Alfred Adler, la psychologie individuelle et le why

Alfred Adler t’invite à te reconnecter à toi-même. Sa psychologie, basée sur la responsabilité émotionnelle et l’objectif final, résonne avec la quête de ton Why. Découvre comment.
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Alfred Adler le pionnier

Un visionnaire en avance sur son temps

Camarade, Alfred Adler, c’est le gars qui a sorti la psychologie de son mode « divan et Freud » pour la connecter à ta vie de tous les jours.

Pour lui, ce qui compte, ce n’est pas ton passé, mais ce que tu fais pour construire ton futur.

Il disait : « Ta vie, c’est ton but qui la guide, pas tes casseroles. » Ca ne te rappelle rien ?

Avec lui, pas d’excuses, que des choix à poser.

La psychologie individuelle : comprendre ta singularité

Adler a posé les bases de la psychologie individuelle, une méthode qui met chaque individu au centre de sa transformation.

Il part du principe que toi, tes choix, ton style de vie, tout ça forme un tout cohérent.

Il croyait fermement à l’unité de la personne : tes pensées, tes émotions et tes actions sont liées. Si une pièce déraille, c’est à toi de réajuster.

Des concepts toujours d’actualité

Ce bon vieux Alfred nous a aussi filé des outils costauds pour comprendre nos galères.

Le sentiment d’infériorité, par exemple, il l’a défini comme une boussole pour avancer.

Oui, tu te sens parfois nul, mais c’est là que tu puises la force pour te dépasser.

Et puis, il parlait de compensation, cette capacité à transformer une faiblesse en moteur. Pas mal, non ?

Pourquoi Adler résonne encore aujourd’hui

Dans un monde où on croule sous les jugements et les comparaisons, Adler te dit :

T’arrête pas à ce que les autres pensent. Ce qui compte, c’est ton objectif final et ton lien avec les autres, ton intérêt social.

Ses idées, elles te montrent que même tes complexes et tes galères peuvent devenir tes alliés.

Suffit de les regarder autrement.

Alors, camarade, prêt à voir comment ce visionnaire peut t’aider à reconnecter tes pièces et à tracer ton chemin ?

Passons à la responsabilité émotionnelle, parce que là aussi, Adler a des choses à dire.

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La responsabilité émotionnelle : reprendre les rênes de ta vie

Ce que tu ressens, c’est ton problème

Camarade, Alfred Adler disait un truc qui décoiffe :

Les émotions des autres ne sont pas ton problème, et les tiennes ne sont pas leur faute.

Traduction ?

Si tu te sens vexé, triste ou en colère, ce n’est pas la faute de ton boss, de ton ex ou du voisin qui a mal garé sa caisse. C’est ta perception des choses qui te met dans cet état. En clair, ce que tu ressens, c’est ton bordel à toi.

La fin du rôle de victime

Te morfondre parce que les autres ne se comportent pas comme tu voudrais, ça te met dans un rôle de victime bien confortable, mais complètement stérile.

Adler te balance un gros pavé :

Arrête d’attendre que les autres changent. C’est à toi d’ajuster ton regard.

Quand t’acceptes que t’es responsable de tes émotions, t’arrêtes de subir et tu reprends le contrôle de ton style de vie.

Être responsable, ça veut dire quoi ?

Prendre la responsabilité émotionnelle, ça ne veut pas dire t’auto-flageller. Ça veut dire comprendre que t’as le choix : soit tu laisses les situations extérieures te dominer, soit tu décides de changer ta façon de les interpréter.

C’est là que l’unité de la personne prend tout son sens : tes pensées influencent tes émotions, et tes émotions dirigent tes actions.

Alors, camarade, autant remettre les rênes entre tes mains, non ?

Une leçon adlérienne pour ta vie

Adler ne te dit pas de tout encaisser comme une victime résignée. Il te dit de regarder ce que tu ressens, d’en comprendre l’origine, et de choisir comment tu veux réagir.

C’est pas une baguette magique, mais une manière de vivre qui te libère. Parce que quand t’es aux commandes de tes émotions, plus personne ne te dicte ta vie.

