Comment transformer ta paresse en moteur pour une vie alignée

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Stéphane

On t’a toujours dit que la paresse était un vice. Et si c’était faux ? Découvre pourquoi ralentir peut te sauver la peau et comment utiliser ta soi-disant flemme pour donner un sens à ta vie. Arrête de te battre contre toi-même et explore ton Why, la clé pour transformer ta vie sans courir dans tous les sens.
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La paresse : un vice ou une vertu ?

La paresse ! Ce mot qui fait grincer des dents, qui te colle une étiquette de fainéant dès que tu oses lever le pied.

Dans notre société obsédée par la productivité, être paresseux, c’est presque un crime. Pourtant, selon une étude de l’INSEE, en 2022, 14 % des Français se déclaraient en situation de privation matérielle et sociale, souvent liée à une surcharge de travail et un manque de temps pour soi.

Et si, camarade, cette satanée paresse n’était pas le problème, mais plutôt un signal d’alarme que ton corps et ton esprit t’envoient ?

Dans les pages qui suivent, on va secouer le cocotier.

On va démonter les idées reçues, te montrer que la paresse peut être une alliée, et surtout, t’aider à comprendre que le vrai enjeu, c’est de trouver ton « Why », cette raison profonde qui te fera te lever le matin sans avoir envie de tout envoyer balader.

Prépare-toi, ça va piquer un peu, mais c’est pour ton bien.

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La fausse guerre contre la paresse

Et si ton vrai problème, camarade, ce n’était pas la paresse ?

On te l’a bien mis dans la tête, hein ? La paresse, c’est le mal absolu, le grand méchant loup qui t’empêche d’avancer dans la vie.

Mais réfléchis deux secondes : pourquoi est-ce que tu culpabilises chaque fois que tu ralentis ? Pas parce que tu es vraiment paresseux, mais parce qu’on t’a appris à croire que ta valeur dépendait de ce que tu produis. Et ça, mon camarade, c’est une grosse connerie.

Quand la productivité devient une prison

Moi, j’ai vécu cette farce. Entre 18 et 28 ans, j’ai enchaîné les petits boulots pour survivre, toujours en me disant que si je bossais assez dur, j’arriverais quelque part.

Résultat : zéro reconnaissance, une estime de soi dans les chaussettes, et l’impression d’être un putain de hamster qui court dans une roue.

Tu te reconnais, non ?

La vraie question ici, ce n’est pas « Pourquoi tu es paresseux ?« , mais « Pourquoi tu crois encore que courir dans tous les sens va te sauver ?« 

La paresse comme symptôme d’un problème plus profond

Et si ta « paresse« , ce n’était pas un défaut, mais une façon pour ton esprit de te dire que ça ne va pas ?

Peut-être que tu fais semblant d’aimer ce que tu fais, alors qu’en vrai, tu te fais chier.

Ce n’est pas la paresse qui te bloque, c’est l’absence de sens dans ce que tu fais. Trouver ton Why, camarade, c’est ça qui te fera lever le cul de ton canapé, pas un coup de pied au cul mal placé.

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Et si la paresse, c’était ton corps qui parlait ?

Et si ce n’était pas toi, mais ton corps qui lançait un SOS ?

On ne te l’a jamais dit, mais cette soi-disant paresse que tu traînes comme une casserole, ce n’est peut-être pas un défaut.

C’est ton corps qui te fait signe, comme un gros panneau « RALENTIS, BORDEL ! »

Quand tu ignores ces signaux, c’est comme si tu roulais pied au plancher alors que ton moteur surchauffe. Bougre de con, c’est pas un plan génial pour durer, si tu veux mon avis.

Quand le corps crie ce que l’esprit refuse d’écouter

J’en ai fait l’expérience, moi aussi. Quand j’enchaînais les boulots sans sens, je me sentais vidé, lessivé, et j’appelais ça « fainéantise« . En réalité, c’était mon corps qui m’envoyait un putain de signal d’alarme.

Camarade, ta soi-disant paresse, c’est souvent un moyen pour ton esprit de te dire : « Arrête, prends le temps de souffler, et réfléchis à ce que tu veux vraiment. »

La productivité à outrance, ça ne mène qu’au burn-out.

Et si ralentir, c’était avancer différemment ?

Alors, voilà le truc : ralentir, c’est pas reculer. C’est te poser, réfléchir, écouter ce que ton corps et ton cerveau ont à te dire.

Et peut-être que tu comprendras que ce que tu appelles paresse, c’est juste ton vrai moi qui réclame de l’espace pour respirer. Camarade, si tu veux te remettre en marche, il va falloir arrêter de te battre contre toi-même.

Écoute ce que cette « paresse » essaie de te dire : elle est peut-être la clé pour avancer autrement, en accord avec ton Why.

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Arrête d’être occupé pour rien

Faut pas confondre agitation et action.

On est tous passés par là : remplir nos journées d’activités inutiles juste pour ne pas affronter le vide.

Tu bosses, tu cours, tu te disperses, et à la fin de la journée, t’es rincé. Mais t’as fait quoi de vraiment important ?

