La mission de vie, les 3 étapes pour trouver ta voie dans ce monde

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Stéphane

T’as l’impression que ta vie est bien rodée, mais un truc te démange : ta mission de vie. On pense souvent que ça va nous tomber dessus comme une révélation divine, mais la vérité, c’est que ça se construit, brique par brique, en prenant des risques et en cherchant ton Why. Bouge-toi, arrête de flipper, et commence à construire ta vraie mission. Parce que rester immobile, c’est crever à petit feu.
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Trouver sa mission de vie, c’est magique ! Non, c’est du boulot.

On aime bien cette idée romantique, hein ? La mission de vie qui te tombe dessus comme une illumination, le truc qui te met des étoiles plein les yeux et te fait oublier tous tes soucis. Genre, tu fais quelques exercices, avec un bouquin, un programme en ligne, et paf ! Révélation.

La réalité, c’est pas ça. On s’imagine que c’est comme tomber amoureux, que tout devient clair d’un coup et que, hop, plus de doutes, plus de galères. Tu te réveilles un matin et BAM, tu sais exactement ce que tu dois faire de ta vie. Sauf que ça, c’est du bullshit total.

En vrai, trouver sa mission de vie, c’est un putain de chantier. C’est pas un éclair de génie, c’est des tonnes de décisions, d’ajustements et de moments où tu te dis : « Mais qu’est-ce que je fous là ? » T’as jamais rien qui arrive d’un coup.

Moi, je te le dis, je suis passé par là. Pendant des années, j’ai galéré dans des jobs sans âme, des petits boulots à droite à gauche, juste pour rester à flot. Si je m’étais accroché à l’idée d’un coup de génie, je serais encore en train de glander.

Tu veux la vérité ? Ta mission, tu la construis. Elle se dessine avec tes erreurs, tes échecs, et surtout ta persévérance. C’est pas un coup de chance.

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Se lancer, c’est risquer de tout perdre ? Mais rester, c’est crever à petit feu.

Y’a cette peur qui te paralyse : si tu bouges, tu risques de tout foutre en l’air. T’as construit ta vie, t’as un boulot, des responsabilités, peut-être une famille.

Alors t’imagines que chercher ta mission de vie, c’est la même chose que tout lâcher pour te retrouver à poil, avec zéro garantie de succès. Et ouais, la peur de l’inconnu, c’est humain.

Mais réveille-toi, camarade. C’est pas le changement qui te détruit, c’est l’immobilisme. À chaque jour où tu restes coincé dans ta routine morose, à ignorer cette envie de bouger, tu t’uses. Tu crois vraiment que c’est plus safe de rester là où t’es ? Faux ! Ne pas bouger, c’est reculer.

Moi aussi, j’avais peur de tout perdre. Quitter un boulot stable, Paris, c’était flippant. J’aurais pu me dire que c’était trop risqué de tout recommencer. Mais putain, en restant là, je perdais déjà ma vie petit à petit.

Le truc, c’est que bouger, c’est la seule manière de progresser. Se lancer, ça te pousse à sortir de ta zone de confort, à apprendre de nouveaux trucs.

Quand j’ai décidé de partir pour Marseille, j’avais zéro certitude, mais j’avais tout à gagner parce que rester, c’était lentement crever. Alors si tu penses que chercher ta mission, c’est tout foutre en l’air, détrompe-toi. C’est ne rien faire qui te coûte le plus cher.

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Se tromper, c’est pire que ne rien faire ? Eh bien, c’est faux.

On t’a bien lavé le cerveau avec cette idée que l’échec, c’est le pire truc qui puisse t’arriver. Alors, plutôt que de prendre des risques, tu préfères ne rien faire, rester bien au chaud dans ta zone de confort.

T’as peur que si tu te lances à la recherche de ta mission de vie, tu vas te planter, et que ce sera pire que tout. Spoiler alert : se tromper, c’est justement ce qui te fait avancer.

L’échec, c’est pas ton ennemi, c’est ton meilleur pote sur ce chemin. Crois-moi, j’ai bouffé des échecs à la pelle. À 22 ans, j’ai tenté de m’en sortir, je me suis planté, retour à la case départ chez ma mère. Rebelote à 27 ans. Mais devine quoi ? Chaque fois, ça m’a appris un truc, ça m’a forcé à repenser mes choix et à ajuster le tir.

Ta mission de vie, tu la découvres pas en marchant droit, mais en zigzaguant, en t’étalant de temps en temps et en te relevant avec de nouvelles idées.

La vraie erreur, c’est de croire que ne rien faire, c’est jouer la sécurité. Si tu restes dans ton coin, t’es sûr de ne rien changer, et ça, c’est un échec monumental.

Donc arrête de flipper à l’idée de te tromper, et bouge-toi. Parce que chaque plantage te rapproche un peu plus de ce que tu cherches vraiment.

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Ta mission de vie, c’est forcément lié à ton job ? Détrompe-toi.

T’as grandi avec cette idée bien ancrée que ta mission de vie doit forcément passer par ton boulot. T’as l’impression que si ton taf te fait pas vibrer, t’es en décalage total. Alors tu cherches désespérément une carrière qui colle à cette foutue mission, en te demandant si c’est ça ou tout recommencer à zéro.

Mais laisse-moi te dire un truc : ta mission de vie, elle peut être n’importe où, et pas forcément dans ton job. C’est pas parce que tu bosses pas dans une ONG, que tu loupes ta vie.

Regarde, quand ma fille est née, ma mission a pris une toute autre direction. C’était plus la même quête de sens à travers des lignes de code ou des créations de sites. Non, c’était ce lien avec elle, cette responsabilité de la guider, de l’aimer comme je n’avais jamais été aimé. C’était loin de mon taf, mais c’était ma vraie mission.

Le boulot, c’est un moyen, pas une fin. Ta mission peut être dans ta famille, dans un projet qui te passionne, dans un engagement qui fait sens pour toi.

Si tu cherches ta mission uniquement à travers ta carrière, tu passes à côté du tableau complet. La mission de vie, elle se joue aussi dans ces petites choses qui te remplissent de sens et te font avancer. Alors débranche cette idée reçue et commence à voir plus large.

Ton Why, la clé pour trouver ta mission de vie

Bon, on y est. Si tu veux vraiment découvrir ta mission de vie, il faut que tu commences par comprendre ton Why. C’est ton pourquoi, ton moteur, la raison profonde qui te pousse à agir, qui te donne envie de te lever le matin. Et crois-moi, sans ce Why, tu vas juste te cogner la tête contre les murs en essayant de trouver ta voie.

Le Why, c’est ce qui te connecte à toi-même, à tes valeurs, à ce qui compte vraiment pour toi. C’est ce qui te donne de la résilience quand tout part en vrille, quand t’as l’impression d’être dans une impasse.

Moi, c’est ce qui m’a maintenu à flot après mes infarctus et les galères avec ma fille. Mon Why, c’est cette envie profonde d’aider les gens à trouver leur sens, à ne pas se perdre comme j’ai failli le faire.

Trouver ton Why, c’est la première étape pour clarifier ta mission de vie. Tant que tu ne sais pas pourquoi tu fais ce que tu fais, tu tourneras en rond. Alors arrête de chercher des réponses à l’extérieur, et commence à creuser en toi.

Une fois que t’as ton Why, tout le reste, ta mission, tes objectifs, ça devient plus clair.

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