseaux peut te soulager sur le moment, mais ça t’expose plus que ça ne te libère. Ce que tu cherches, c’est du lien, pas du spectacle. Un cadre sécure, pas une validation à la chaîne. Guérir, c’est transformer ton vécu. Pas le balancer brut dans ton feed en espérant qu’on te sauve….
Guérir d’un trauma, c’est pas ne plus jamais avoir mal. C’est ne plus être piloté par ton passé. C’est poser des limites, choisir pour toi, différencier intuition et peur, arrêter de chercher des coupables. C’est retrouver ton pouvoir, ta clarté, ton impact. Et ça, ouais : c’est le vrai début de la liberté….
Tu crois qu’un coach va te rassurer, te guider, t’éviter de te planter. Tu fais fausse route. Un vrai coach ne t’offre pas des réponses : il te confronte, t’aide à choisir, à agir, à te transformer. Il n’est pas là pour te border mais pour t’éveiller. Moins doux, mais infiniment plus utile….
Le coach-guide t’impressionne avec ses certitudes. Il te dit quoi faire, quoi choisir, comme s’il détenait ta vérité. Mais il t’écoute jamais. Et toi, tu finis par douter de toi, par le suivre… au lieu de te retrouver. Un vrai coach te confronte, t’aide à décider, mais ne dirige jamais ta vie à ta place….
Le coach “lumineux” te parle de vibration, d’alignement, de clarté… mais t’écoute jamais. Il croit savoir pour toi, t’interprète à chaque phrase, et t’éloigne de ton pouvoir. Derrière sa posture sacrée, c’est souvent un ego bien planqué. Un vrai coach t’accompagne. Il t’impose rien. Il doute, lui….
Devenir coach pour fuir son bordel, chercher l’amour ou vendre son lifestyle ? Mauvaise idée. Le coaching, c’est pas un plan B. C’est pas une vitrine. C’est un engagement réel, profond, exigeant. Avant de vouloir guider les autres, assure-toi de pas les entraîner dans ton propre chaos non digéré….
Certains coachs pleurent en story pour vendre. Ils exposent leurs traumas non digérés, créent un lien émotionnel… mais ne t’accompagnent pas. Un vrai coach partage quand c’est intégré, pas pour manipuler. Il ne te touche pas pour vendre. Il t’écoute pour transformer. Nuance cruciale….
Un coach hors de prix t’impressionne, mais t’aide pas forcément. Tu crois payer pour des compétences, tu finances surtout son image. Un bon coach, c’est pas celui qui coûte le plus. C’est celui qui t’écoute, te confronte et t’aide à te transformer pour de vrai. Pas à briller sur Instagram….
“C’est pas de ta faute”, c’est doux, mais c’est le piège préféré des faux coachs. Ça te rassure, mais ça t’enlève tout pouvoir. Un vrai coach ne te victimise pas, il te ramène à ta responsabilité, à ta capacité d’agir. Pas pour te juger, mais pour t’aider à retrouver ta liberté. Et avancer….
Certains coachs te lisent comme un feed Insta : un post un peu fragile, trois questions en DM, et paf, une offre à 1997€. Mais ils n’écoutent pas ton rythme, ni ton vrai besoin. Un vrai coach ne t’analyse pas, il t’accueille. Il ne te pousse pas, il t’accompagne. Et ça change tout….