Stephane Briot
tu veux savoir ?
Allons-y

J’ai toujours voulu comprendre. Pas juste encaisser.
Quand mes parents s’étripaient en pleine nuit.
Quand ma mère me balançait ses baffes comme on jette des ordures.
Quand mon père vidait des bouteilles pour oublier qu’il existait.
Ouais, j’ai grandi dans le bordel, la violence, les humiliations, les coups, les brimades. Alors, pour survivre, pas vivre non, survivre, il fallait que je trouve un sens à tout ça. Mais pour cela, je devais comprendre.
Pourquoi ?
Pas “pourquoi moi” — non. Juste pourquoi ce bordel ?
Qu’avait-il bien pu arriver à mes parents, à leur couple, qu’avaient-ils vécus par le passé pour en arriver à cela ? Pourquoi cette colère, pourquoi cette haine, pourquoi ces blocages. Peu à peu, j’ai compris.
Quand j’ai rencontré ma femme, je me suis demandé pourquoi moi ?
Quand on a décidé de faire un enfant, j’ai flippé : et si je reproduisais l’horreur ? Comment éviter ça ? Ma fille ne doit pas, ne peut pas vivre ça. J’avais peur d’être un mauvais père, je savais la colère et la tristesse que je portais en moi.
En 2009, j’ai frôlé la mort. Infarctus. Mort subite. Lumière blanche.
Je me suis demandé : pourquoi revenir ?
Pourquoi ne pas lâcher prise ?
En 2022, deuxième infarctus.
Et là, c’est pas uniquement “pourquoi vivre”, c’est “pourquoi, abruti, t’as pas pris soin de toi ?”
Chaque fois, j’ai cherché du sens. Pas des excuses.
J’ai besoin de comprendre, parce que c’est ce qui aide à pardonner, pour de vrai.
La réussite, c’est pour ceux qui s’accrochent
Voilà ce qu’on te répète depuis gamin.
Et si c’était un joli piège à con ?
quand je bosse
Quand je faisais des sites, je demandais aux clients :
Pourquoi vous voulez ce site, vraiment ?
Quand j’écris un article sur WhyIsLife, j’écris pas pour le SEO.
Je m’assois, je respire, et je me demande :
- Pourquoi ce sujet, là, maintenant ?
- Pourquoi c’est important ?
Quand j’accompagne quelqu’un sur son Why, je commence pas par un questionnaire à la con.
Je commence par une question simple, brutale, viscérale :
- Qu’est-ce qui te pousse à vouloir comprendre ?
Et on déroule ensemble le fil, jusqu’à trouver ce qui est caché dans l’ombre.

Pause,
respire un instant
Parce qu’après, va falloir te regarder en face.
Ce que j’ai à te dire ?
Arrête d’obéir
Commence à comprendre

Quand on est gosse, on passe notre temps à demander pourquoi.
C’est pas une lubie.
C’est un besoin vital : chercher une logique dans le chaos. On essaie de donner du sens à toutes ces informations qui nous tombent dessus.
Mais l’école, la société, la famille te font taire.
“Parce que c’est comme ça.”
Et t’apprends à fermer ta gueule. À obéir.
Sauf que moi… j’ai jamais fermé ma gueule. Pas là-dessus.
Dans ma tête, j’ai jamais cessé de demander “Pourquoi ?”
Parce que cette question, c’est le scalpel.
Ça tranche. Ça fouille. Ça remonte à la racine.
- Pourquoi agir ?
- Pourquoi rester ?
- Pourquoi continuer ?
- Pourquoi vouloir changer ?
- Pourquoi s’accrocher ?
Si t’as pas de réponse, t’avances à l’aveugle.
Et dans ce monde, avancer les yeux fermés, c’est courir vers le mur.
Le “Pourquoi”, c’est pas un concept marketing.
C’est pas une putain de technique de vente.
C’est la base.
- C’est ce qui t’empêche de te vendre au plus offrant.
- C’est ce qui t’aide à dire non.
- À dire oui, aussi.
- À faire des choix que tu peux regarder en face.
Je te parle pas de concepts fumeux.
Je te parle pas de ce jour où j’étais en slip,
dans mon appart vide, à pleurer ma race devant un écran noir,
parce que j’avais plus de taf, plus d’envie, et plus d’espoir.
Je te parle vrai.
C’est bien pour cela que…
TU dois me faire confiance
Depuis 2003, je creuse cette question avec mes clients, avec mes proches, avec moi-même.
Et chaque fois qu’on touche au vrai “Pourquoi”, ça fait sauter un verrou.
Simon Sinek dit : “les gens n’achètent pas ce que tu fais, ils achètent pourquoi tu le fais.”
C’est bien. Mais c’est pas assez.
Moi je dis : le “Pourquoi”, c’est ce qui te garde debout quand tout s’effondre.

- C’est ton point d’ancrage dans la tempête.
- Ton feu intérieur quand y’a plus d’électricité.
- Ta foutue lumière quand tu marches seul.
Alors non, je suis pas là pour te vendre du rêve.
Je suis pas là pour te motiver cinq minutes.
Je suis pas un putain de filtre Instagram.
Je suis là pour t’aider à allumer la mèche.
À creuser là où ça fait peur.
À te retrouver. Vraiment.
Et si t’as les tripes de le faire,
je suis prêt.
Mais toi ?
T’es prêt à arrêter de fuir ?
quelques repères
Stéphane Briot
- Né le 22/06/1972
- En couple depuis 2003
- Papa d’une puce né en 2009
- Nous avons deux chats
- Notre famille à choisi de vivre dans le Nord
Un intérêt prononcé pour
- La vie (même si elle est parfois dure)
- La psychologie,
- Le marketing,
- La création de site avec WordPress
- La photographie (de rue et nu artistique)
- Le football
- Les séries
Un peu de moi
