La dépendance, c’est pas qu’une question de drogue, d’alcool ou de jeux
Putain, camarade, t’as déjà eu l’impression d’être enchaîné à des habitudes ou des relations qui te bouffent de l’intérieur ?
T’es pas seul.
En France, plus de 2 millions de personnes sont touchées par des addictions, qu’elles soient liées à des substances ou à des comportements. Et ça, c’est sans compter tous ceux qui se voilent la face.
On va pas se mentir, la dépendance, c’est pas juste une histoire de drogue, ou d’alcool.
Ça peut être une relation toxique, un besoin maladif de validation, ou même une routine de merde qui te maintient la tête sous l’eau.
Dans cet article, on va défoncer ces croyances à coups de pied au cul, en s’appuyant sur des expériences bien réelles.
Prépare-toi à te prendre une claque, parce que la vérité, elle fait mal, mais elle libère.
La dépendance émotionnelle : cette foutue boucle infernale
On confond trop souvent amour et asservissement
Camarade, t’as peut-être déjà entendu cette connerie : « L’amour, c’est se donner à 100 % pour l’autre. »
Mais attends deux secondes, et toi dans l’histoire ?
Quand tu te mets à vivre uniquement à travers quelqu’un, t’es plus dans l’amour, t’es dans l’auto-sabotage.
C’est pas toi qui contrôle, c’est ta peur d’être seul qui te fout dans cette boucle infernale.
Se noyer pour ne pas être seul
Moi aussi, je suis passé par là. Quand t’as grandi en étant rabaissé, ignoré, ou mal aimé, comme je l’ai été avec une mère toxique et un père aux abonnés absents, t’as cette impression de devoir quémander l’amour pour exister.
Je me suis accroché à des gens, à des relations, juste pour me prouver que j’étais « suffisant« . Devine quoi ? Ça marche jamais.
Ce que tu ressens, ce n’est pas de l’amour.
C’est une dépendance, la dépendance affective, qui te fait bouffer ton estime de toi, jusqu’à te rendre invisible pour toi-même.
Tu te perds dans des sacrifices inutiles, et tu te réveilles vidé, sans même savoir qui tu es vraiment.
Tu veux avancer ? Commence par te regarder dans le miroir
La dépendance émotionnelle, c’est pas une fatalité. C’est une alarme, camarade. Elle te dit que t’as besoin de reconnecter avec toi-même avant de chercher quoi que ce soit chez les autres.
Pose-toi cette putain de question : qu’est-ce que je veux vraiment, pour moi, pas pour quelqu’un d’autre ?
Si tu veux briser cette chaîne, va falloir commencer par te choisir.
La dépendance à la validation sociale : courir après le vide
Se mettre en scène pour plaire, sérieux ?
Camarade, sois honnête : t’as déjà modifié une photo ou choisi tes mots avec soin juste pour récolter quelques putains de likes ou pour que les autres te disent « waouh, t’es génial » ?
Bienvenue dans le monde merveilleux de la validation sociale, où on se vend à petit prix juste pour exister dans les yeux des autres.
Mais est-ce que ça remplit vraiment ton vide intérieur ?
Spoiler : non.
L’esclavage moderne du « regard des autres »
Quand t’as passé des années à entendre que tu ne valais rien (crois-moi, j’ai donné), tu développes un réflexe à la con : chercher chez les autres ce que tu n’arrives pas à te donner.
C’était mon cas, camarade. Je cravachais comme un âne dans des boulots qui n’avaient aucun sens, juste pour que les autres disent « Bien joué, t’as réussi. »
Résultat ? Fatigue, frustration, et un trou béant au fond de moi.
Tu veux la vérité ?
Tant que tu cherches à te valider à travers le regard des autres, t’es foutu. Parce qu’ils ne seront jamais vraiment satisfaits. Et pire : toi non plus.
Arrête le show, choisis tes propres règles
La solution ?
C’est pas d’éteindre les réseaux ou de devenir un ermite. C’est d’arrêter de courir après une putain d’approbation que tu n’as pas besoin de mériter.
Rappelle-toi une chose :
Ta valeur, elle ne vient pas de l’avis des autres, elle vient de toi.
Alors, au lieu de poster pour les autres, vis pour toi. Tu verras, c’est bien plus gratifiant.
La dépendance comme échappatoire : fuir ses putains de peurs
T’es occupé ou t’es juste en train de fuir ?
Camarade, avoue : combien de fois t’as plongé tête baissée dans une activité, un projet, ou même un boulot que t’aimes pas, juste pour éviter de penser à ce qui te fout la trouille ?
