Savoir ce que tu veux : le secret pour trouver un sens à ta vie
Tu te sens paumé ? T’as l’impression de courir après des chimères sans vraiment savoir ce que tu veux ?
Bienvenue au club, camarade, rassure toi, t’es vraiment pas seul.e.
La quête de sens, c’est pas juste un joli mot à la mode. On te bourre le crâne avec des phrases toutes faites sur l’épanouissement et la réussite, mais au fond, savoir ce que tu veux vraiment, c’est une autre paire de manches.
Si tu penses que te contenter de suivre le troupeau te mènera quelque part, permets-moi de te dire que tu te fous le doigt dans l’œil.
Il est temps de plonger dans ce bordel intérieur et de mettre la lumière sur ce que tu veux pour de vrai.
L’illusion des désirs imposés par la société
Dans cet article, je vais te balancer la vérité, cash. On va parler des désirs que tu poursuis pour impressionner les autres et de la peur qui te cloue au sol.
Je vais te raconter comment j’ai sué sang et eau à poursuivre ce que je croyais être des objectifs de vie, avant de comprendre que je me racontais des salades.
On va décortiquer pourquoi savoir ce que tu veux, c’est pas seulement avoir un boulot bien payé ou des vacances de rêve.
C’est un boulot d’introspection, bordel, pas un marathon pour plaire à la galerie.
On parlera aussi des besoins que tu penses avoir et de ceux que tu caches au fond de toi, ces trucs dont tu n’oses même pas chuchoter le nom.
Et puis, on finira par le plus important : comment ton Why, ta boussole intérieure, peut t’aider à sortir de ce foutu marasme et enfin avancer avec clarté et détermination.
Ah, tu attendais une énième liste moisie avec les X étapes pour découvrir ce que tu veux dans la vie ? Hey, on parle de la vie, pas d’un manul Ikea pour monter un meuble l’ami.
Prêt à découvrir ce que tu veux vraiment, sans filtres ni mensonges ? Alors, accroche-toi, parce que ça risque de secouer.
L’illusion des désirs imposés par la société
On te l’a fait croire depuis que tu es môme : réussir, c’est avoir une carrière qui brille, une maison avec jardin et le dernier SUV en vogue qui fait frémir les voisins.
Et toi, comme un abruti, t’as gobé ça. Ne t’en veux pas trop, on est tous passés par là.
Mais la vérité, c’est que savoir ce que tu veux, c’est pas cocher les cases que la société a dressées pour toi.
Tu penses peut-être que ton objectif, c’est cette fameuse promotion ou ce foutu appartement à Paris ?
Bougre de con, laisse-moi te dire que tu te mens à toi-même.
Ce que tu veux vraiment n’est pas ce que tu crois
Quand j’étais plus jeune, j’ai bouffé des kilomètres de galères en me disant que l’argent et le statut seraient ma porte de sortie. J’ai empilé les boulots sans âme, vivant au jour le jour pour remplir mon frigo et sauver la face.
Résultat ?
Un beau jour, je me suis retrouvé devant le miroir avec la question qui tue : « Mais qu’est-ce que tu fous de ta vie ? »
C’est là que j’ai compris : ces objectifs que je poursuivais, c’était pas les miens. Ils étaient là pour coller à une image, pour satisfaire des attentes qui n’étaient même pas les miennes.
Ouvre les yeux, camarade. Tant que tu joueras ce jeu pour plaire aux autres, tu resteras un pantin, une foutue marionnette dans un costume trop serré.
Tu veux vraiment savoir ce que tu veux ?
Commence par foutre à la poubelle les désirs qui ne sont pas les tiens. Ce n’est pas facile, mais putain, ça fait un bien fou.
la peur de l’échec et le blocage qui en découle
Cette putain de peur, elle est là, elle te colle aux basques comme un chien mal dressé.
Cette peur de l’échec, c’est ce qui te paralyse, ce qui te fait croire que rester sur place est moins risqué que de bouger.
Mais si tu crois que l’immobilisme est ton meilleur pote, tu vas vite déchanter.
La peur, elle te raconte que tomber, c’est la fin du monde, que si tu te plantes, c’est la honte assurée.
Eh bien, camarade, j’ai des nouvelles pour toi : rester figé par la trouille, c’est le plus sûr moyen de crever à petit feu.
