Le mindset : clé de voûte de ta réussite ou simple foutaise ?
Putain, t’as déjà entendu parler du « mindset« , ce truc à la mode qui te promet monts et merveilles ?
On te bassine avec des concepts comme l’état d’esprit fixe et l’état d’esprit de croissance, en te jurant que ça va transformer ta vie.
Mais est-ce que c’est pas juste du pipeau pour te vendre des bouquins et des applis ?
Selon une étude de 2020, les personnes avec un état d’esprit de croissance ont 34% plus de chances de réussir dans leur carrière que celles avec un état d’esprit fixe. Et une autre recherche montre que 85% des entrepreneurs attribuent leur succès à leur mentalité positive.
Alors, est-ce que ce « mindset » est vraiment la clé de la réussite, ou juste une excuse pour te faire culpabiliser quand tu galères ?
Dans les points suivants, on va décortiquer ces croyances populaires et voir si ce fameux « mindset » est vraiment la baguette magique qu’on te vend. Prépare-toi, camarade, ça risque de secouer un peu.
Le mindset fixe : ton boulet invisible
Ton cerveau adore les excuses
Camarade, ton cerveau, c’est un malin. Il te fait croire que rester dans ta petite routine, c’est être prudent, intelligent.
Mais la vérité, c’est qu’il a une trouille bleue de l’inconnu. Et toi, tu gobes tout ça comme un abruti. Pas ta faute, hein. On est tous câblés pour éviter les risques.
Résultat ? T’as un « mindset fixe ». Tu te dis que t’es pas fait pour évoluer, que changer, c’est pour les autres. C’est faux, et tu le sais au fond de toi.
T’as déjà vu un mec réussir en restant dans son coin ?
Dans mon enfance, j’avais un mindset fixe collé à la tronche. Les galères, les dettes, et cette foutue sensation d’être bon à rien.
Et puis, à force de me cogner la gueule contre le mur, j’ai pigé un truc : c’est pas parce que tu crois être foutu que tu l’es vraiment.
T’es pas un arbre, camarade. Si t’es pas à l’aise là où t’es planté, bouge tes racines !
Pourquoi le mindset fixe est ton pire ennemi
Rester dans ce mindset fixe, c’est comme rouler avec un frein à main. Tu rêves de grandir, d’avancer, mais t’as peur de bouger.
Si moi, avec mes dettes, mes échecs et mon sentiment d’être une merde, j’ai pu basculer dans un état d’esprit de croissance, alors toi aussi.
Mais ça commence par un truc simple : admettre que ton problème, c’est pas tes compétences, c’est ton putain de mindset. Alors, t’attends quoi pour te bouger ?
Le mindset de croissance : pas un luxe pour les privilégiés
C’est quoi ce bordel de fausse excuse ?
T’as déjà pensé que changer, c’était réservé aux autres, ceux qui ont du temps, de l’argent ou une vie facile ?
Bougre de con, cette idée est plus toxique qu’un fast-food pour tes artères. Le mindset de croissance, c’est pas un privilège, c’est une nécessité, surtout quand t’es dans la galère.
T’as pas besoin d’être riche pour commencer à te bouger. Tout ce qu’il te faut, c’est la volonté de foutre un coup de pied à tes habitudes pourries.
Les débuts foireux, c’est une opportunité déguisée
Je vais te raconter une petite histoire, camarade. À une époque, j’étais criblé de dettes. Je me disais que j’étais condamné à galérer. Puis, un jour, j’ai commencé à démonter des PC, juste pour comprendre comment ça marche.
Ça avait l’air con à l’époque, mais c’était le début de mon chemin. Sans thunes, sans soutien, juste ma détermination.
Et devine quoi ? Ce bordel technique est devenu mon tremplin.
Pourquoi t’as pas besoin d’être prêt pour commencer
Arrête de croire qu’il te faut un plan en béton pour te lancer.
Le mindset de croissance, c’est pas attendre que tout soit parfait, c’est avancer avec ce que t’as.
Alors, prends un stylo, écris ce que tu veux changer, et fais un pas. Un seul. Même si c’est foireux. Parce que chaque pas, aussi petit soit-il, te rapproche d’une vie où tu te lèveras enfin sans te demander si tu marches à côté de tes pompes.
L’échec : un tremplin, pas une putain de fatalité
T’as peur de tomber ? bienvenue au club
Camarade, sois honnête.
