Pourquoi attendre après quelqu’un d’autre que toi ?
Eh bien, camarade, tu sais quoi ? Tu passes ta vie à attendre. Tu attends le week-end, les vacances, le grand amour, une promotion au boulot…
Un futur hypothétique qui, paraît-il, va tout transformer, te rendre heureux, comblé, épanoui.
Et tu sais quoi ? Attache bien ta ceinture parce que je vais te balancer une vérité aussi brutale qu’un coup de poing : cela n’arrivera jamais si tu ne prends pas les rênes de ta vie.
Si tu ne te prends pas en main, tu sais ce qui t’attend ? Une vie banale, terne, fade, insignifiante. Ça te parle ?
Prenons l’exemple de René. René a mis toute sa vie entre les mains de sa femme. À chaque fois, il espérait qu’elle comble ses plaisirs, ses joies, ses satisfactions. Devine quoi ? Il était malheureux comme les pierres.
Parce qu’il n’a jamais compris que le bonheur est une affaire personnelle. Il n’a jamais compris que le bonheur, c’est toi qui le décide, c’est toi qui le construis.
Tu es le seule acteur de ton bonheur
Ah René, si tu savais à quel point c’est important de s’occuper de soi. Pas d’être égoïste, non, simplement de prendre sa vie en main.
C’est comme la météo, mon ami. Crois-tu que tu peux contrôler la météo ? La pluie, le soleil, le vent ? Non, parce que tu n’as aucun pouvoir dessus. Mais ta vie, oh la là, là, tu as tous les pouvoirs que tu veux dessus.
Alors, pourquoi est-ce que tu te comportes comme si elle t’échappait complètement ? Tu te laisses ballotter par les circonstances, les gens, les événements.
Tu subis plus que tu ne vis. Ce n’est pas une vie, ça. C’est une survie. Honnêtement, c’est ça que tu veux pour toi ? Survivre ? Ou vivre vraiment ?
Laisse-moi te dire un truc – et ça, c’est du solide. À force d’attendre que le bonheur tombe du ciel, tu finis par t’oublier. Tu finis par te perdre de vue. Tu ne sais plus qui tu es, ce que tu veux, ce qui te fait vibrer. Tu finis par oublier que, pour être vraiment heureux, il faut savoir se choisir, se respecter, s’aimer.
Cherche pas plus loin, c’est la clé du bonheur. Tout part de toi, tout revient à toi. Tu veux être heureux ? Regarde-toi dans le miroir. Souris-toi. Et pour une fois, vois en toi l’artisan de ton bonheur.
Alors oui, je suis coach, j’aide les gens à se développer, à grandir, à s’épanouir. Mais ce que je fais, c’est simplement les aider à trouver en eux les ressources qu’ils ont déjà. Parce que, finalement, c’est l’intérieur qui compte. C’est l’intérieur qui décide de la suite.
Alors, qu’est-ce que tu décides aujourd’hui, mon ami ? Ça te dit de passer le reste de ta vie à attendre un bonheur hypothétique ou tu aimerais peut-être prendre les commandes, une bonne fois pour toutes ? J’ai hâte d’entendre ta réponse.
D’une dépendance nocive à l’autonomie du choix
Tu vois tout ça pour dire quoi? Que tu as le droit de prendre en main ton bonheur. Que le transfert de cette responsabilité à quelqu’un d’autre, au temps, aux circonstances et j’en passe, assombrit ton existence. Tu perds la couleurs de ta vie. Et toi, tu veux une vie en technicolor, pas vrai?
Bon, regardons un peu le pourquoi-du-comment de cette situation. D’abord, ce choix que tu fais. Oui, oui, tu as bien entendu, tu fais le choix de laisser autrui, les circonstances, la société, prendre les commandes de ta vie.
Pourquoi? Parce que c’est plus facile, parce que c’est effrayant de rendre des comptes à soi-même, de se confronter à ses propres choix. Parce que cela signifie accepter la responsabilité de sa vie, de son bonheur. Bigre, quelle tâche audacieuse!
Et les conséquences? Comment expliquer cela autrement qu’en te disant que tu te mets en cage, tu t’enfermes dans un rôle de victime, d’impuissant. Est-ce que tu te rends compte que l’attente est un état passif?
En conclusion
Franchement, c’est pas envisageable de rester là, prostré dans les entrailles de ton inconfort. Quitte cette sombre demeure, sors de ta zone de confort et n’aie pas peur de te mettre en première ligne.
Va chercher le bonheur qui t’attend, lui qui est prêt à t’accueillir les bras ouverts. C’est toi qui as les clés en main, c’est toi qui tires les ficelles de ton spectacle, c’est ton histoire. Ne laisse personne la raconter à ta place.
C’est sûr que pour ça, il faut du courage, de l’audace, c’est un défi, un grand saut dans l’inconnu. Mais laisse-moi te dire une chose: ça en vaut la peine. Car le bonheur authentique, il se mérite.
Et quelle satisfaction de l’avoir conquis à la sueur de ton front, avec courage et détermination.
Alors mon vieux, arrête de te faire du mal et reprends les commandes. Crois moi, le jour où tu iras chercher ton bonheur, il te sourira en retour. Allez, en avant la musique!
L’oeil du coach
Arrête de tourner en rond, tu te fais du mal!
Tu sais quoi, camarade? Tu marches en cercles comme un hamster dans sa roue. Oui, exactement, tu t’épuises à attendre que les autres, un mystérieux « à venir », te crache ton bonheur à la figure. Retiens ça: à moins de t’ébrouer de cette attente suffocante, tu risques gros. Une vie pallide, insipide, sans saveur. Ça fait envie, hein?
Regarde José, mec imaginaire, toujours dans l’attente que sa compagne lui serve le bonheur sur un plateau d’argent. Résultat? Une tristesse à faire pâlir un clown. Pourquoi? Parce qu’il n’a pas pigé que le bonheur, tu te le fabriques toi-même, tu en es le seul forgeron.
Dépendance versus autonomie
Avec une autonomie, tu contrôles ton bonheur, et laisse-moi te dire un truc, ce contrôle n’a rien à voir avec la manie de vouloir régler la météo. Ni plus ni moins qu’arrêter de subir ta vie et enfin, enfin!, la vivre pleinement. Subir ou vivre? À toi de choisir.
L’autonomie, c’est pas jouer les divas. C’est simplement accepter que tes clés du bonheur, tu les as entre tes mains. Que l’attente est une forme de passivité. Si tu laisses les autres aux commandes, attention au crash!
C’est toi le boss
Tout ça pour te dire qu’il est grand temps de récupérer les clés et de démarrer ta voiture. Le bonheur est en toi, il te suffit d’appuyer sur l’accélérateur. Oui, c’est flippant et ça demande du courage.
Mais ça vaut le détour, crois-moi. Car ton bonheur, tu le mérites. Va le chercher, étreins-le. C’est à toi de jouer!