Le biais de confirmation : pourquoi tu crois toujours ce qui t’arrange

Ton cerveau te joue des tours, mon pote. Le biais de confirmation te pousse à croire ce qui t’arrange, quitte à te planter dans tes décisions. Découvre pourquoi tu es coincé dans tes certitudes et apprends à briser ce cercle vicieux pour enfin avancer dans ta vie avec clarté.
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Le biais de confirmation : ton cerveau te joue des tours, mon pote !

Putain, t’as déjà remarqué comment ton cerveau te fait voir ce que tu veux bien voir, et rien d’autre ?

C’est ce qu’on appelle le biais de confirmation, cette saloperie qui te pousse à privilégier les infos qui confirment tes croyances, et à zapper celles qui les contredisent.

Une étude a même montré que 60 % des chercheurs en ont bavé à cause de ce biais dans leur taf.

Une tendance bien ancrée

Ce biais cognitif, c’est comme un filtre déformant qui te fait interpréter les infos de manière à conforter tes idées préconçues.

Résultat : tu restes coincé dans tes certitudes, sans jamais remettre en question tes opinions.

Pourquoi c’est un problème ?

Le biais de confirmation peut te mener droit dans le mur, en te faisant prendre des décisions basées sur des infos biaisées.

Que ce soit dans ta vie perso ou pro, il peut te faire rater des opportunités ou te conduire à des erreurs de jugement.

Ce qu’on va faire

Dans les prochains points, on va défoncer ce biais de confirmation, en te montrant comment il te manipule et comment tu peux lui botter le cul pour enfin penser par toi-même.

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Ton cerveau filtre tout : bienvenue dans ta bulle cognitive

Pourquoi tu crois ce que tu crois

Allez, soyons clairs : ton cerveau, c’est une crème d’andouille. Il adore te la jouer facile, et pour ça, il trie les infos comme un vigile bourré à l’entrée d’une boîte de nuit.

Si ça te plaît, ça passe. Sinon, dehors.

Ce processus s’appelle le biais de confirmation, et il t’enferme dans une bulle où tu te confortes à écouter toujours la même chanson : tes croyances.

Les 3 étapes de l’enfermement

  1. Tu sélectionnes tes preuves : Quand tu cherches des infos, tu privilégies celles qui te donnent raison. Exemple : “Je suis mauvais en tout.” Tu ne vois que tes échecs et jamais tes réussites.
  2. Tu interprètes à ta sauce : Même quand une info pourrait te contredire, tu trouves un moyen de la tordre pour qu’elle confirme tes idées.
  3. Tu te rassures dans ta zone de confort : Ce biais, c’est ton cerveau qui dit : “Reste là où tu es, mon pote, c’est moins risqué.”

Ton expérience prouve tout ça

Quand j’étais au fond du trou, chez ma mère, noyé dans mes dettes, je ne voyais que des preuves que ma vie était fichue.

J’avais les œillères bien vissées. “Encore un job de merde ? Normal, c’est tout ce que je mérite !” Mais cette vision, c’était du bidon.

Mon cerveau m’empêchait de voir autre chose, comme mes capacités en informatique qui dormaient sous la surface.

Et toi, mon pote, tu veux rester coincé ?

Pose-toi cette question :

est-ce que tu veux continuer à te raconter des conneries qui te bloquent ?

Si la réponse est non, alors commence par reconnaître que ton cerveau te manipule.

Tu n’as pas à rester enfermé dans cette bulle de croyances, sauf si t’aimes marcher à côté de tes pompes.

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Tes croyances te mènent droit dans le mur

Quand tes certitudes t’étranglent

Imagine que tu conduis avec un GPS qui bugge et te fait tourner en rond. C’est exactement ce que font tes croyances limitantes quand tu laisses le biais de confirmation prendre le volant.

Elles te disent : “Va par là, c’est safe.” Mais en vrai, elles t’enferment dans des schémas foireux où tu finis toujours par te planter.

Trois exemples qui te parleront

  1. Au boulot : T’as l’impression que ton boss ne te fait jamais confiance ? Alors tu cherches chaque petit détail qui le prouve : un regard, une remarque. Et tu passes à côté de ses compliments.
  2. Dans tes relations : Tu penses que les autres ne t’aiment pas vraiment ? Résultat, tu ne vois que les silences gênants et tu ignores les vrais gestes de soutien.
  3. Dans ta vie perso : “Je suis nul, je n’y arriverai jamais.” Cette phrase tourne en boucle dans ta tête et chaque galère devient une confirmation de cette foutue croyance.

Mon expérience : quand j’ai failli tout lâcher

Quand j’ai raté ma première tentative de m’en sortir, je suis retourné chez ma mère, la tête dans le seau. Je me disais : “Je savais que je n’avais aucune chance.”

Mais ce que je ne voyais pas, c’est que j’avais appris à monter un réseau informatique, à bricoler des systèmes. Ces petits pas, je les ignorais complètement.

Je ne voyais que mes échecs parce que mon cerveau les mettait en avant, comme pour me conforter dans ma déprime.

Comment sortir de ce cercle vicieux ?

Arrête-toi et regarde autrement. La clé, c’est de remettre en question ce GPS interne qui te guide vers l’échec.

Demande-toi :

Et si je voyais autre chose ?

Et surtout, arrête de chercher des excuses pour ne pas avancer. Parce que franchement, t’aimes vraiment te foutre la tête dans le cul ou quoi ?

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Démolis tes certitudes et avance enfin

Et si tu avais tort ?

Allez, mon pote, soyons honnêtes : et si toutes ces certitudes qui t’empêchent d’avancer étaient de la foutaise ?

T’as jamais pensé que tu pouvais te planter ? Remettre en question ses croyances, c’est flippant, mais c’est aussi la première étape pour se libérer du biais de confirmation et arrêter de tourner en rond comme une tête de nœud.

3 étapes pour sortir de ta bulle

  1. Pose-toi la question qui tue : “Et si j’avais tort ?” Rien que cette pensée, ça ouvre un putain d’horizon.
  2. Cherche des infos qui te contredisent : Ça pique, mais c’est efficace. Par exemple, regarde tes réussites, même petites. T’as pas tout foiré, si ?
  3. Prends une action inverse : Agis à contre-courant de ce que tes certitudes te dictent. T’as peur d’échouer ? Fonce. Ça te mettra une baffe, mais au moins, tu bougeras.

Ma claque personnelle

Quand j’ai décidé de me barrer de chez ma mère pour la deuxième fois, j’avais une trouille bleue.

Tout en moi hurlait :

Tu vas échouer encore, reste là.

Mais j’ai dit fuck à cette voix. J’ai pris un taf d’intérimaire dans l’informatique, sans certitudes, sans filet.

Et tu sais quoi ? Ça a marché. Parce que j’ai osé faire un pas que mes croyances me disaient impossible.

Laisse tes vieilles idées crever

Tes certitudes, c’est comme des vieilles chaussures trouées. Ça te rassure de les garder, mais elles te niquent les pieds.

Jette-les à la poubelle et avance pieds nus, même si ça fait mal au début. Parce qu’à force, t’apprendras à marcher sans te faire marcher dessus par tes propres idées de merde.

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