Les besoins fondamentaux, ou l’arnaque de tes croyances
Allez, soyons clairs dès le départ, putain. Les « besoins fondamentaux« , tout le monde croit comprendre de quoi il s’agit, et pourtant, c’est bien souvent du vent.
T’as sûrement entendu parler de cette fameuse pyramide de Maslow et de ses besoins en escalier.
Tu te dis sûrement : « Si j’ai assez de sécurité et de reconnaissance, j’atteindrai le sommet, l’accomplissement. »
Mais qu’est-ce que tu te goures !
C’est pas une foutue pyramide qui va te dire ce qu’il te manque vraiment.
En réalité, tout le bordel dans lequel on se trouve, c’est souvent un manque de clarté sur ce qu’on veut au fond de soi.
Entre les attentes de la société, les traumas planqués, et nos propres besoins de validation, on finit par se perdre dans une belle illusion.
Crois-moi, j’ai fait le chemin, je me suis cogné contre tous les murs possibles, et c’est pas Maslow qui m’a sorti de là.
Ici, je vais te démonter ces mythes un par un et te montrer où se trouve la vérité qui t’échappe.
La pyramide de maslow, une belle foutaise
On va pas se mentir, la pyramide de Maslow, ça fait joli sur le papier.
Elle promet une belle petite progression : combler ses besoins physiques, puis se sécuriser, s’entourer, se faire aimer, et enfin s’accomplir.
Du coup, tu penses qu’en empilant tout ça, tu vas forcément atteindre le sommet du bonheur ?
Eh bien, c’est là que tu te fourres le doigt dans l’œil jusqu’au coude, mon pote.
La vie, c’est pas un foutu empilage de blocs
En vrai, la vie, c’est un bordel chaotique où t’es constamment en train de jongler entre des besoins contradictoires, sans jamais vraiment savoir où tu en es.
Et ça, je l’ai appris à la dure.
Quand tu passes ta jeunesse à courir après un semblant de sécurité, puis un semblant de reconnaissance, tout ça dans une tempête permanente, la pyramide devient juste un joli gribouillis de théoricien.
En réalité, on est tous un peu comme des funambules qui cherchent leur équilibre sans filet, sans ordre, et sans putain de pyramide pour nous guider.
Alors, est-ce que ça vaut vraiment le coup de suivre aveuglément cette foutue pyramide ?
La vérité, c’est que tant que tu restes bloqué là-dessus, tu t’interdis de voir les vrais besoins qui pourraient t’amener à ce fameux accomplissement.
Ce que tu crois vouloir ? juste une belle illusion
Avoue, t’es convaincu de savoir ce dont t’as besoin pour être heureux : plus d’argent, un boulot qui en impose, une baraque qui claque. Bref, t’es sûr d’avoir capté ton « besoin fondamental« .
Mais bordel, si tu savais à quel point tu te plantes.
Ce que tu veux vraiment, c’est rarement ce que tu crois. En fait, ton soi-disant besoin, c’est souvent une façade qui cache un sacré paquet de non-dits, de peur, et de conditionnements de toute sorte.
Besoin explicite, besoin caché : démêle ton foutoir intérieur
Si tu penses que ton envie de promotion, de reconnaissance, ou de sécurité va combler ton vide intérieur, permets-moi de te dire : c’est du flan.
Moi aussi, à une époque, je me suis dit que tout irait mieux si je montais les échelons, si j’accédais enfin à ce foutu « niveau supérieur » de reconnaissance.
Résultat ?
J’avais beau empiler les succès de surface, ça restait du vent, parce que le vrai besoin, celui que je n’osais même pas me formuler, il traînait toujours dans le fond.
Alors, la question, elle est là : et si ce que tu dis vouloir n’était qu’une excuse pour ne pas regarder en face ce qui te manque vraiment ?
Ces « besoins » viennent-ils vraiment de toi ?
Alors, tu crois que tes besoins sont les tiens, bien ancrés, bien réfléchis ?
T’es sûr de ça ?
Allez, on va secouer un peu tout ça, parce que souvent, tes soi-disant besoins, c’est rien de plus que des pressions déguisées, des normes, des attentes que la société ou ta famille t’ont bien fourrées dans le crâne.
Au final, tu te retrouves à courir après des trucs qui te ressemblent même pas !
L’influence des autres, ce foutu poison
J’ai connu ça, moi aussi, le besoin de répondre aux attentes, de sécuriser ma vie pour « être tranquille« .
À force de suivre les besoins des autres, on finit par ne même plus savoir ce qui résonne vraiment pour soi.
À un moment, on se retrouve endetté, embarqué dans des galères, tout ça pour combler des besoins qu’on n’a jamais choisis en vrai.
Et toi, t’en es où avec ça ?
Est-ce que ce besoin de validation, de réussite, c’est vraiment le tien, ou juste un foutu écho des attentes des autres ?
Pose-toi cette question, sérieux : et si ce besoin que tu poursuis n’était qu’un vieux bagage imposé ?
« Je manque de rien, alors pourquoi je me sens si vide ? »
Alors là, c’est la grosse blague ! T’as coché toutes les cases, t’as le job, la baraque, les amis qui en jettent.
En théorie, tout devrait rouler comme sur des roulettes, non ?
Mais bizarrement, y’a un truc qui cloche, un foutu sentiment de vide qui traîne. Mais bordel, pourquoi ? Parce que le « remplissage de cases« , ça n’a jamais comblé personne.
Quand les apparences se cassent la gueule
Je te parle en connaissance de cause. J’ai construit ma vie autour de ces fichues cases, moi aussi. Ça m’a pris du temps, des sacrifices, et quand enfin j’ai coché toutes les bonnes cases, devine quoi ?
Y’avait encore ce creux, ce manque. Pourquoi ?
Parce que ces besoins-là, c’est du superficiel.
Ce qui te manque vraiment, c’est pas un truc que tu peux acheter ou « gagner« . C’est un foutu besoin de sens, de te reconnecter avec ce qui te fait vraiment vibrer.
Demande-toi alors : ce que tu cherches là, c’est quoi au fond ? Parce que si tout ça te laisse vide, c’est que t’as peut-être pas cherché au bon endroit, non ?
Ce putain de déclencheur pour libérer tes vrais besoins
Allez, faut qu’on se le dise : t’as beau courir après tout ce qui brille, tant que t’as pas trouvé ce foutu Why, tu tourneras en rond comme un hamster sous caféine.
Pourquoi ?
Parce que sans ce point d’ancrage, tous tes besoins ne sont que des mirages, des trucs qui te filent entre les doigts.
La boussole qui éclaire enfin le bordel
Le Why, c’est pas un gadget. C’est le truc qui te permet de trier les conneries des vraies envies.
Quand tu connais ton Why, tu ne pourchasses plus les besoins des autres ni ceux de la société.
Tu sais enfin ce qui résonne en toi, ce qui vaut la peine que tu te bouges. Le Why, c’est ton moteur. Il t’amène là où ça compte, sans faux-semblants, sans détours inutiles.
Alors, t’as envie de continuer à remplir des cases pour faire joli, ou tu veux enfin donner du sens à tout ce bordel ?
Le Why, c’est ton ticket de sortie.