Comment j’ai appris que l’échec n’est pas une fin
Entre mes 20 et 30 ans, j’ai enchaîné les défaites comme un champion : projets qui capotent, retour humiliant chez ma mère, et la gueule baissée par la honte.
Tu connais ce sentiment, non ? Celui qui te dit : « T’es bon à rien, laisse tomber« .
Putain, cette merde m’a cloué sur place pendant des années, le cul vissé sur un siège de perdant.
Mais un jour, j’ai réalisé un truc : ce n’était pas l’échec le problème, c’était la peur de l’échec. J’ai pigé que chaque fois que je tombais, j’apprenais. Et c’est ça qui m’a permis de me relever, de me foutre des échecs et de foncer.
Toi aussi, tu dois comprendre que l’échec est juste une étape, pas un foutu mur infranchissable.
Chaque fois que tu restes bloqué par la peur de te vautrer, tu rates une chance de découvrir ce que tu veux vraiment et d’avancer, même si c’est bancal. Crème d’andouille, ose bouger, même si ça pique.
Les besoins implicites : ce qui se cache derrière ce que l’on veut
Les besoins… Tu crois savoir ce que tu veux, hein ?
Une meilleure bagnole, un job avec un titre à rallonge, plus de fric pour impressionner les autres.
Mais qu’il est con, celui qui pense que ces envies de surface sont le fin mot de l’histoire.
La vérité, c’est que derrière chaque besoin explicite se cache un besoin implicite. Un truc plus profond, plus sournois, qui te bouffe sans que tu le saches. C’est d’ailleurs l’objet du Cercle d’Or, j’dis ça…
Creuser sous la surface pour découvrir la vérité
Pendant des années, j’ai couru après des rêves de pacotille : le salaire qui en jette, le statut qui fait taire les critiques.
Et pourtant, même après avoir grimpé l’échelle, j’ai ressenti un putain de vide intérieur.
Parce que le vrai besoin, celui que je ne voulais pas avouer, c’était la légitimité.
Tête de nœud que j’étais, j’ai compris trop tard que tout ce que je cherchais, c’était de me sentir à ma place, d’avoir enfin la sensation de valoir quelque chose.
Et toi, pourquoi tu veux cette promotion, cette maison, ce bout de prestige ? Peut-être que c’est juste pour prouver que t’es pas un raté. Peut-être que tu cherches à te prouver que tu mérites d’être respecté.
Pose-toi la vraie question, celle qui fait mal : qu’est-ce que tu espères vraiment ressentir quand tu auras ce que tu dis vouloir ?
Putain, c’est là que tu découvriras ce qui te motive pour de bon, et que tu pourras enfin aligner ta vie avec tes vrais besoins.
La boussole vers une vie authentique
On en parle souvent comme d’un concept vague, un truc de coach spirituel ou de gourou en quête de disciples.
Merde, si seulement tu savais ce que le Why peut réellement faire pour toi. Ton Why, ce n’est pas juste un joli mot à placarder sur un tableau de vision.
C’est ta foutue boussole, celle qui te permet de ne plus avancer en aveugle, de sortir du rôle de spectateur de ta propre vie pour en devenir l’acteur principal.
Comment le why transforme tout
Quand j’ai découvert mon Why, c’était pas pendant une retraite de yoga à Bali ni grâce à un gourou sur YouTube.
Non, c’était après m’être ramassé en beauté, après avoir bouffé assez de déceptions pour en nourrir une armée.
Le Why, c’est ce qui m’a permis de comprendre pourquoi je me relevais encore et encore, même quand la vie me crachait à la gueule.
C’est ce qui m’a donné un cap, un sens. Plus qu’un but à atteindre, c’était une raison de continuer à avancer, coûte que coûte.
Toi, tant que tu ne trouveras pas ton Why, tu continueras à te cogner contre des murs et à te demander pourquoi tout semble si merdique.
Avec ton Why, chaque échec devient une leçon, chaque défi un tremplin. Et putain, ça change tout.
Ça te donne la clarté dont tu as besoin pour te lever le matin avec un objectif, pour ne plus naviguer à vue et te contenter des miettes.
Parce qu’au final, ton Why, c’est le seul truc qui te permettra de vivre aligné, sans tricher.