La victimisation, l’article qui ne va pas te plaire

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Stéphane

T’en as marre de stagner et de toujours blâmer les autres pour tes échecs ? Stop. La victimisation est un piège qui te paralyse. Arrête de ressasser ton passé et prends enfin ta part de responsabilité. C’est dur, mais c’est la clé pour avancer. Découvre ton Why, cette raison d’être qui te donnera la force de sortir de cette spirale et de reprendre le contrôle de ta vie. Parce qu’au fond, c’est toi qui tiens les rênes, pas les autres. Allez, il est temps d’agir.
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Alors, c’est cool la victimisation, ou pas ?

T’en as marre de voir que ta vie stagne, que les choses n’avancent pas ? Normal, parce que t’as encore cette excuse bien rodée en tête : c’est la faute des autres, c’est pas moi, c’est la vie qui est injuste.

T’es tellement pris dans ce rôle de victime que tu ne vois même plus que c’est toi qui tiens les clés. Oui, c’est dur. Oui, tu as des cicatrices, mais si tu passes ton temps à te plaindre, tu ne bougeras jamais de là où t’es.

Aujourd’hui, on va casser cette idée-là. On va te montrer que la victimisation, c’est une prison que tu t’es construit toi-même. Mais il existe une autre voie.

Une voie où tu reprends le contrôle, où tu découvres ton Why et où, enfin, tu deviens acteur de ta vie.

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La victimisation : un boulet que tu t’imposes

On t’a sûrement dit que tout était contre toi, que la vie n’était pas juste. Et tu l’as cru. C’est tellement facile de pointer du doigt les circonstances, les gens qui t’ont déçu, le passé qui t’a brisé. Mais laisse-moi te dire un truc : tant que tu t’accroches à cette excuse, tu resteras dans le même cercle vicieux.

Le problème avec la victimisation, c’est que c’est toi qui choisis de la nourrir. T’as beau croire que t’es impuissant face à la vie, en réalité, t’es devenu ton propre gardien de prison mon pote.

En t’enfermant dans cette posture, tu t’épargnes la responsabilité de faire bouger les choses. Mais qui t’a dit que tu devais te contenter de ça ? Qui t’a interdit de reprendre le contrôle ? Personne, sauf toi.

Crois-moi, j’y suis passé. J’ai passé des années à justifier mes échecs par mon passé, à me complaire dans l’idée que je n’avais pas de chance. Et puis un jour, j’ai pris la claque : personne ne viendrait me sauver. Alors j’ai arrêté de me cacher derrière mes excuses.

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Se complaire dans la douleur : le piège qui te retient

T’as vécu des épreuves, et c’est normal que ça laisse des traces. Les cicatrices, elles sont là, elles font partie de toi.

Mais le vrai problème, c’est quand tu transformes cette souffrance en raison d’être, quand tu t’enfermes dans un rôle de victime.

Tu te dis que t’as le droit de te plaindre, que ta douleur te donne une excuse pour rester inactif. C’est humain, mais c’est aussi un piège monumental.

Quand tu te complais dans ta douleur, tu finis par la voir comme une identité. T’en arrives à ne plus imaginer autre chose que la souffrance comme compagnon de route.

Et crois-moi, ça te détruit bien plus que ce que tu crois. C’est ce que j’ai fait pendant des années : je me suis roulé dans mon passé, à ressasser tout ce que j’avais subi, persuadé que j’étais condamné à ce rôle.

La réalité ? Tant que tu t’accroches à cette douleur pour justifier ton inaction, tu t’empêches de te libérer.

La souffrance, elle est là pour te faire grandir, pas pour t’enchaîner. Si tu veux avancer, il va falloir arrêter de la glorifier et commencer à la dépasser.

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Arrête de blâmer les autres : t’es responsable de ta vie

On adore se dire que c’est la faute des autres. Nos parents, la société, le boss qui ne nous comprend pas… Bref, tout le monde, sauf nous. C’est un schéma classique de la victimisation : tu rejettes la responsabilité de tes échecs sur l’extérieur, persuadé que tu n’y peux rien. Mais devine quoi ? Ce n’est qu’une excuse bien rodée pour éviter de te regarder en face : le responsable c’est toi.

La vraie claque, c’est de comprendre que t’as fait des choix. Ouais, même les mauvais. Que tu le veuilles ou non, c’est toi qui as laissé les choses aller dans ce sens.

Et tu sais quoi ? Ça te donne un pouvoir incroyable : celui de reprendre le contrôle. Tant que tu continues à te cacher derrière l’idée que les autres t’ont saboté, tu restes coincé.

Moi aussi, j’ai blâmé les autres pendant des années. Mais un jour, après mon second infarctus, j’ai eu une prise de conscience brutale : c’est moi qui avais fait des choix, pas les autres.

Accepter ça, c’est dur, ça fait mal. Mais c’est aussi la première étape pour sortir de ce rôle de victime et redevenir l’acteur de ta vie.

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Trouver ton Why : la clé pour sortir de la victimisation

Tant que tu restes coincé dans la victimisation, tu passes à côté de ton Why, ce qui te fait vibrer, ce qui te pousse à avancer.

Pourquoi ? Parce que le rôle de victime te paralyse. Il t’empêche de te poser la vraie question : pourquoi tu es là, sur cette terre ? Et qu’est-ce que tu peux en faire ?

Ton Why, ton pourquoi, c’est ton moteur. C’est ce qui te donne la force de sortir de ce rôle de spectateur passif de ta vie pour devenir un acteur.

Crois-moi, c’est en comprenant pourquoi tu fais ce que tu fais que tu vas enfin prendre les rênes de ton existence. La victimisation, elle te garde dans un état d’impuissance, alors que ton Why, lui, te montre la voie vers l’action.

C’est quand j’ai découvert mon Why que j’ai commencé à me sortir de mon passé. J’ai arrêté de me rouler dans la souffrance et de me plaindre.

J’ai compris que j’avais une responsabilité envers moi-même : celle de vivre selon ce qui me porte vraiment. Tu veux arrêter de subir ta vie ? Trouve ton Why, et tu verras, tout change.

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Conclusion

Te victimiser, c’est le moyen parfait pour ne rien changer, pour rester coincé dans tes excuses et continuer à souffrir. C’est confortable, mais ça ne te mènera nulle part.

La claque que tu dois prendre, c’est de comprendre que tu as plus de pouvoir que tu ne le penses. Reprendre la responsabilité de tes choix, dépasser la douleur, et surtout, découvrir ton Why, c’est là que tout commence.

Ce que tu dois retenir

Tant que tu restes dans la victimisation, tu passes à côté de ta vie. Ton passé ne te définit pas, il te prépare à mieux te connaître et à trouver ton Why.

C’est en prenant tes responsabilités, en sortant de l’inertie, que tu deviendras l’acteur de ta vie. Le choix t’appartient.

Les fausses croyances sur le Why

Le Why, c’est un pseudo spirituel et mystique

Non, pas du tout. Certains voient le Why comme une sorte de quête mystique, mais ça peut être beaucoup plus terre-à-terre.

Pas besoin d’un alignement des planètes ou d’une retraite dans un ashram pour y accéder. C’est juste un travail d’introspection.

Un Why, ça peut être aussi simple que « Je veux rendre mes proches fiers » ou « Je veux créer quelque chose d’utile »


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