Catégorie : Le coach
Tu veux un coach ? Très bien. Mais pas n’importe lequel. Ici, on démonte les postures bullshit, les gourous déguisés, les coachs marketés qui t’écoutent pas, et les “gentils” manipulateurs. Objectif : que tu choisisses un vrai accompagnant. Pas un clown avec une offre à 1997€.

Coach certifié du syndrome du sauveur
La certification en coaching, c’est aussi un business. Beaucoup s’y lancent pour “sauver les autres” après avoir échoué eux-mêmes. Mais un coach, c’est pas un sauveur. C’est pas un gourou. C’est quelqu’un de solide, aligné, qui te rend libre. Pas quelqu’un qui cherche à exister à travers toi.

Ce que tu attends d’un coach
Tu crois qu’un coach va te rassurer, te guider, t’éviter de te planter. Tu fais fausse route. Un vrai coach ne t’offre pas des réponses : il te confronte, t’aide à choisir, à agir, à te transformer. Il n’est pas là pour te border mais pour t’éveiller. Moins doux, mais infiniment plus utile.

Le coach-guide
Le coach-guide t’impressionne avec ses certitudes. Il te dit quoi faire, quoi choisir, comme s’il détenait ta vérité. Mais il t’écoute jamais. Et toi, tu finis par douter de toi, par le suivre… au lieu de te retrouver. Un vrai coach te confronte, t’aide à décider, mais ne dirige jamais ta vie à ta place.

Le coach spirituel
Le coach “lumineux” te parle de vibration, d’alignement, de clarté… mais t’écoute jamais. Il croit savoir pour toi, t’interprète à chaque phrase, et t’éloigne de ton pouvoir. Derrière sa posture sacrée, c’est souvent un ego bien planqué. Un vrai coach t’accompagne. Il t’impose rien. Il doute, lui.

15 mauvaises raisons de devenir coach aujourd’hui
Devenir coach pour fuir son bordel, chercher l’amour ou vendre son lifestyle ? Mauvaise idée. Le coaching, c’est pas un plan B. C’est pas une vitrine. C’est un engagement réel, profond, exigeant. Avant de vouloir guider les autres, assure-toi de pas les entraîner dans ton propre chaos non digéré.

Le coach émotionnel
Certains coachs pleurent en story pour vendre. Ils exposent leurs traumas non digérés, créent un lien émotionnel… mais ne t’accompagnent pas. Un vrai coach partage quand c’est intégré, pas pour manipuler. Il ne te touche pas pour vendre. Il t’écoute pour transformer. Nuance cruciale.

Le coach hors de prix
Un coach hors de prix t’impressionne, mais t’aide pas forcément. Tu crois payer pour des compétences, tu finances surtout son image. Un bon coach, c’est pas celui qui coûte le plus. C’est celui qui t’écoute, te confronte et t’aide à te transformer pour de vrai. Pas à briller sur Instagram.

Le coach « C’est pas de ta faute »
“C’est pas de ta faute”, c’est doux, mais c’est le piège préféré des faux coachs. Ça te rassure, mais ça t’enlève tout pouvoir. Un vrai coach ne te victimise pas, il te ramène à ta responsabilité, à ta capacité d’agir. Pas pour te juger, mais pour t’aider à retrouver ta liberté. Et avancer.

Le coach voyant
Certains coachs te lisent comme un feed Insta : un post un peu fragile, trois questions en DM, et paf, une offre à 1997€. Mais ils n’écoutent pas ton rythme, ni ton vrai besoin. Un vrai coach ne t’analyse pas, il t’accueille. Il ne te pousse pas, il t’accompagne. Et ça change tout.

Ton coach ne t’ecoute pas ?
Certains coachs monopolisent la parole comme des influenceurs. Ils postent, ils parlent, ils brillent… mais t’écoutent jamais. Résultat : tu sors d’une séance vidé, pas transformé. Un vrai coach, lui, sait se taire. Il t’écoute pour de vrai. Et c’est là, dans ce silence, que tout commence.

