TLDR;
Faire l’autruche : une solution de paresseux
Alors, faire l’autruche. Pour prendre confiance, pour vaincre la timidité, pour aller de l’avant, pour développer sa confiance en soi, la confiance en l’autre, tu crois vraiment que faire l’autruche est une bonne chose ?
Allons, allons, on se réveille! C’est quoi c’te façon de fuir tes problèmes, hein? Tu crois que les ignorer va te sauver la peau? Mais t’es en train de te foutre dedans jusqu’au cou tu sais! Voilà, la vie, ce n’est pas une soirée à boire des bières sur ton canapé, à binger Netflix et à attendre que les galères s’évanouissent dans la nature.
Bon, j’comprends, il suffit pas de claquer des doigts pour résoudre tous les soucis. Parfois, c’est carrément la merde, oui.
T’as envie de faire l’autruche, de mettre ta tête sous le sable et d’espérer que tout ça se dépatouillera tout seul. Mais je te l’ai déjà dit, ça ne marche pas comme ça.
Les problèmes sont comme une tarte aux pommes que tu laisses pourrir dans le frigo : le temps ne fera que l’aggraver et ça finira par empester tout ton appart.
Et après ? Tu te retrouves avec la vie intégralement dérangée. Tes problèmes que t’as glissés sous le tapis sont devenus des montagnes infranchissables. Ton job, tes relations, ta santé mentale, tout part en live.
Et le pire ? Ben, t’es encore là à faire semblant de ne rien voir, t’as toujours ton sourire de façade qui raconte à tout le monde que « tout va bien ».
Affronter ses problèmes : le vrai guide vers le succès
Maintenant, mon conseil, si tu veux l’entendre, c’est de te secouer un peu. T’as le droit d’avoir des problèmes, on en a tous. Mais t’es seul au volant de ta vie et tu dois la diriger. Veux-tu vraiment la laisser partir dans le décor ? Allez, bouge-toi, regarde tes problèmes en face, elle est là, la route du succès.
D’abord, arrête de te mentir à toi-même. Le déni c’est quoi, c’est de la lâcheté, c’est refuser d’affronter la vérité. Ouais, la vérité ça fait peur, ça fait mal, mais c’est le seul moyen pour avancer. Identifie clairement tes problèmes.
Mais attention, pas question de tomber dans le piège du pessimisme non plus. Un problème, c’est juste une situation à résoudre. Escalader le Mont Everest c’est un défi, pas une tragédie.
Ensuite, demande-toi ce que tu peux faire pour y remédier. Des solutions, y en a toujours. T’es pas seul dans ta galère, demande de l’aide ou des conseils si ça te chante.
Et puis, tu sais, l’échec c’est pas honteux. Les erreurs, c’est comme les râpé dedans tes genoux quand t’étais gamin, c’est un rappel de ce qu’il ne faut plus faire.
Tu as tout à fait le droit de te pardonner pour les erreurs passées, pour tout ce que tu n’as pas fait comme il aurait fallu. Dans tout les cas, putain, c’est fait !
La machine à remonter dans le temps n’existe pas encore, et donc, tu ne peux pas rejouer la scène. Alors, soit tu te traine tes erreurs, ton passé, tes kilos de regrets, et tu vas avoir du mal à avancer, soit, bah tu acceptes de te pardonner.
Après, ça demande du courage, de l’effort, je sais. Mais compare ça à la sensation que tu ressens quand un problème est réglé. Quand tout devient plus clair dans ta tête, plus léger dans ton cœur.
Alors, tu veux foirer ta vie ? Non j’crois pas, non. Alors fais-moi plaisir, affronte tes problèmes, laisse pas la merde s’accumuler. Ça va prendre du temps et de l’énergie, mais crois-moi, en fin de compte c’est toi qui seras gagnant. Après tout, t’as qu’une vie, alors mieux vaut ne pas la flinguer, non?
Prendre les taureaux par les cornes : transformer la merde en or
Alors, prêt à en découdre ? Chouette, j’aime ton sourire de déterminé. Souviens-toi bien de ceci : pour transformer la merde en or, faut se salir les mains.
On n’aura jamais rien sans rien, et l’succès, c’est le fruit des efforts. Y a pas de honte à galérer, et y a pas de fierté à réussir sans s’être retroussé les manches.
La première étape : arrête de faire semblant. On a tous des faiblesses, des choses qu’on n’aime pas chez nous et des erreurs qu’on a commises. Accepte-les, mais n’oublie surtout pas de les comprendre pour ne pas les refaire.
Ensuite donne-toi quelques défis. Mets toi dans des situations inconfortables, c’est ça qui va te rendre plus fort. Un pas à la fois. Tu ne grimperas pas l’Everest en un jour. Tu ne résoudras peut-être pas tous tes problèmes aujourd’hui, mais tu peux commencer à t’y attaquer. Affronte l’un d’entre eux, peu importe lequel. Et une fois terminé, passe au suivant.
Tu sais, y a une maxime qui dit « quand on ne sait pas où on va, tous les chemins mènent nulle part« . Alors trouve une solution, cherche une sortie, fais quelque chose. Ta vie, elle est ce que tu en fais des choix que tu fais. Et si on évite les problèmes ou qu’on fuit devant les défis, nos choix nous mènent à la dérive.
