Salut camarade, faisons tomber quelques clichés !
Ah, cette petite phrase, « ce qui ne te tue pas te rend plus fort », tu l’as certainement déjà entendue. C’est bien plus qu’un vieux proverbe éculé, ça.
C’est une déclaration péremptoire, presque définitive, et j’ose affirmer que c’est aussi un sacré piège psychologique !
Quand tu te prends un coup dur dans la vie – une rupture amoureuse, un licenciement, une maladie – tu te dis souvent que puisque cela ne t’a pas achevé, tu dois en sortir plus fort.
Le malheur serait une marée noire qui, d’un coup, transformerait ton âme en acier trempé. Mon œil !
Prenons Bernard, un de mes clients, viré de son job après vingt ans de loyaux services. Tomber de son piédestal, ça l’a plombé. Il se morfondait chez lui, persuadé qu’il serait maintenant une meilleure version de lui-même après cette mue forcée.
C’est logique après tout, non ? Je te le dis tout de go : c’est du flan. L’épreuve ne fait pas systématiquement de toi un magnifique papillon coloré qui sort de sa chrysalide. Va falloir te bouger pour que la transformation se fasse.
Se hisser plus haut, ça se travaille, mon ami!
Ne crois pas que je suis en train de te dire que rien ne sert de te prendre en main, au contraire. Je veux juste que tu ouvres les yeux sur une vérité que beaucoup occultent : les épreuves ne nous rendent pas automatiquement plus forts.
Parfois, elles nous fragilisent, nous blessent, nous rendent plus vulnérables. Si on n’y prend garde, elles peuvent même nous mettre K.O.
Le secret, c’est de savoir gérer cette phase de turbulence, cette tempête intérieure. Faut que tu apprennes à surfer sur la vague, à ne pas te laisser submerger par les flots dévastateurs de la douleur et du désespoir. C’est là que tu pourras rebondir, te reconstruire, et surtout apprendre.
Bernard, ce brave Bernard, il a fini par s’en sortir. Pas parce que son licenciement l’a rendu plus fort, mais parce qu’il s’est bougé. Il a repris son destin en main, s’est repris en main, a mis le nez dans le guidon, et s’est reconstruit petit à petit.
Mais il a d’abord dû admettre que cette épreuve l’avait mis à terre. Que ça avait été sauvagement dur. Et que c’est en acceptant cette vulnérabilité, qu’il a pu commencer à se reconstruire.
Envie de redevenir le maître de ta vie, comme Bernard? J’ai justement développé un programme qui pourrait t’aider à y parvenir.
Alors, mon ami, avant de te servir du réchauffé en te laissant bercer par l’idée que ce qui ne te tue pas te rend plus fort, n’oublie jamais cette vérité : c’est à toi de prendre le contrôle. De faire ce travail de reconquête. De te hisser à nouveau sur la crête de la vague. Regarde Bernard, c’est possible.
Allez, ose, bouge-toi, et affronte tes épreuves ! Elles ne te rendront pas forcément plus fort, mais si tu t’y mets sérieusement, elles te permettront d’apprendre, de grandir, d’évoluer. Et ça, mon ami, c’est bien plus précieux.
La clé de la transformation ? L’acceptation et l’action
T’as vu comment Bernard s’est remis en selle ? Son pétage de plomb n’était pas dû à son licenciement mais à sa non-acceptation de l’événement.
Il se répétait sans cesse, « ce qui ne te tue pas te rend plus fort », sans vraiment comprendre l’essence de cette phrase. Il attendait un changement miraculeux, une transformation soudaine en super-héros.
La grande faute, c’est de penser qu’il te suffit d’attendre que l’orage passe pour sortir plus fort. Bernard te dirait, « mon cul, oui ! »
C’est en acceptant les épreuves et en faisant face à la situation, en se confrontant à la dure réalité, qu’on peut espérer un changement favorable. C’est dans cette acceptation de la merde qu’on peut se dire qu’il est temps de bouger, rebondir et se relever.
On tombe, on se relève. Les coups durs sont là pour nous faire comprendre qu’on peut aller de l’avant, mais seulement si on accepte de se bouger les fesses!
Alors, que faire? Que choisir?
Comme je te l’ai dit, t’as le choix : soit tu restes là à chialer, soit tu te secoues et tu décides de prendre les choses en main.
En face des épreuves, fais-toi violence et roule des mécaniques ! Fais un pied de nez à la vie et montre lui que même si on t’a mis à terre, tu es capable de te relever plus fort que jamais.
Mais attention, devenir plus fort, ça ne signifie pas forger une carapace pour devenir insensible. Non, c’est plutôt d’accepter ces fragilités qui te rendent humain, pour avancer et faire face à la tempête.
