Vivre pour soi : une nécessité, pas un luxe
Putain, camarade, t’en as pas marre de courir partout, de jongler entre taf, famille et obligations, jusqu’à en perdre la boule ?
T’es pas seul : 74% des salariés français estiment que leur santé mentale est affectée par le boulot, et 40% se sentent carrément épuisés. Chez les femmes, c’est encore pire : 8 sur 10 se tapent la charge mentale au quotidien.
Et toi, tu continues à t’oublier, à te sacrifier sur l’autel des attentes des autres.
La fausse croyance du sacrifice
On nous a bourré le crâne avec l’idée que penser à soi, c’est être égoïste. Résultat : on s’épuise à vouloir satisfaire tout le monde, sauf soi-même.
Mais à force de tirer sur la corde, elle finit par péter. Après, si l’appel du burn out te tente, vas-y, fonce !
Il est temps de dire merde à cette culpabilité qui te bouffe.
Vivre pour soi, c’est pas se la couler douce, c’est une question de survie. C’est retrouver ton équilibre, ta santé mentale, et enfin respirer.
Le chemin vers l’épanouissement
Dans ce billet, on va dézinguer ces croyances à la con qui t’empêchent de vivre pour toi.
On va voir comment te recentrer sans culpabiliser, affronter ton passé pour avancer, et utiliser ton “Why” comme boussole.
Prépare-toi à envoyer valser les conneries qui t’enchaînent.
Recentrer sa vie : dire merde à la culpabilité
Pourquoi tu te sens coupable de penser à toi ?
Camarade, on t’a bien dressé, hein ? Toujours à faire passer les autres avant toi, comme si ta vie leur appartenait.
Mais ouvre les yeux : cette culpabilité, elle te tient par les couilles. C’est pas parce que t’oses dire non ou prendre une journée pour souffler que t’es un connard. En fait, c’est même le contraire : tu t’honores toi-même.
Moi aussi, j’ai bouffé cette culpabilité à la louche, surtout quand je devais choisir entre payer les dettes familiales ou juste respirer un peu.
Et devine quoi ? À force de dire oui à tout, j’ai perdu pied.
Faire de soi une priorité, c’est pas être égoïste
Penser à toi, c’est pas abandonner les autres, c’est simplement poser des limites. Les psy appellent ça l’assertivité, mais on va pas se la raconter.
En vrai, c’est juste dire stop aux conneries.
T’es pas un sac de frappe ni un distributeur automatique. Et si tu t’écrases, qui va venir te sauver, hein ? Personne.
L’urgence de dire non
Un bon “non” bien balancé, c’est un acte de survie. Alors vas-y, camarade, apprends à fermer la porte à tout ce qui pompe ton énergie.
Les autres comprendront, ou pas. Et franchement, on s’en fout. Vivre pour soi, c’est choisir de ne plus se sacrifier pour des conneries.
Hey, ça veut pas dire envoyer chier tout le monde, c’est apprendre à prioriser, et donc, parfois, oui, toi avant les autres.
Affronter son passé : crever l’abcès pour avancer
Ce que tu fuis te rattrape toujours
Camarade, arrête de courir, ça sert à rien. Ton passé, il est là, bien planqué dans tes bagages, et il pèse un putain de poids.
Moi, j’en ai traîné des valises pleines de merdes : des dettes jusqu’au cou, des échecs à répétition, et une estime de moi qui avait pris la tangente.
Déterrer les vieilles casseroles
Se faire face et affronter son passé, c’est pas un exercice de style pour briller en société, c’est un putain de combat. Ça pique, ça gratte, ça saigne.
Mais bordel, une fois que t’as crevé l’abcès, tu respires mieux. C’est comme tirer une épine de ton pied après des années à boiter.
Faut fouiller, creuser, se rappeler des trucs qui font mal, mais c’est là que tu récupères ton pouvoir.
Ton passé ne te définit pas
T’as merdé ? T’as fait des choix de merde ? Bienvenue au club.
Mais laisse-moi te dire un truc : t’es pas les erreurs que t’as faites. Vivre pour toi, c’est regarder ce passé droit dans les yeux et lui dire : “T’es là, mais c’est moi qui décide de la suite.”
Crois-moi, camarade, c’est pas en fuyant que tu construiras quelque chose. C’est en te servant de tes échecs comme de briques pour bâtir ta putain de liberté.
la boussole pour ne plus te perdre
Naviguer sans cap, c’est pour les marins d’eau douce
Camarade, t’as déjà eu cette sensation de faire des trucs juste pour faire plaisir aux autres ? De courir dans tous les sens sans vraiment savoir pourquoi ?
Moi, c’était pareil.
J’étais un zombie, vivant pour des objectifs qui n’étaient même pas les miens.
Et toi, t’es dans le même bateau, perdu en pleine mer sans boussole. Ça te parle ?
Trouver ton Why, c’est trouver ton cap
Ton Why, c’est pas un gadget new age, ni une connerie pour se donner bonne conscience. C’est ton moteur, ton cap, ton putain de Nord magnétique.
Le jour où j’ai découvert le mien, tout s’est éclairé. C’était comme passer d’un brouillard épais à une route bien tracée.
Avec ton Why, tu sais pourquoi tu te lèves, pourquoi tu te bats, pourquoi tu dis non à ce qui te pompe l’air.
Construire une vie qui te ressemble
Vivre pour toi, c’est pas juste bouffer des graines en méditant sous un arbre. C’est bâtir une vie qui a du sens, une vie qui résonne avec ce que t’es vraiment.
Et pour ça, t’as besoin de ton Why, ce truc qui te pousse à avancer quand tout le reste te dit d’abandonner.
Sans lui, t’es qu’un paquebot à la dérive. Avec lui, t’es un putain de capitaine qui choisit sa route. Alors, camarade, prêt à trouver ton Why et à t’aligner avec toi-même ?