C’est humain.
On préfère se noyer dans des tâches inutiles que de regarder en face ce qui nous ronge.
Mais cette stratégie, elle t’enferme encore plus.
Bosser dur, bidouiller, mais pour quoi au juste ?
Je te raconte : à 27 ans, j’étais coincé dans un quotidien de merde. Pas d’avenir, des dettes, des potes aussi paumés que moi. Je passais mes journées à bidouiller des ordis, à monter des réseaux qui servaient à rien.
En surface, j’étais « occupé« .
En réalité, je fuyais.
Je fuyais ma peur d’échouer, ma peur de ne jamais être à la hauteur. Et toi, camarade, t’es peut-être en train de faire pareil.
Affronter tes peurs, c’est le vrai boulot
Le problème, c’est que plus tu fuis, plus tes peurs prennent de la place.
Elles te poursuivent comme des ombres, te paralysent quand t’essayes de changer.
Alors, au lieu de te réfugier dans des « occupations de façade« , prends un moment pour te poser la bonne question : qu’est-ce que je suis en train d’éviter ?
Une fois que t’auras mis le doigt dessus, tu pourras commencer à avancer. Et ça, ça vaut tous les efforts du monde.
La dépendance aux faux besoins : courir après un mirage
Tu penses savoir ce que tu veux ? Sérieux ?
Camarade, on se raconte tous des conneries : « Je veux plus d’argent« , « Il me faut une meilleure bagnole« , ou encore « Je veux un job de rêve« .
Ces « besoins« , c’est souvent du vent.
Des trucs qu’on nous a fourrés dans le crâne. Et toi, tu fonces dedans en pensant que ça va combler le vide.
Mais pose-toi une minute : est-ce que ces objectifs, c’est vraiment ce que tu veux, ou juste ce qu’on t’a appris à vouloir ?
Quand j’ai couru après le succès pour la mauvaise raison
Je te partage un bout de ma vie : j’ai passé des années à bosser comme un dingue, enchaînant les missions d’informatique, juste pour gagner du fric et me prouver que j’étais « quelqu’un« .
Et quand j’ai enfin atteint un semblant de stabilité, j’étais toujours aussi paumé. Parce que ce que je voulais vraiment, c’était pas une carrière, c’était juste me sentir légitime, apprécié.
Et toi, ton besoin, il cache quoi au juste ?
Gratte sous la surface pour trouver ton vrai désir
Camarade, si tu veux arrêter de te bousiller à courir après des faux besoins, commence par te poser une simple question :
Qu’est-ce que j’espère vraiment ressentir si j’atteins cet objectif ?
La réponse, elle va pas être belle à voir au début, mais elle te rapprochera de ce qui compte vraiment.
Et devine quoi ?
Ça t’évitera de gaspiller des années à poursuivre des mirages.
T’es prêt à reprendre les commandes ?
Camarade, on a déballé pas mal de trucs là.
T’as vu que la dépendance, c’est pas juste une histoire de substances ou d’habitudes.
C’est aussi ces foutus schémas dans lesquels tu t’enfermes, ces faux besoins qui te bouffent, ou ce regard des autres qui te pilote comme une marionnette.
Et pire encore, c’est cette peur, ce manque de clarté, qui t’empêchent d’avancer. Mais laisse-moi te dire un truc : rien de tout ça n’est une fatalité.
La vérité, c’est que pour te libérer, il va falloir creuser, et pas juste gratter la surface.
T’as tout ce qu’il faut en toi pour exploser ces chaînes, mais ça demande de poser les bonnes questions, d’affronter ce que tu fuis, et surtout de te recentrer sur ce qui compte vraiment.
Ce que tu dois retenir
- La dépendance émotionnelle, c’est pas de l’amour. C’est te sacrifier pour rien.
- Courir après la validation sociale, c’est jouer un rôle qui te vide.
- Tes « occupations » de façade ? Une excuse pour pas regarder tes vraies peurs.
- Les faux besoins, ça te fait perdre du temps. Va chercher ce que tu veux vraiment.
- Pour te fixer un cap à toi, bien à toi, découvre comment trouver ton Pourquoi
Alors, c’est toi qui vois :
Tu veux continuer à tourner en rond ou tu veux reprendre ta vie en main ? Et plutôt qu’être dans la dépendance, essaie donc l’interdépendance, tu verras, c’est vachement plus mieux.
Fais ton choix, camarade. Moi, je sais déjà ce que tu mérites.