C’est ça, le véritable combat. C’est d’accepter que parfois, on a le droit de se sentir faible, on a le droit de déprimer, mais on n’a pas le droit de lâcher l’affaire. Non, ça jamais.
L’après-coup dur : la reconquête
L’après-coup dur, c’est le moment de la reconquête. C’est là que tu dois reprendre les rênes de ta vie. Pas la peine de t’emballer et de vouloir tout faire d’un coup. Non, il faut y aller pas à pas.
Comme Bernard, faut que tu fasses preuve de patience, de résilience et de persévérance. C’est un travail de longue haleine, mais le jeu en vaut la chandelle.
Réfléchis à ce qui te motive, ce qui te fait vibrer, ce qui te pousse à te lever chaque matin. C’est ça qui va t’aider à avancer et à te reconstruire.
Et surtout, ne néglige pas l’importance de l’entourage. Pour te relever, t’auras besoin de soutien, de ce coup de main qui te guidera dans ton cheminement. Parfois, on a besoin d’un regard extérieur, d’une voix qui nous booste.
Essuie la merde de tes pompes et commence ton parcours. Et si t’as besoin d’un coup de pouce, jette un œil à mon magazine ou check mon programme d’accompagnement.
En conclusion
Ne t’assieds pas sur tes problèmes, mais mets-les face à toi, confronte-les. Accepte les merdes qui arrivent et transforme-les en opportunités pour évoluer. Bouge-toi le cul pour surmonter les épreuves et rebondir.
La clé ne réside pas dans la catastrophe ou le bonheur, mais dans la manière de réagir à ces situations.
Comprends que ça ne dépend que de toi et que toi seul peux décider de ta transformation. Arrête de t’apitoyer et de te plaindre, sinon tu resteras planté là, comme un piquet.
Pour sortir de la mouise, tu dois accepter et agir. Tu dois accepter ce qui t’arrive et agir en conséquence pour améliorer ta situation. Et ensuite, que ce soit tôt ou tard, les choses finiront par se mettre en place et tu pourras dire « ouf ! ».
Alors arrête de chercher des excuses et prends le taureau par les cornes, mon pote! C’est le moment de montrer qui est le patron ici ! C’est le moment de montrer à quoi tu sers et ce dont tu es capable.
Donc, stop aux jérémiades et let’s go ! Bouge-toi, réveille-toi, lève-toi et marche!
L’oeil du coach
Salut l’ami! Qui a dit que « ce qui ne te tue pas te rend plus fort »? Ton vieux tonton alcoolique? Ou peut-être Édith Piaf dans un de ses tubes? Hum, Je pense qu’on t’aurait menti. Si tu crois qu’une bonne déculottée t’apportera des super-pouvoirs, reste donc assis dans ton canapé et fais-toi plaquer encore et encore.
Regarde Bernard, mon client. Après 20 ans de loyauté envers son entreprise, il a été balancé comme une vieille chaussette par son boss. Bernard rêvait d’acquérir une armure en acier après ce choc, mais il a à peine réussi à sortir de son lit pendant des semaines. Alors, gonfle-toi d’échecs comme Bernard et attend que la magie opère. Ou pas.
Rassure-toi, si tu préfères schleu-mouiller dans la douleur et jouer les huitres, c’est ton choix. Mais ne crois pas que la vie va venir te déposer un petit panier de muscle et de résilience sous ton oreiller pendant ton sommeil post-pétage de plomb. Réfléchis-y, mais pas trop longtemps hein, le temps file!
Alors, oui, mon ami, c’est à toi de jouer, de grimper. Pas uniquement parce que Bernard a finalement réussi à se bouger les fesses pour reprendre les rênes de sa vie, mais surtout parce que tu as ce pouvoir en toi.
Bouge-toi, affronte l’adversité, apprends et grandis. Ce n’est pas de la sorcellerie, mais du simple bon sens.
En gros, arrête de sombrer dans le cliché qui dit que la souffrance te rend plus fort. Faut être un peu déjanté pour y croire.
Si tu penses qu’un super pouvoir va te tomber dessus en frôlant l’échec, attends encore un peu et tu seras probablement transformé en grenouille. Et si l’idée de coasser te plaît, amuse-toi bien.
Et même si tu penses que c’est une montagne à grimper, crois en l’opportunité unique de devenir le boss. Alors, arrête de râler et accepte d’évoluer, d’apprendre, de transformer la merde en or.
À toi de jouer, mon pote! C’est ton moment, montre à la vie qui est le patron! Energise-toi, prends un café, fais quelques pompes, et va-y fonce! Sers-toi de ce feu qui brûle en toi pour surpasser les obstacles. Allez, let’s go!
