La danse des signes, ou comment repérer la présence de la peur de l’engagement
Engagement deux points zéro, mon ami. Tu te souviens d’Alice ? Cette nana qui avait tout pour plaire, mais qui prenait la fuite dès que quelque chose devenait trop sérieux.
Ou de Bob, ce gars super, qui pourtant ne pouvait s’empêcher de chercher des failles dans chaque relation qu’il commençait, pour mieux avoir une excuse pour la saboter.
Oui, camarade, ils ont tous les deux la peur de l’engagement. Tout comme toi, probablement. Ça pique, non ? Mais détends-toi, ce n’est pas la fin du monde. En fait, c’est une bonne chose. Tu sais pourquoi ? Parce que tu peux y faire face.
C’est possible de vaincre cette peur. Mais, avant d’aller vider des seaux d’eau dans le désert du Sahara, faut savoir où se trouve le puits. Tu me suis ?
Méfiance et évasion : les deux têtes de la peur de l’engagement
Alors, comment repérer ce petit monstre qu’est la peur de l’engagement ? Regarde d’abord les relations passées. Que ce soit Bob, Alice ou toi, tes histoires sont aussi longue qu’un sport publicitaire à la télé ? Si oui, c’est un signe.
Ensuite, il y a la méfiance, l’éternel compagnon de la peur de l’engagement. Tu cherches probablement des poux à la moindre petite chose dans ta relation. Tu vois les failles avant même qu’elles n’apparaissent.
D’ailleurs, tu es probablement même à l’origine de la plupart d’entre elles. Non ? Depuis quand la vérité a-t-elle piqué à ce point ?
Aussi, il y a l’évasion, le cousin éloigné de la peur de l’engagement. Tu trouves des excuses. Tu cherches des manières de fuir. De te dérober, pour être précis. Mais, il n’y a pas à avoir honte. On a tous nos dragons à combattre.
Bien sûr, il y a d’autres signes. Mais, pour les voir, il faut creuser. Il faut mettre les mains dans le cambouis. Tu n’as pas peur de te salir les mains, non ?
Car oui, il faut mettre le nez dans le caca de la peur de l’engagement pour en être libéré, rien de moins. Eh oui, camarade, c’est le prix à payer. C’est le prix de la liberté. C’est le prix de la capacité de t’aimer et de laisser les autres t’aimer.
Ne pas s’engager, c’est confortable. C’est sécurisant. C’est prévisible. Mais c’est aussi insignifiant, vide et chiant.
Les Causes
La peur de l’engagement n’apparaît pas comme ça, un beau jour sans raison. Elle est souvent la conséquence d’expériences passées, d’événements traumatisants qui t’ont fait une belle plaie encore ouverte aujourd’hui.
Si t’es du genre à fuir devant l’engagement, il est fort possible que t’aies été blessé par le passé. Peut-être que t’as déjà donné ta confiance à quelqu’un et qu’elle t’a été brutalement retirée. Ou peut-être que tu crains de perdre ta liberté, ton indépendance.
Ça peut aussi être lié à ton histoire familiale, tu sais. Si tes parents ont divorcé quand tu étais jeune, ou si t’as grandi dans un foyer où l’engagement était considéré comme un fardeau plutôt qu’une chose positive, ça peut te rendre méfiant. C’est dur de s’engager quand on a peur de répéter les erreurs de ses parents.
Les conséquences
Alors, qu’est-ce que ça donne, cette peur de l’engagement ? Eh bien, t’es sûrement la star des relations éphémères, de celles qui brillent intensément avant de s’éteindre aussi vite qu’elles ont commencé.
Et ça, c’est chiant, mec. Parce qu’à force, tu te retrouves seul. T’as peur d’aller plus loin, de donner plus, de te montrer vulnérable.
Et sur le long terme, ça peut vraiment être un frein à ton épanouissement personnel. Parce que l’amour, l’amour véritable, celui qui dure, ça demande de l’engagement.
Ça demande de la confiance, de la patience, du respect. Et si t’es toujours en train de fuir, tu ne pourras jamais connaître ça.
La peur de l’engagement, ça peut aussi affecter ta confiance en toi. T’es constamment en train de te demander pourquoi t’aimes pas assez pour t’engager, pourquoi tu n’arrives pas à faire confiance.
Et ça, ça te ronge de l’intérieur. Ça te fait douter de toi, de tes choix, de ta capacité à être aimé.
