La crise existentielle, la définition
La crise existentielle, c’est ce moment où tu te réveilles un matin en te demandant si ta vie a vraiment un sens ou si tu es simplement coincé dans une boucle sans fin de dépression et de doute.
Tu te sens perdu, insatisfait, avec ce besoin constant de changement et cette sensation de vide intérieur. Kierkegaard en parlait déjà : une sorte de remise en question de ton propre objectif et de ta valeur en tant qu’individu.
C’est souvent lié à des moments clés comme une crise de la quarantaine ou des événements qui bouleversent ta perception de la réalité. Tu te demandes si tu es sur la bonne voie, si tu fais ce qu’il faut pour atteindre ton but.
Cette période peut provoquer des troubles de santé mentale, nécessitant parfois l’aide d’un psychologue ou une thérapie.
Bref, c’est cette phase où tu remets tout en question, cherchant à combler un vide existentiel et à retrouver un sens à ta vie.
De toi à moi, connaitre ton Why, dans ces moments là, ces moments de doutes, de totale incertitude, de « qui suis-je », « où vais-je », bah pouvoir te raccrocher à ta raison d’être et valeurs, crois-moi, pour l’avoir traversé, ça aide pas qu’un peu.
A quoi ça sert la crise existentielle
Alors, une crise existentielle, c’est un peu comme un reboot pour ton cerveau et ton cœur. Elle survient quand tu commences à te poser des questions profondes sur ta vie, tes valeurs et ton identité.
Cette période de réflexion intense te pousse à dépasser l’insatisfaction et à trouver des réponses authentiques sur ce qui compte vraiment pour toi. C’est une occasion unique de revoir tes schémas de pensée, de réévaluer tes décisions et de combler ce vide intérieur qui te ronge.
Cette crise te force à faire un bilan professionnel et personnel. En traversant cette période difficile, tu développes de nouvelles compétences et une vision plus claire de ta propre existence.
C’est l’opportunité de surmonter tes difficultés, de remettre en question ton quotidien et de te réaligner avec ce qui te rend vraiment heureux.
En gros, une crise existentielle te permet de renaître de tes cendres avec une meilleure compréhension de toi-même et une plus grande force intérieure.
Confronté à une crise existentielle ? Comprends et surpasse ta quête de sens de la vie
T’es en plein dedans ? Comme si t’étais au bord du vide, à te questionner sur chaque choix, chaque pas, chaque foutu mouvement que tu fais dans cette existence parfois bancale ?
Bienvenue dans le club merveilleux des crises existentielles, l’ami. Un concept flou, aussi insaisissable que l’estime de soi un lundi matin.
Qu’est-ce que c’est? Une pause, un trip intérieur, une prise de conscience brutale qui te prend à la gorge : Kierkegaard lui-même aurait eu du mal à mettre des mots dessus sans sortir sa philosophie.
C’est le jour où tu te réveilles en te demandant si tout ce que tu as fait jusqu’à maintenant, du travail aux relations, a eu un bout de sens. La vie quotidienne devient un film en noir et blanc, et t’es là, à scruter chaque choix, chaque situation, avec cette grande question existentielle qui te tape l’épaule : « Putain, mais qui suis-je ? ».
La crise existentielle, ce n’est pas juste une affaire de quarantaine ou de milieu de la vie. Oh que non ! Ce truc peut frapper à tout âge, comme une piñata qui lâche soudainement tout ce qu’elle contient, sauf que là, c’est un tas de questions, d’angoisses, et un vide sidéral qui se déverse sur toi.
Tu te demandes si t’es à ta place, si tu fais les bons choix professionnels, si t’es avec le bon partenaire. C’est l’heure du bilan, et crois-moi, tu n’as pas envie d’être dans le rouge.
Les symptômes? T’en as une belle collection : perte de sens, anxiété qui danse la samba dans ta tête, une souffrance psychologique qui fait de tes journées un épisode de série dépressif. Tu te cognes à un vide intérieur plus grand que la faille de San Andreas, et la question « Quel est le sens de ma vie » devient ton nouvel hymne national.
Ce n’est pas juste une crise de foie parce que tu as trop bu hier soir, non, c’est une crise existentielle. Et le pire? On ne se récupère pas avec une simple aspirine et un verre d’eau. Ça te fout un burn-out existentiel, une envie de tout plaquer pour devenir éleveur de chèvres en Ardèche.
Mais calmos, l’ami ! Changer, c’est possible. Le but du jeu, c’est de trouver un psy, un professionnel pour t’aider à y voir plus clair, à démêler le vrai du faux, le superflu du nécessaire.
Et non, ce n’est pas parce que tu as lu deux phrases de Freud ou de Jung que tu peux te débrouiller seul avec ta boîte de Pandore sous le bras.
Le truc, c’est de revoir ton modèle de monde, de travail, d’existence. C’est l’heure de la grande réflexion, du remue-méninges pour trier les déchets existentiels et garder l’utile.
