Le mythe du blocage intérieur
Tu crois que t’es bloqué. Qu’il y a une sorte de mur invisible entre toi et ce que tu veux.
Tu répètes que t’as un trauma, un plafond de verre, un schéma limitant.
C’est devenu ton mantra : “j’aimerais bien, mais j’ai un blocage”.
Mais si on allait plus loin que cette idée ?
Et si t’étais pas bloqué… mais juste pas équipé ?
Parce que la vérité, mon pote, c’est que personne t’a appris à faire avec la peur, l’angoisse, le doute ou la douleur.
Alors forcément, dès que ça pique, tu crois que c’est une anomalie. Tu crois que ça veut dire “stop”. Alors que souvent, ça veut juste dire “vas-y doucement, mais continue.”
Le vrai problème, c’est pas ton blocage. C’est ce que tu crois qu’un blocage signifie.
Tu t’arrêtes, tu t’auto-diagnostiques, tu cogites. Mais t’as jamais appris à traverser un inconfort sans t’effondrer, à respirer dans la friction au lieu de fuir.
T’as confondu inconfort avec interdiction.
Un blocage, c’est pas un mur : c’est une épreuve d’initiation
Quand ça coince, tu veux des clés. Des outils. Des solutions. Mais t’as déjà ce qu’il faut. Ce qui te manque, c’est la tolérance à l’inconfort. T’as appris à réussir, à performer, à plaire. Mais pas à traverser. Pas à perdre. Pas à tenir.
Ce qu’on appelle “blocage” est souvent une incapacité à tolérer ce qu’on ressent.
Tu veux avancer, mais :
- Tu veux pas être jugé
- Tu veux pas avoir peur
- Tu veux pas échouer
- Tu veux pas te sentir nul
Et ça, c’est pas un blocage. C’est une exigence irréaliste. T’as posé comme condition d’avancer sans friction.
Sauf que la vie, camarade, c’est des cailloux dans la chaussure, pas des pantoufles en velours.
Et tant que tu croiras qu’un inconfort est une alerte de danger, tu resteras planté là, à demander la permission de bouger.
Faire avec, pas contre
Tu dois apprendre à “faire avec”. Faire avec la peur. Faire avec l’envie de fuir. Faire avec l’ombre. Pas pour devenir invincible. Mais pour devenir réel.
Voici ce que ça veut dire, concrètement :
- Respirer dans le malaise, au lieu de fuir dans l’inaction
- Revenir au corps, plutôt que de rester bloqué dans la tête
- Accepter que ça ne soit pas fluide, et continuer quand même
- Choisir une petite action, au lieu d’attendre le bon moment (qui ne vient jamais)
T’as pas besoin de lever un sort magique pour “débloquer ton potentiel”.
T’as besoin d’apprendre à marcher avec les boulets aux pieds, pas en les niant.
- C’est pas sexy.
- C’est pas instagrammable.
- Mais c’est la seule voie vers quelque chose de vrai.
Ce que tu appelles blocage est souvent une résistance à être vivant
Tu veux vibrer, t’accomplir, réussir ?
Alors accepte d’être traversé. Par le doute, la peur, la colère, l’ennui.
Tout ça fait partie du chemin.
Tout ce que tu refuses de vivre va continuer à te freiner.
Tu crois que t’es bloqué. Qu’il y a une sorte de mur invisible entre toi et ce que tu veux.
Tu répètes que t’as un trauma, un plafond de verre, un schéma limitant.
C’est devenu ton mantra : “j’aimerais bien, mais j’ai un blocage”.
Mais si on allait plus loin que cette idée ?
Et si t’étais pas bloqué… mais juste pas équipé ?
Parce que la vérité, mon pote, c’est que personne t’a appris à faire avec la peur, l’angoisse, le doute ou la douleur.
Alors forcément, dès que ça pique, tu crois que c’est une anomalie. Tu crois que ça veut dire “stop”. Alors que souvent, ça veut juste dire “vas-y doucement, mais continue.”
Le vrai problème, c’est pas ton blocage. C’est ce que tu crois qu’un blocage signifie.
Tu t’arrêtes, tu t’auto-diagnostiques, tu cogites. Mais t’as jamais appris à traverser un inconfort sans t’effondrer, à respirer dans la friction au lieu de fuir.
T’as confondu inconfort avec interdiction.
Un blocage, c’est pas un mur : c’est une épreuve d’initiation
Quand ça coince, tu veux des clés. Des outils. Des solutions. Mais t’as déjà ce qu’il faut. Ce qui te manque, c’est la tolérance à l’inconfort. T’as appris à réussir, à performer, à plaire. Mais pas à traverser. Pas à perdre. Pas à tenir.
Ce qu’on appelle “blocage” est souvent une incapacité à tolérer ce qu’on ressent.
Tu veux avancer, mais :
- Tu veux pas être jugé
- Tu veux pas avoir peur
- Tu veux pas échouer
- Tu veux pas te sentir nul
Et ça, c’est pas un blocage. C’est une exigence irréaliste. T’as posé comme condition d’avancer sans friction.
Sauf que la vie, camarade, c’est des cailloux dans la chaussure, pas des pantoufles en velours.
Et tant que tu croiras qu’un inconfort est une alerte de danger, tu resteras planté là, à demander la permission de bouger.
Faire avec, pas contre
Tu dois apprendre à “faire avec”. Faire avec la peur. Faire avec l’envie de fuir. Faire avec l’ombre. Pas pour devenir invincible. Mais pour devenir réel.
Voici ce que ça veut dire, concrètement :
- Respirer dans le malaise, au lieu de fuir dans l’inaction
- Revenir au corps, plutôt que de rester bloqué dans la tête
- Accepter que ça ne soit pas fluide, et continuer quand même
- Choisir une petite action, au lieu d’attendre le bon moment (qui ne vient jamais)
T’as pas besoin de lever un sort magique pour “débloquer ton potentiel”.
T’as besoin d’apprendre à marcher avec les boulets aux pieds, pas en les niant.
- C’est pas sexy.
- C’est pas instagrammable.
- Mais c’est la seule voie vers quelque chose de vrai.
Ce que tu appelles blocage est souvent une résistance à être vivant
Tu veux vibrer, t’accomplir, réussir ?
Alors accepte d’être traversé. Par le doute, la peur, la colère, l’ennui.
Tout ça fait partie du chemin.
Tout ce que tu refuses de vivre va continuer à te freiner.