à quoi bon continuer comme ça ?
On va pas se mentir, Marc, combien de fois tu t’es retrouvé à soupirer, à te dire « à quoi bon », en te traînant d’une journée à l’autre ?
T’as beau faire le job, remplir les cases, t’as toujours cette foutue impression que ta vie tourne à vide, que rien n’a vraiment de sens.
Et tu n’es pas le seul à te poser la question. Aujourd’hui, beaucoup comme toi s’usent à suivre une routine qui ne les mène nulle part.
Ça pue l’ennui et le manque de motivation, et pourtant, tout le monde continue, comme si c’était normal. Bougre de connerie, hein ?
Le manque de sens, c’est pas une fatalité, c’est un signal
Ce sentiment de vide qui te ronge, ce n’est pas juste une mauvaise passe, c’est un putain de signal d’alarme.
À force de tourner en rond, tu te sens piégé, comme si tu n’avais plus le choix.
Mais et si le vrai problème, ce n’était pas le boulot, ni la société, ni les responsabilités, mais le fait que tu ne te sois jamais demandé pourquoi tu fais tout ça ?
Et ouais, t’as jamais pris le temps de trouver ton vrai moteur, ton Why, celui qui donne une direction à ta vie.
Dans cet article, on va bousculer tes idées, creuser un peu, quitte à te mettre le nez dans tes choix de merde pour voir si, cette fois, t’es prêt à te poser les bonnes questions.
Maintenant, accroche-toi, parce que ce qu’on va aborder n’est pas pour les flippés.
On va parler de ce qui te retient, de la foutue peur de l’échec qui te paralyse, des excuses bidons que tu te racontes.
À chaque point, on va se demander si t’as vraiment envie de te bouger ou si tu comptes rester coincé dans ce cycle infernal.
« À quoi bon ? », tu dis ? On va voir ça ensemble.
T’as jamais pris le temps de savoir pourquoi tu fais ce que tu fais ?
Quand on se demande « à quoi bon », c’est souvent qu’on est en train de tourner en rond dans un boulot ou une vie qui nous emmerde.
Tu connais ça, non ?
Travailler pour payer les factures, attendre le week-end comme un messie et surtout éviter de trop se poser de questions.
Mais attends une seconde : est-ce que t’as déjà pris le temps de comprendre pourquoi tu fais tout ça ? Pas pour les autres, mais pour toi ?
La routine, cette sacrée prison bien déguisée
T’as déjà remarqué que tout est fait pour que tu suives un rythme sans fin, comme un hamster dans sa roue ?
Entre la pression de la société, la famille qui t’encourage à “assurer le quotidien” et les responsabilités à la con, tu te retrouves pris dans une routine qui t’étouffe.
Mais laisse-moi te dire un truc : le vrai piège, il est là, dans cette routine qui t’empêche de voir ce que tu veux vraiment.
À force, t’es tellement pris dans l’engrenage que tu finis par croire que ta seule option, c’est de continuer comme ça.
Mais si t’avais pris un peu de recul, comme je l’ai fait un jour, tu verrais que tout ça n’est qu’une foutue illusion.
Ouais, j’ai aussi connu la routine à la con, à bosser des jobs sans âme, juste pour garder la tête hors de l’eau. Et crois-moi, c’est le genre de chemin qui te mène tout droit dans le mur.
Mais c’est en me posant, en creusant pour trouver ce qui me faisait vraiment vibrer que j’ai fini par sortir de cette boucle.
Aujourd’hui, c’est à toi de savoir si tu veux continuer à tourner en rond ou si t’es prêt à chercher ce qui te tient réellement debout.
Alors, dis-moi, tu veux quoi ? Rester bloqué ou avancer pour de bon ?
Le manque de sens, c’est pas une fatalité, c’est un foutu signal d’alarme
Le jour où tu commences à te demander « à quoi bon », c’est pas juste une petite crise passagère.
Non, c’est ton esprit qui hurle que quelque chose cloche sérieusement.
Et si tu crois que ce genre de questionnement va passer tout seul, laisse-moi te le dire franchement : tu te mets le doigt dans l’œil, bien profond.
Ce manque de sens, c’est pas une fatalité ; c’est un putain de signal d’alarme, un truc qu’il faut écouter, pas étouffer sous des couches de routine et d’habitudes.
Si tu t’écoutes pas maintenant, ça finira mal
T’as peut-être l’impression que c’est normal, que tout le monde traîne un peu ce vide, cette foutue lassitude.
Mais en vrai, c’est ton cerveau qui se révolte, qui te balance un « ça suffit ».
C’est la preuve que t’es en train de vivre à côté de tes pompes, de passer à côté de ce qui te ferait vraiment avancer.
Moi aussi, j’ai connu ce genre de creux, à tourner en rond dans des jobs qui me pompaient l’air. J’ai essayé d’étouffer ce mal-être, jusqu’au jour où la vie a décidé de me mettre une claque bien sentie : un infarctus, un réveil brutal qui m’a fait comprendre que continuer comme ça, c’était plus possible.