Tu vas devoir te poser les vraies questions, celles qui font mal au crâne mais qui en valent la peine. Et si tu crois que c’est une partie de plaisir, on n’est clairement pas dans le même film.
La solution? Elle vient en grande partie de toi, de ta capacité à attraper le problème par les cornes et à le regarder en face.
S’attaquer à la bête, comprendre d’où vient le mal-être, ce n’est pas juste un caprice ou une lubie de petit enfant. C’est une quête noble, un chemin parsemé d’embûches, mais le jeu en vaut la chandelle. Surmonter la crise existentielle, c’est un chemin.
En gros, la crise existentielle, c’est un peu comme une maladie : on aime pas ça, ça fait sacrément chier, mais avec le bon traitement, la bonne démarche, et parfois un peu d’humour cynique, on peut en sortir plus grand, plus fort, et avec une putain de soif de vivre. Et ça, mon pote, c’est inestimable.
EN CONCLUSION
Le bilan, c’est que cette crise existentielle, tu peux la transformer en une grosse liberté. C’est l’occas’ de te lancer, de repartir à zéro, de te découvrir sous un nouveau jour, sans crainte ni pression. Et même si c’est chiant, c’est effrayant et t’as l’impression de voler en plein brouillard, crois-moi, ça vaut le coup.
À la fin, tu vas réaliser que ce n’était pas un effondrement que tu as vécu, mais un réveil. Cette crise, c’est juste la vie qui réajuste ton parcours, qui te pousse à franchir un nouveau cap. À la fin, tu te sentiras plus vivant que jamais. Alors ouais, accroche-toi. Vas-y. Fonce.
Et surtout, n’oublie jamais, peu importe les obstacles et les indécisions, la vie n’a pas de limites, exceptées celles que tu te fixes. Alors casse les barrières, balance tout par-dessus bord et c’est parti pour l’aventure de ta vie. Sois curieux, sois audacieux, sois toi-même.
Pour de vrai, une crise existentielle, c’est un putain de cadeau que la vie te fait. Alors prends-le à bras le corps, et découvre quel trésor incroyable elle t’a réservé.
L’œil du coach
Confrontée à l’immensité du temps et à l’ampleur des possibilités, chaque personne peut éprouver le sentiment vertigineux que rien ne correspond à ses attentes.
Le syndrome du burn-out existentiel, équivalent moderne de ce que Kierkegaard nommait déjà l’ennui existentiel, n’est autre qu’une crise de l’existence humaine, reconnaissable aux signes désormais étudiés dans des revues telles que la Revue Française de Psychanalyse ou Cairn Sciences.
Ces études soulignent l’importance de reconnaître et de savoir comment réagir face à cette quête de sens qui marque un conflit entre l’image que l’on se fait de sa propre vie et le semblant de réalité qui s’y projette.
En pleine reconnaissance d’une crise existentielle, il est essentiel de ne pas se laisser submerger par cette souffrance morale. Oui, il existe un manque, une sorte de vide identitaire, mais ce vide peut devenir une source de création, un moment propice à la remise en question professionnelle et personnelle.
Kierkegaard lui-même voyait dans la crise une occasion de transcender l’état d’insatisfaction, une condition sine qua non à l’accomplissement individuel. La psychologie existentielle nous apporte une vision précieuse : la crise existentielle, loin d’être une fin en soi, est plutôt un commencement, une invitation à la pleine conscience.
La famille, le couple, le travail sont autant de sphères où le type de crise identitaire peut se manifester. Faut-il suivre aveuglément le flux des attentes ou prendre du recul ?
La traversée d’une telle phase demande des ressources intérieures nettes. Un psychothérapeute peut servir de guide, d’interlocuteur, pour travailler sur l’apparition de cette condition et forger une nouvelle définition de soi, conforme aux résultats de la revue de sa propre existence, car dépasser la crise nécessite souvent l’accompagnement professionnel.
Considérer son ennui existentiel comme un aspect positif de sa vie, reconnaître qu’il est un signe de l’appel au changement, peut être une force soutenant l’évolution de sa vision de l’existence.
Qu’il s’agisse de la crise existentielle professionnelle ressentie à un âge adulte avancé, nommée communément crise de milieu de vie, ou d’une dépression existentielle dictée par l’évolution de nos sociétés constamment interconnectées via les réseaux sociaux, il convient de garder à l’esprit que traverser une crise existentielle peut mener à une vie plus authentique, mieux alignée avec ce que l’on estime être le sens de sa vie.
Se connaître, travailler sur soi, et finalement reconnaître le cadeau dissimulé derrière le voile du doute, c’est ce que chaque crise existentielle repérée à temps, scrutée avec honnêteté et courage, propose.
La recherche, l’expérience, l’étude pointue de la psychologie existentielle nous montrent que, même dans l’adversité, se trouve la promesse d’une transformation en profondeur.
Chaque crise, chaque questionnement est une chance offerte pour donner un sens plus profond à chaque chose, à chaque moment, à la vie toute entière.