3 excuses bidons pour ne pas te coacher
Certains coachs refusent de t’accompagner “tant que t’es pas prêt”. En vrai ? Ils flippent de ton chaos. Parce que bosser avec quelqu’un qui doute, qui résiste, ça demande du courage et du savoir-faire. Spoiler : ils l’ont pas. Un vrai coach, lui, t’écoute. Même quand t’as rien à dire.

Le life style du coach
Certains coachs te vendent leur vie de rêve : van, matcha, sunset et “alignement”. Mais une fois payé, tu te retrouves seul avec du vide déguisé en inspiration. Ce que tu veux, c’est pas leur décor. C’est un coach qui t’aide à te comprendre, à décider, à bouger. Pas à liker sa putain de story.

Les 4 pièges du coach qui t’impose sa vision
Certains coachs imposent leur vérité comme si c’était parole divine. Tu te tais, t’exécutes… et tu crois avancer. Mais ce que tu vis, c’est une relation toxique où tu perds ton pouvoir. Ce n’est pas du coaching, c’est une prise de contrôle. Un bon coach te rend libre. Pas soumis.

Faut-il être cynique, sarcastique ou avoir de l’humour noir pour être un bon coach ?
Je suis pas sarcastique pour faire le malin. Je l’suis parce que ça aide à faire péter tes excuses, à te réveiller, à te remettre en mouvement. Pas pour te juger, mais pour t’éviter de te noyer dans le bullshit. Mon taf, c’est pas de te border. C’est de t’aider à te relever. Brut. Vrai. Efficace.

Le coach qui te brosse dans le sens du poil
Sur les réseaux, certains coachs te flattent, te valident, te rassurent… pas par empathie, mais pour te convertir. Ce n’est pas du coaching, c’est du marketing. Ils évitent la confrontation, fuient la responsabilité et vendent du réconfort calibré. Un vrai coach, lui, te respecte assez pour te dire ce que tu veux pas entendre.

Le coach des réseaux sociaux
Le coach des réseaux parle beaucoup, t’écoute peu, et prétend te connaître sans te rencontrer. Quand ça marche pas ? C’est ta faute. Cet article démonte cette posture omnisciente toxique et rappelle qu’un vrai coach écoute d’abord, doute souvent, et construit avec toi, pas à ta place.

Le coach star
Certains coachs brillent en séminaire mais fuient le face-à-face. Pourquoi ? Parce que coacher vraiment, c’est inconfortable. Cet article démonte les coachs “stars” qui fuient le one-to-one, et t’explique comment repérer ceux qui préfèrent briller plutôt que t’aider à transformer ta vie en profondeur.

Pourquoi tu espères tant trouver un sauveur
Tu dis vouloir un coach, mais t’espères secrètement un sauveur. Quelqu’un qui évite la douleur, la responsabilité, les vrais choix. Mauvaise nouvelle : y’a que toi qui peux te sortir de là. Sauver tes miches, c’est ton taf. Et un vrai coach ? Il t’aide à te relever, pas à fuir la réalité.

Ton coach, ce sauveur, ou pas
Derrière la douceur du coach sauveur se cache un piège : te maintenir dépendant. Il te couve, te parle de lui, s’accroche à ton mal-être. On t’explique comment le repérer, pourquoi c’est toxique, et pourquoi t’as pas besoin d’un sauveur, mais d’un coach qui t’aide à te relever, pas à t’endormir.

Le coach, ses outils… et ton envie d’être sauvé·e
Un bon coach ne te sauve pas. Il t’écoute, te confronte, t’invite à avancer. Les outils ? Accessoires. Ce qui compte, c’est la relation, le face-à-face avec toi. Ce que tu veux, ce n’est pas une méthode. C’est un espace où tu peux te regarder en face, sans fard, sans fuites.