Alors, camarade, prêt à arrêter de subir et à devenir le capitaine de tes ressentis ? Passons aux relations interpersonnelles, un autre gros morceau.

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Les relations interpersonnelles : vivre sans la peur du jugement

Le regard des autres, ton faux ennemi

Camarade, on passe tous une bonne partie de notre vie à flipper du regard des autres. T’as peur qu’on te juge, qu’on te trouve insuffisant, qu’on parle dans ton dos.

Adler te met une claque dans la tronche :

Ce que pensent les autres, c’est leur problème, pas le tien.

Tu crois que t’es au centre de leur monde ? Bougre de con, ils sont bien trop occupés avec leurs propres insécurités.

Construire des relations sans fioritures

Adler avait un principe d’or : les relations, c’est pas un concours de popularité, c’est un échange basé sur l’intérêt social.

Quand tu cherches à plaire à tout le monde, tu te trahis toi-même. En t’alignant sur ton vrai toi, tu crées des liens authentiques.

Tu te connectes aux autres sans jouer un rôle, sans ce foutu masque qui finit par t’étouffer.

Arrêter de mendier l’approbation

Quand tu bases ta vie sur ce que les autres attendent, t’es condamné à courir après leur approbation.

Et laisse-moi te dire un truc : c’est une course que tu ne gagneras jamais.

Adler te pousse à chercher ton sentiment d’appartenance dans des relations qui te nourrissent, pas dans celles qui t’exploitent.

La clé, c’est d’apprendre à dire non aux attentes qui te bouffent.

Des relations qui te libèrent

Alors, camarade, pose-toi cette question : est-ce que les relations que tu entretiens te tirent vers le haut ou te gardent dans la peur et l’inquiétude ?

Ce que voulait Adler, c’était que tu comprennes que t’as le droit de choisir. Sois honnête avec toi-même, et tu verras que les relations qui comptent vraiment ne demandent pas que tu te déguises.

Prêt à lâcher cette foutue peur du jugement ? On passe au courage d’être toi-même, parce que là réside la vraie libération.

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Le courage d’être soi : laisse tomber le masque

Être toi-même, un acte de bravoure

Camarade, dans un monde où tout le monde se planque derrière des masques, être toi-même, c’est un putain d’acte de rébellion. Alfred Adler disait :

T’as pas besoin de plaire à tout le monde, seulement à toi-même.

Mais on le sait tous, c’est plus facile à dire qu’à faire. Parce que se montrer tel qu’on est, sans fioritures, ça fait flipper.

Pourtant, c’est là que commence la vraie liberté.

Pourquoi t’as peur de te montrer ?

Cette peur de ne pas être accepté, c’est ton vieux sentiment d’infériorité qui parle. Tu te compares, tu te trouves toujours moins bien, moins drôle, moins compétent.

Résultat, tu joues un rôle pour coller à ce que les autres attendent. Adler, lui, te dirait d’arrêter ce cinéma.

Ces foutus complexes, ils n’ont aucun pouvoir sur toi si tu ne leur en donnes pas.

Le prix de l’authenticité

Être toi-même, ça veut dire quoi ?

Ça veut dire accepter que tu ne plairas pas à tout le monde.

Et devine quoi, camarade ? C’est pas grave.

Ceux qui comptent resteront, et les autres, tant mieux s’ils se barrent.

L’intérêt social, ce n’est pas lécher les bottes des autres, c’est créer des connexions basées sur ton vrai toi, pas sur une version photoshopée de ta personnalité.

Un choix qui change tout

Quand tu oses être toi, tu récupères ton énergie. Fini de te fatiguer à plaire, fini de te demander si t’es assez bien.

Tu t’alignes sur ton objectif final, et chaque action devient plus simple, plus claire. C’est ça, le vrai courage : dire au monde « voilà qui je suis », même si ça ne plaît pas.

Et crois-moi, camarade, c’est là que les bonnes choses commencent.

Alors, prêt à poser ton foutu masque et à te libérer pour de bon ?

On attaque maintenant les objectifs dans la vie, et pourquoi les tiens doivent venir de toi, et pas des autres.