À chaque fois que tu penses à changer de vie, c’est quoi qui te bloque ? La trouille de te planter, hein ? Tu vois l’échec comme un mur infranchissable.
Mais laisse-moi te dire un truc : ce mur, c’est toi qui l’as construit, brique après brique, avec tes doutes et tes foutues excuses.
Et si je te disais que tomber, c’est la meilleure chose qui puisse t’arriver ?
Chaque claque est une leçon déguisée
J’en ai pris des baffes, crois-moi. Entre les retours humiliants chez ma mère et les échecs professionnels, j’ai cumulé les mandales.
Et à chaque fois, j’avais deux choix : me plaindre sur mon sort, m’apitoyer comme une tête de nœud ou apprendre.
Devine ce que j’ai choisi ?
Chaque chute m’a appris à mieux me relever. C’est comme ça que j’ai fini par décrocher un poste en informatique, après des années à me cogner contre mes limites.
Pourquoi l’échec, c’est ton meilleur prof
T’es pas parfait, et c’est tant mieux.
L’échec, c’est pas une fin, c’est un putain de professeur. Chaque fois que tu te plantes, tu gagnes une leçon que ceux qui ne bougent pas n’auront jamais.
Alors, au lieu de chialer sur ce que t’as raté, demande-toi ce que t’as appris.
Et rappelle-toi : les vrais losers, c’est ceux qui n’essaient jamais. Toi, t’as le choix de faire mieux à chaque tentative.
Changer, c’est pas sauter dans le vide
T’as pas besoin d’un putain de grand soir
Arrête de croire que changer veut dire tout plaquer du jour au lendemain. Faut pas confondre « prendre un virage » avec « se foutre dans le fossé« .
Cette idée que t’as besoin de tout casser pour évoluer, c’est juste une excuse pour ne pas bouger ton cul.
Changer, c’est pas une révolution ; c’est une série de petits ajustements, des choix qui s’empilent pour te construire une nouvelle vie.
La méthode des petits pas : ça marche
Quand j’ai décidé de changer de vie, je me suis pas barré en courant. Non, j’ai commencé doucement, en bidouillant des PC après mes petits boulots. Je me suis formé, pas à pas, sans même réaliser que je construisais quelque chose de plus grand.
Et voilà où ça m’a mené : à une carrière que j’aime, bâtie sur des petits efforts cumulés.
C’est comme ça que tu avances, camarade, un petit pas après l’autre.
Pourquoi tu dois arrêter de fantasmer le changement
Changer, c’est pas une histoire de grand soir, de tambours et de trompettes. C’est faire un premier geste, aussi con soit-il.
Arrête de te dire que tu dois être prêt.
La perfection, c’est une belle connerie. Le plus dur, c’est de commencer. Alors, trouve un petit truc que tu peux faire aujourd’hui.
Pas demain, pas dans un mois. Aujourd’hui. Parce que chaque petit pas te rapproche d’une vie qui a enfin du sens.
ton mindset, c’est pas gravé dans le marbre
T’es pas une putain de statue
T’as cette foutue idée que ton état d’esprit est immuable, que tu es « comme ça » et que ça changera jamais.
Laisse-moi te dire : c’est du pipeau.
Ton cerveau, c’est pas un bloc de pierre, c’est de la pâte à modeler. Ça évolue, ça s’adapte, mais seulement si tu te bouges pour le retravailler.
Rester bloqué, c’est un choix. Ou plutôt, c’est une excuse de feignant pour ne rien changer.
Quand t’arrêtes de subir, t’as déjà gagné
Tu crois que j’ai toujours été le gars qui te parle aujourd’hui ? Que j’ai toujours eu cette assurance ?
Abruti que j’étais, je me disais que j’étais condamné à l’échec, un looser avec des rêves qu’il pouvait pas atteindre.
Et puis j’ai pris conscience que ce qui me bloquait, c’était pas mes compétences, mais mon mindset figé.
Le jour où j’ai commencé à le retravailler, tout a changé. Pas d’un coup, mais assez pour avancer.
Ton cerveau, ton meilleur allié (si tu le laisses faire)
T’es pas prisonnier de ce que tu crois être.
Ton état d’esprit, c’est comme un muscle : tu peux le renforcer, l’étirer, le rendre plus flexible.
Commence par observer tes pensées. Chaque fois que tu te dis « je peux pas« , remplace ça par « et si j’essayais ?« .
Une simple question, mais elle peut faire péter des murs que t’as mis des années à construire.
Alors, t’attends quoi pour commencer ?