Et toi, t’attends quoi pour ouvrir les yeux ?
Ce sentiment si délicieux de vide intérieur, il est là pour te faire bouger.
Alors bouge ! Avant que ce soit la vie qui te le fasse comprendre d’une manière bien plus brutale.
Tourquoi tu bosses pour des rêves qui sont même pas les tiens ?
Allez, sois honnête : tu te lèves chaque matin pour quoi ?
Pour tes propres rêves ou juste pour assurer les objectifs que les autres t’ont refilés ?
T’es là à bosser pour des projets qui te laissent de marbre, à remplir des cases qui t’intéressent pas.
Tout ça pour quoi ?
Pour garder une façade bien lisse ? Mais sérieusement, tu te rends compte que tu passes ta vie à poursuivre des trucs qui ne viennent même pas de toi ?
Avoir un patron et un job pour payer les factures, c’est pas une tare, mais merde, trouve une boite qui propose un truc qui te fasse bander au moins, j’sais pas moi !
Reprends le contrôle et mets de côté le « qu’en-dira-t-on »
À force de suivre des objectifs qui n’ont rien à voir avec toi, tu t’es perdu en route.
La pression de l’entourage, la peur de décevoir, de quitter le confort… toutes ces foutues excuses te retiennent, comme un boulet au pied.
Mais laisse-moi te donner un scoop : le jour où t’arrêteras de jouer ce rôle, où tu décideras enfin de prendre le contrôle, c’est là que tu commenceras à avancer pour de vrai.
Et si tu ne sais pas par où commencer, tiens, voici quelques idées pour te remettre sur les rails et remettre un peu de toi dans ta vie :
- Fais la liste de ce qui te fait vraiment vibrer : pas ce que les autres attendent de toi, mais ce qui t’active, ce qui te sort de l’ennui.
- Prends une décision que t’aurais jamais osé : ça peut être dire non à un projet, repousser une réunion, bref, un truc pour marquer le début d’un vrai changement.
- Réserve une heure par jour pour un projet qui vient de toi : un truc à toi, même petit, même fou, mais qui te sort de cette routine.
- Fous-toi la paix avec l’image parfaite : chaque fois que t’as peur de faire ce que tu veux vraiment, dis-toi que les autres s’en foutent bien plus que tu le penses.
- Investis dans une introspection sérieuse : tu veux pas te poser et creuser ton Why ? C’est le moment ! Parce que c’est le meilleur outil pour arrêter de te planter.
- Ecris ! Bordel ! Ecris, vide toi la tête de ces saloperies qui te bouffent. Le journaling, c’est pas un truc de gamine. C’est un putain d’outil.
Quand t’auras commencé à agir pour toi, tu verras, ça va faire un bien fou.
Parce qu’en réalité, tant que tu bosses pour des rêves qui ne sont pas les tiens, t’es condamné à te traîner.
Mais imagine une seconde ce que ça donnerait si tu avais une boussole bien à toi.
C’est là qu’entre en jeu le fameux Why, et crois-moi, on va pas juste en parler pour faire joli. Attends la suite, où on va explorer ce qu’il peut t’apporter pour de bon.
Ta boussole pour arrêter de tourner en rond
Camarade, si t’as suivi jusque-là, c’est qu’au fond tu sais que continuer comme ça, c’est plus possible.
C’est là que le Why entre en jeu, pas comme un gadget spirituel à la noix, mais comme ta foutue boussole.
Ce Why, c’est pas un slogan, c’est pas un rêve en carton. C’est ton cap, ton essence, ton putain de moteur pour avancer avec une vraie direction.
Une fois que tu l’as trouvé, tout devient plus clair. Tu sauras enfin pourquoi tu fais ce que tu fais, et surtout, tu vas arrêter de courir dans tous les sens sans savoir où tu vas.
Un why, ça te sort de l’ombre
Chercher ton Why, c’est comme foutre un gros coup de projecteur sur ce qui te tient vraiment debout.
À partir de là, plus question de se lever tous les matins en traînant les pieds ou de bosser pour des projets qui te laissent de marbre.
Et t’en fais pas, ça s’applique pas qu’aux gourous des TED Talks ou aux rêveurs.
Moi aussi, j’ai galéré à comprendre ce qui me faisait avancer.
Mais le jour où j’ai trouvé ce qui me botte vraiment, j’ai arrêté de perdre mon temps avec des conneries. Toi aussi, tu peux. T’es pas condamné à cette vie d’automate !
Concrètement, le why, ça change quoi ?
Un Why bien clair, c’est ta rampe de lancement.
Dès que tu sais ce qui te fait vibrer, tout s’aligne : tu fais tes choix en fonction de ce qui a du sens pour toi, pas pour impressionner les autres ou par peur de rater.
Ton Why, c’est ton allié pour enfin sortir de ta routine et retrouver le goût de te lever le matin.
Alors, prêt à arrêter les faux-semblants et à te lancer pour de vrai ?
Parce que t’as le choix, et c’est maintenant que ça se joue.