Même chose avec nos projets. Si tu ne les réalises pas à cause de tes peurs, de tes incertitudes, tu vas regretter d’avoir foutu ta vie en l’air. Alors, affronte la vérité, détermine ce que tu aimes, qui tu es et ce que tu veux. Et élabore un plan. C’est effrayant, je te l’accorde ! Mais crois-moi, ne rien faire est encore plus terrifiant.
Prends en main ta vie et n’hésite pas à demander de l’aide ou des conseils. Et n’oublie pas, chacun a ses problèmes à affronter, tu n’es pas seul dans la galère.
Alors vas-y, positive! Ta vie, c’est ta responsabilité. Alors prends-la en main. Affronte tes problèmes! Lâche pas le morceau, non mais! Et si tu as besoin d’aide, demande-la.
Y’a toujours quelqu’un pour t’en donner. Y’a toujours une solution à chaque problème, j’ai jamais vu une situation sans issue! Alors, au lieu de te morfondre, fais comme le taureau : prends les problèmes par les cornes et transforme cette merde en or.
faire l’autruche, En conclusion
Faut pas avoir peur de prendre ta vie en main, sans attendre que ça tombe du ciel. Accepte les échecs, ils sont là pour te faire grandir. Merde, que ce soit clair : t’as le droit de te planter. Mais, ce que t’as pas le droit, c’est de rester sur place à te plaindre.
La vie, c’est une suite d’obstacles qu’il faut affronter et de défis à relever. Alors, fais-toi confiance et ne lâche rien. Ose, expérimente, échoue, relève-toi !
Sache que rien n’est figé. Prends ton courage à deux mains, affronte les problèmes, transforme cette merde en or. La solution, elle est en toi.
Tu te voiles la face depuis trop longtemps, mais dis-toi bien que l’ignorance volontaire ne mène jamais loin.
Tu veux une solution ? Elle existe, elle s’appelle le why. C’est ce qui te permettrait d’arrêter de te cacher derrière des excuses bidon, d’affronter enfin ce vide qui te ronge de l’intérieur. Mais bon, continue à faire l’autruche si tu veux… ou ose essayer le why, un outil exclusif, mais pas pour tout le monde. À toi de voir si tu es prêt à franchir le pas.
Et si tu te dis « je ne sais pas si ça me correspond », c’est justement là que ça devient intéressant. Le why ne se contente pas de te donner un coup de pouce, il te propulse. Mais avant de t’y aventurer, tu peux toujours passer un test pour voir si t’es compatible. Simple curiosité, ou première étape vers le changement ? À toi de jouer.
L’Œil du Coach
Donc, aujourd’hui on aborde les comportements d’évitement avec toi et la fameuse fausse bonne idée faire de l’autruche.
Cet oiseau grandiose, malgré ses deux mètres de haut et sa vitesse de course impressionnante, est resté populaire dans le langage pour une légende tenace : qu’il enfouirait sa tête dans le sable pour éviter le danger. Or, d’après les études scientifiques, cette croyance issue du XIXe siècle est erronée.
L’autruche met bien sa tête près du sol, parfois dans des trous pour la couvaison de ses œufs, mais pas pour se cacher de la réalité.
Dans la langue française, l’expression « mettre la tête dans le sable » a pris un sens symbolique, désignant une personne qui refuse de voir le danger ou fuir une crise, à l’image de la politique de l’autruche qui, croit-on, croient se rendre invisibles en plongeant la tête dans le sable pour éviter le danger.
Mais toi, agis-tu de la même façon ? Refuses-tu d’affronter les tempêtes de sable de l’existence, ou te portes-tu à la rencontre des risques, conscient que la vérité authentique ne peut être atteinte en pratiquant la politique de la tête dans le sable ?
La réalité est que ce comportement est un réflexe répandu. Une crise surgit, la première réaction, souvent rapide et impulsive, peut être de baisser les yeux, de courir, d’appliquer ce réflexe ancestral de fuite.
Il existe une certaine qualité protectrice dans cet effet : protéger sa tête, symboliquement comme cette grande autruche qui baisse la sienne, nuit et jour, pour couver les petits, mais non pour se cacher du danger.
Considère alors, peut-être avec une pointe d’humour, que des études psychologiques suggèrent que ce n’est pas tant l’envie de cacher la réalité, mais celle de partager le meilleur de nous en qualité de protection et de soutien.
Tu le sais, courir ne mène pas loin si l’on refuse de modifier notre cap. Il ne suffit pas de croire que l’on se rend meilleur en occultant les risques.
L’interprétation populaire s’éloigne souvent de la véritable nature des choses. C’est comme croire que la grande taille et le long cou de l’autruche lui permettent de cacher sa tête et d’échapper à la crise, alors que, dans la réalité, ce gros oiseau applique toute autre stratégie plus efficace.
Ton meilleur cours d’action, c’est de t’identifier aux points forts de cet oiseau sans céder aux mythes : avoir un regard panoramique et ne pas se laisser dérouter par les tempêtes de sable de la vie.
Comme l’autruche, le choix est là, patte après patte, centimètre après centimètre, de modifier le parcours, d’enfouir ou non le sol sous nos courses effrénées.
Alors, tutoie la réalité, refuse de baisser la tête et cours avec détermination vers l’exacte vérité qui t’attend au-delà de l’horizon.