Rien, camarade, rien du tout.

Ta « productivité« , c’est du vent. Et ce n’est pas moi qui vais te brosser dans le sens du poil.

L’illusion de la productivité

Moi aussi, j’ai cru que m’agiter dans tous les sens allait changer ma vie. Je bossais comme un taré, enchaînant les tâches sans réfléchir. Mais tu sais quoi ?

J’étais comme un con à pédaler sur un vélo d’appartement. Beaucoup de mouvement, zéro avancée.

Camarade, être occupé, c’est facile. Mais agir avec intention, c’est une autre paire de manches.

Priorise ou crève sous tes propres conneries

Si t’as l’impression de stagner, c’est pas parce que tu ne fous rien. C’est parce que tu fais des trucs qui ne comptent pas.

Prends du recul, arrête de te disperser et pose-toi cette question : « Qu’est-ce qui a vraiment du sens pour moi ? »

Et là, la magie opère. Avec ton Why comme boussole, tu vas enfin arrêter de tourner en rond.

Et crois-moi, camarade, c’est là que tu commenceras vraiment à avancer.

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Et si cette paresse n’était pas vraiment la tienne ?

Camarade, pose-toi la question : est-ce que cette flemme qui te bouffe vient vraiment de toi, ou des attentes des autres ?

On vit dans un monde où tout le monde a son avis sur tout. Ton boss veut que tu sois un robot, ta famille te colle des étiquettes, et même tes potes te balancent des conseils à la con.

Résultat, t’as l’impression que ta vie t’échappe, et que tu fais du surplace. Mais la vraie question, camarade, c’est : « À qui obéis-tu ?« 

Les attentes des autres, ce poison invisible

Moi, j’ai passé des années à me plier aux attentes de ma mère, de la société, de mes employeurs.

Et à la fin, j’étais un pantin qui dansait pour plaire.

Je croyais que si je ralentissais, je serais un raté. Mais tout ça, c’était pas mes envies, c’était celles des autres.

Camarade, est-ce que cette « paresse » que tu ressens, c’est vraiment toi, ou c’est ton corps qui dit non à des conneries que tu fais pour plaire aux autres ?

Reprends les commandes de ta vie

Pour te libérer, commence par poser cette question : « Si je me foutais de ce que les autres pensent, qu’est-ce que je ferais ? »

Peut-être que cette paresse, c’est juste ton vrai toi qui refuse de jouer le rôle qu’on t’a imposé.

Avec ton Why, camarade, tu peux reprendre les commandes et commencer à vivre une vie qui te ressemble, au lieu de jouer dans un film que t’as jamais voulu tourner.

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Arrête de croire que tu es le problème

Camarade, si t’as bien suivi, t’as pigé un truc essentiel : ta paresse, c’est pas un défaut, c’est un signal.

Un putain de cri d’alarme que ton corps, ton esprit, et même ta vie t’envoient.

Arrête de te flageller en pensant que t’es un feignant. Non, ton vrai problème, c’est cette course absurde, cette illusion que tu dois être productif à tout prix, ou que tu dois plaire aux autres.

Ralentir, réfléchir, se recentrer sur soi, ce n’est pas de la paresse. C’est un acte de rébellion, une façon de dire « merde » à une vie qui ne te correspond pas.

Et pour ça, il n’y a qu’une vraie solution : découvrir ton Why. Quand tu sais pourquoi tu te lèves le matin, t’as plus besoin de courir pour rien ou d’obéir aux attentes des autres.

Ce que tu dois retenir

  • Ta soi-disant paresse n’est pas un défaut. C’est ton corps et ton esprit qui disent stop à une vie sans sens.
  • Être occupé ne signifie pas avancer. Fais moins, mais fais mieux. Priorise ce qui compte.
  • Tes envies sont peut-être polluées par les attentes des autres. Libère-toi de ces conneries et écoute ce que toi, tu veux vraiment.
  • Ton Why est ta boussole. Avec lui, tu ne traînes plus les pieds, tu avances avec intention et conviction.

Alors, camarade, qu’est-ce que tu fais maintenant ? Tu continues de pédaler dans le vide, ou tu te poses pour enfin aligner ta vie avec ce qui compte vraiment ? C’est toi qui vois.

Les fausses croyances sur le Why

Le Why, c’est un luxe pour ceux qui ont déjà réussi

Beaucoup pensent qu’il faut « mériter » d’explorer son Why, comme si c’était un privilège réservé à ceux qui ont coché toutes les cases du succès.

En réalité, c’est souvent quand tu galères ou quand t’as l’impression de tourner en rond que le Why est le plus vital.

Ça donne du sens aux efforts et te sort de l’immobilisme.


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M. Nguyen

Salariée

Un vrai et grand plaisir d’avoir été accompagné par Stéphane. Son grand sens de l’écoute, de l’analyse et sa sensibilité m’ont permis de révéler mon why. Je vous recommande vivement de travailler avec une aussi belle personne qui vous écoute et vous parle avec ses trippes!

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