Et crois-moi, même si pour l’instant, tu te contentes d’une série de flirts sans lendemain, il viendra un moment où tu voudras plus. Où tu voudras quelque chose de vrai, de profond, d’authentique.
Et c’est à ce moment-là que tu te rendras compte que ta peur de l’engagement te pousse à passer à côté de quelque chose de vraiment beau.
En conclusion
Sacré toi, t’as cette foutue peur de l’engagement bien ancrée en toi, mais t’as aussi le courage de te pencher dessus et d’essayer de comprendre d’où ça vient. Chapeau!
Tu sais, cette peur, elle est pas insurmontable. Elle ne définit pas qui t’es. T’as été blessé, soit. On l’a tous été à un moment donné. Mais ça ne veut pas dire que t’es condamné à fuir toute ta vie.
La vérité, c’est que t’as besoin d’arrêter de te cacher derrière cette peur. Parce qu’au fond, tu le sais, ce n’est qu’une excuse. Une excuse pour ne pas prendre de risques, pour ne pas te montrer vulnérable, pour ne pas souffrir.
Mais mec, l’amour, ça vaut la peine de prendre des risques. Et pour ça, faut que tu fasses face à ta peur et que tu la combattes.
Et oui, ça va être dur. Oui, ça va être inconfortable. Mais crois-moi, ça en vaut la peine. Parce qu’en faisant face à ta peur, tu vas pouvoir vivre des relations plus vraies, plus authentiques.
Tu vas pouvoir t’ouvrir aux autres, leur faire confiance, et qui sait, peut-être même tomber amoureux. Alors, tu vois, cette peur, elle est pas insurmontable. Faut juste que tu décides de l’affronter. Alors, t’es prêt? Allez, vas-y! Viens chercher ta liberté, viens chercher ton bonheur!
L’oeil du coach
Hé toi, tu te souviens d’Alice ? Ou de Bob ? Ces cas désespérés, fuyant l’engagement comme si c’était un marathon sans fin ? Oui, exactement. Comme toi. Un brin piquant, non ?
Mais doucement, ce n’est pas une condamnation à perpétuité. À moins que tu ne préfères garder tes fesses bien installées dans cette zone de confort, au lieu de faire quelque chose de réel avec ta vie.
Il y a la trace indélébile de la peur de l’engagement. Ne me mens pas : des histoires brèves et sans lendemain, comme les conversations avec ton pote à la machine à café ? Oui, probablement que cela t’évoque quelque chose.
Cette petite voix qui t’avertit de tous les dangers, réels ou fantasmés, qui guettent ta relation. Et ne parlons même pas de cette évasion, cette perpétuelle recherche d’excuses pour prendre la fuite. Oh oui, je te vois, mon ami.
Toujours pas convaincu ? Toujours accroché à cette peur maladive de l’engagement ? Quel dommage !
Continuons alors. Regarde les hématomes de tes expériences passées, les cicatrices laissées par les personnes en qui tu as eu confiance et qui t’ont finalement laissé tomber.
Ou peut-être qu’une enfance passée dans la crainte des responsabilités et du mariage en pierre te fait penser que l’engagement rime avec prison ?
Aujourd’hui, voilà le tableau dramatique de ta vie : une succession de relations éphémères, une quête constante de perfection insouciante qui te laisse insatisfait, la solitude en ultime compagnie.
Pauvre de toi ! Tu n’arrêtes pas de te demander pourquoi, malgré tous tes efforts, tu as échoué à conquérir le sommet de l’amour.
Bon, assez bavardé. Lâche cette peur de l’engagement et laisse-toi porter par la puissante vague de l’amour. Après tout, il n’y a rien de mieux que de prendre une grande bouffée d’air d’engagement.
Alors, décide enfin de te lever de ce canapé usé, de prendre ce monstre à bras-le-corps, et de te mettre en route vers l’amour véritable.
En conclusion, oui, tu as cette peur stupide de l’engagement. Mais tu as aussi du courage, je le sais. Alors, rase ces murs de peur, retire ce masque confortable. L’amour vaut la peine d’être risqué.
Oui, ça va piquer, mais je te promets, les gains sont énormes. Et rappelle-toi, je suis là, ton dévoué coach, prêt à te soutenir en chemin. Alors, prêt à relever le défi ?