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Les objectifs dans la vie : choisis ta direction, pas celle des autres

Arrête de courir après des rêves qui ne sont pas les tiens

Camarade, combien de fois t’as poursuivi un objectif parce que « c’est ce qu’il faut faire » ? Une carrière brillante, une baraque bien placée, la bagnole qui brille…

Alfred Adler te dirait de te poser la seule vraie question :

Est-ce que ces objectifs viennent de toi ou des attentes des autres ?

Si tu cours après des buts qui ne te parlent pas, c’est pas un avenir que tu construis, c’est une prison bien décorée.

Ton objectif final, pas celui qu’on t’impose

Pour Adler, chaque individu est guidé par un objectif final, une sorte d’étoile polaire qui détermine où il veut aller.

Mais attention, camarade : si ton but, c’est juste de prouver aux autres que t’en es capable, t’es foutu.

L’important, c’est que cet objectif résonne avec toi, qu’il colle à ton style de vie, à ce qui te fait vibrer, pas à ce que les autres attendent.

Vise ce qui compte vraiment

Un objectif aligné avec toi, c’est un moteur, pas une chaîne qui te tire vers le bas.

Quand tu choisis des buts qui correspondent à ton unité de personne, tout s’aligne.

T’as plus à te forcer, t’avances naturellement parce que c’est ce que tu veux, profondément.

Les objectifs imposés ?

Laisse ça à ceux qui préfèrent jouer le rôle qu’on leur attribue. Toi, sois l’auteur de ton script.

Un plan tourné vers le futur

Adler avait une obsession : l’avenir. Pas besoin de ruminer ton passé comme un vieux bouillon raté. Ce qui compte, c’est où tu veux aller et pourquoi.

Alors, camarade, pose-toi cette question :

Est-ce que ce que je poursuis aujourd’hui me rapproche de ce que je veux vraiment être demain ?

Si la réponse est non, il est peut-être temps de réajuster ton cap.

Prêt à dessiner une trajectoire qui te ressemble ? Passons au point final : le lien entre Adler et le Why, cette convergence naturelle qui éclaire tout le reste.

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Le lien entre Adler et le Why

Adler et le Why, même combat : comprendre ce qui te guide

Camarade, si Alfred Adler avait connu le concept du Why, il aurait probablement applaudi des deux mains.

Pourquoi ? Parce que ses idées tournent autour d’une question centrale :

Qu’est-ce qui te pousse à agir ?

Lui parlait d’objectif final, nous on parle de Why, mais au fond, c’est la même quête : celle de trouver ta direction, ton étoile polaire, et de t’y accrocher envers et contre tout.

Le Why comme boussole intérieure

Adler disait que comprendre ton style de vie et ton objectif final, c’est la clé pour arrêter de dériver.

Le Why, c’est exactement ça : ce truc qui te permet de t’aligner avec ce qui compte vraiment pour toi.

Quand tu connais ton Why, tu fais des choix plus clairs, plus authentiques.

Et devine quoi ? C’est là que tes émotions, tes relations et tes objectifs commencent à s’harmoniser.

Te libérer des chaînes du passé

Un des grands messages d’Adler, c’est que t’es pas prisonnier de ton passé.

Ton Why, c’est cet outil qui te permet de te tourner vers l’avenir, de construire quelque chose en accord avec toi-même, plutôt que de te laisser définir par tes erreurs ou tes complexes.

Adler t’apprend à regarder droit devant ; le Why te donne la carte pour avancer.

Agir avec intention, pas par défaut

Pour Adler comme pour le Why, il ne s’agit pas juste de comprendre pourquoi tu fais les choses, mais d’agir en conséquence.

Être aligné avec ton Why, c’est transformer tes réflexions en actions concrètes.

T’arrêtes de te disperser, tu te concentres sur ce qui te rapproche de ce sentiment d’appartenance que tu cherches tant.

Une méthode pour transformer ta vie

Adler a jeté les bases, et le Why te propose une application moderne, simple et puissante.

Trouver ton Why, c’est incarner l’esprit d’Adler dans ta vie quotidienne. Alors, camarade, qu’est-ce que t’attends ?

Prends cette boussole et commence à tracer ton chemin, loin des influences qui t’étouffent et des peurs qui te paralysent.

Le futur est à toi.

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