L’égalité homme-femme ? Mal posée. On parle d’égalité mais on oublie que les règles sont pipées dès le départ. Les différences physiologiques n’excusent rien. Ce qu’il faut, c’est pas copier les hommes, c’est accéder aux mêmes chances. Et pour ça, faut parler d’équité, pas de symétrie.
Tu veux respecter les femmes ? Commence par te taire et écouter. Le sexisme, c’est pas toujours flagrant. Parfois, c’est un compliment moisi. Parfois, c’est ton égo qui surchauffe face à une féministe en colère. T’as pas à plaire. T’as à comprendre, à corriger, à désapprendre. C’est ça, être un homme.
Elles veulent prouver qu’elles sont à la hauteur. Tout le temps. Partout. Résultat ? Elles s’usent, se vident, s’oublient. Et si le patriarcat les a bien dressées, c’est aujourd’hui leur propre voix qui les pousse à l’extrême. Et si on arrêtait de devoir mériter sa valeur ?
Tu veux comprendre comment parler à une féministe radicale sans te faire découper en deux phrases ? Voici le lexique parfait : “allié”, “patriarcat”, “safe space”, “mansplaining”, “sororité”… Derrière ces mots : du sens, parfois. Mais surtout, une arme sémantique qui exclut plus qu’elle n’inclut.
Le sexisme bienveillant, c’est pas une galanterie inoffensive. C’est une manière douce de te faire comprendre que tu restes à ta place. Derrière le compliment se cache une infantilisation. Et si tu veux l’égalité, commence par refuser qu’on t’enferme dans un rôle mignon mais limitant.
Le sexisme ordinaire, c’est pas une insulte. C’est une habitude. Une “blague”, un commentaire, une remarque en passant. Rien de violent, mais tout est là : dans la répétition, dans la banalisation, dans l’usure qu’on inflige aux femmes chaque jour. Et si tu veux vraiment l’égalité, commence par écouter. Et changer.
“Tu l’as dit, je le sais !” – Et voilà, la scène de ménage est lancée. Mais si ce n’était pas une question de vérité, mais de perception ? Si le vrai sujet, c’était la blessure derrière la phrase mal entendue ? Vouloir avoir raison, c’est facile. Réparer la relation, c’est plus courageux. Et ça, c’est ton vrai job.
Hurler sur une femme, lever la main, imposer la peur ? T’appelles ça être un homme ? C’est pas de la force, c’est du néant en robe virile. Le masculinisme te vend un mirage de puissance. La vraie force, c’est de te maîtriser. D’agir sans dominer. D’exister sans écraser. Sois un homme. Pas un prédateur.
Sur les réseaux, tu remets en question une féministe radicale ? T’es signalé, bloqué, effacé. Pas de débat, pas de nuance. C’est pas de l’égalité, c’est du contrôle. Et si ton combat consiste à faire taire ceux qui ne pensent pas comme toi, alors tu ne défends pas la justice. Tu imposes ta loi.
Certains mecs se disent féministes… surtout derrière un écran. Engagés en story, absents dans la rue. Le féminisme, ça se vit, ça s’incarne, ça se prouve. Un post ne suffit pas. Et ceux qui agissent pour de vrai ? Ils parlent peu, mais ils changent les choses. Et putain, on a besoin d’eux.
Tous les hommes ne sont pas des agresseurs. Je ne nie rien. Je défends, je protège, je me lève. Mais je refuse l’amalgame, la suspicion par défaut, le silence imposé au nom de la colère. Je suis un homme. Libre. Intègre. Et je veux qu’on avance ensemble, sans confondre genre et culpabilité.
Tu critiques les meufs sur MYM ? Vraiment ? Le problème, c’est pas leur cul. C’est ta tête. Elles vendent leur image, assument leur liberté, et ça te met en vrac. Pourquoi ? Parce qu’elles échappent à ton regard, à ton pouvoir. Le plus indécent ici, c’est pas elles. C’est ta haine.
Le masculinisme explose partout, porté par des figures toxiques et des discours simplistes. Dans cet article coup de poing, on démonte cette idéologie dangereuse et on parle vrai : qu’est-ce qui pousse autant d’hommes à basculer ? Pourquoi ça attire autant ? Et surtout, comment s’en sortir.
Explorons le machisme, cette attitude exacerbée de supériorité masculine qui teinte les comportements et la société, souvent cachée derrière le voile de la virilité excessive. De la France à l’Amérique Latine, le terme macho résonne avec une connotation péjorative, désignant un homme qui affirme sa domination de manière inflexible. Dans cet article, on va modifier ton regard sur l’encyclopédie du machisme, s’attardant sur son origine, son rôle social et son impact sur les rapports hommes-femmes. Tu vas voir, ça va secouer les stéréotypes!
Alors mon gars, si t’es là, c’est que t’as du mal à piger ce que c’est qu’être un homme aujourd’hui, hein ? Arrête de t’accrocher à tes vieilles images de chasseur viril et de femme au foyer. La masculinité aujourd’hui, c’est comme la météo : ça change tout le temps. Un jour c’est les gros muscles, le lendemain c’est les grands sentiments. Faut être un guerrier zen qui change les couches et qui pleure devant Titanic. Mais arrête de te prendre la tête avec ça et sois-toi-même, mec.
Découvrez les 7 signes clés de la misogynie et apprenez comment lutter contre ce fléau sociétal. Un guide pour construire une société plus équitable et respectueuse