C’est si bon un petit mensonge
T’en as pas marre de te raconter des salades ? De te planquer derrière tes excuses bidons, de te dire que ça ira mieux demain alors que t’as pas bougé d’un poil depuis des années ? « Je peux pas changer, c’est trop tard, j’ai tout essayé. » Si ça, c’est pas se mentir à soi-même, c’est quoi ?
La vérité, c’est que tant que tu refuses d’affronter ce qui se passe vraiment à l’intérieur, tu resteras là, dans ta petite routine merdique. Le vrai problème ? C’est pas le monde extérieur, c’est toi.
Le mensonge que tu te racontes en boucle. Maintenant, ose te poser la vraie question : Pourquoi tu restes bloqué là où t’es ?
Le mensonge confort
C’est la douce illusion à laquelle on s’accroche tous à un moment : Si je ne fais rien, ça va s’arranger. Comme par magie, la vie va finir par te faire un cadeau, tu seras enfin heureux, sans effort.
Sauf que ça, c’est du vent. Une excuse pour ne pas bouger, pour ne pas affronter la réalité. Ce mensonge, c’est ton pire ennemi. Il t’empêche de voir que la situation que tu supportes, c’est toi qui la crées, jour après jour, en refusant d’agir.
Regarde autour de toi, t’as vraiment envie de continuer comme ça ? Chaque jour où tu ne fais rien, tu renforces ta propre prison. Le problème n’est pas le manque de chance, pas les autres, pas la vie injuste.
Le problème, c’est ton refus de te demander : Pourquoi je reste ici ? Quand tu te mens à toi-même, tu choisis la facilité. Tu restes dans ton petit confort de merde, mais en vrai, tu te tires une balle dans le pied.
La fuite facile
Ah, celle-là est bonne : « Je n’ai pas besoin de me remettre en question, c’est les autres qui merdent. » C’est tellement plus simple de pointer du doigt ce qui ne va pas autour de toi plutôt que de te regarder dans le miroir.
On se dit que si la vie est pourrie, c’est à cause des circonstances, des autres, des événements qui nous tombent dessus. Ça te permet d’éviter le gros du boulot : admettre que t’es peut-être la source de tes propres névroses.
Soyons clairs : si tu refuses de te remettre en question, tu te condamnes à rester dans le même cercle vicieux. Continuer à te mentir en disant que t’y es pour rien, c’est refuser de changer quoi que ce soit dans ta vie.
Mais c’est là où le Why intervient : si tu sais vraiment pourquoi tu fais ce que tu fais, tu n’as plus besoin de chercher des excuses. Tu comprends que tout part de toi, et t’assumes tes choix. Ça pique, ouais, mais c’est le prix de la liberté.
L’excuse en or
Celle-ci, c’est la préférée de ceux qui aiment bien se plaindre sans jamais rien changer. « J’ai tout essayé, ça sert à rien. » Mais ce que t’as vraiment essayé, c’est de bricoler en surface, de tester des solutions bidons qui te laissent dans ta zone de confort.
En fait, tu t’es jamais attaqué à la racine du problème. T’as peut-être mis des pansements ici et là, mais t’as jamais osé descendre au fond du gouffre.
La vérité, c’est que si tu penses avoir « tout essayé », c’est que t’as surtout évité de creuser là où ça fait mal. T’as pas encore vraiment tenté la seule chose qui compte : découvrir ton Why.
C’est la seule solution que t’as pas explorée, celle qui demande d’aller chercher en profondeur ce qui te motive vraiment. Une fois que t’as mis la main sur ton Why, tu ne fais plus que bricoler ta vie, tu la redéfinis complètement.
Le grand mensonge
Voilà une excuse bien confortable : « Je suis comme ça, c’est trop tard pour moi. » C’est le mensonge parfait pour justifier l’inaction, pour se dire que t’as pas besoin de faire d’efforts, que changer, c’est pas pour toi.
En gros, tu te convaincs que ton passé, tes erreurs, tes échecs te définissent pour toujours. Ça te permet de te planquer derrière cette croyance et d’éviter de bouger.
La réalité, c’est que t’es pas figé dans le marbre. Tu n’es pas condamné à être celui que tu crois être. C’est la peur qui te pousse à croire que tu ne peux pas changer. Mais en fait, c’est pas vrai.
Ton potentiel est là, enfoui sous des couches de doutes et de fausses croyances. En découvrant ton Why, tu comprends que tu n’es pas défini par ton passé, mais par ce que tu décides de faire aujourd’hui.
C’est pas un manque de capacité qui te bloque, c’est ton manque de clarté sur pourquoi tu veux évoluer.
La peur du saut dans l’inconnu
C’est une peur que beaucoup partagent : « Si je change, je perds tout ce que j’ai. » On s’accroche à ce qu’on connaît, même si c’est pourri, parce que ça rassure. On préfère rester dans l’enfer qu’on maîtrise plutôt que de prendre le risque d’un avenir incertain.
Tu te dis que bouger, c’est perdre tes acquis, ta stabilité, ton confort. Mais en vrai, ce que t’as, c’est souvent une cage dorée. Tu penses que tu tiens quelque chose de solide, alors que tu te cramponnes à des illusions.
Ce que tu risques de perdre en changeant, c’est surtout ce qui te freine. Ta peur du changement, c’est ton manque de clarté sur ce qui te pousse à rester là où t’es.
Découvrir ton Why te permet de réaliser que la vraie perte, c’est de continuer à vivre une vie qui n’a plus de sens pour toi. Tu ne perds rien en changeant, tu gagnes tout. C’est pas ta stabilité que tu sacrifies, c’est ta médiocrité, ton manque d’alignement avec ce que tu veux vraiment.
Le changement, c’est pas la perte, c’est la libération. Tant que tu ignores ton Why, t’as pas de cap, t’es juste en train de dériver.
Mais une fois que tu sais pourquoi tu fais les choses, tu réalises que ce que tu croyais perdre, c’est rien comparé à ce que tu peux construire. La vie, c’est pas survivre, c’est avancer vers ce qui te fait vibrer.