Watson
Je m’appelle Stéphane Briot. Sur ce site, j’écris sous le nom de Watson — pas par coquetterie, mais parce que ce nom dit quelque chose de ma méthode :
- Je mène l’enquête. Avec toi, sur toi, pour toi.
D’où je viens
J’ai grandi dans la peur, le bruit, les coups. Une enfance où la honte et la colère tenaient lieu de langage. J’aurais pu y rester — enfermé dans ce passé qui étouffe, prisonnier des voix qui répètent “t’es nul, t’y arriveras jamais.”
Mais j’ai décidé de vivre. Pas de me battre contre la vie, mais avec elle. Pas de nier la douleur, mais d’en faire une boussole.
Deux infarctus plus tard, j’ai compris que le temps ne se négocie pas. Qu’on n’a qu’une chance : celle de dire vrai, d’être juste, d’être vivant.
Ce que je fais
Je ne suis pas un “coach“. Je n’ai ni la tenue, ni les phrases toutes faites et je ne suis pas sur Instagram ou TikTok, je ne suis pas une star inaccessible. Je parle comme je vis : avec franchise, précision et chaleur.
Mon approche ? Celle d’un enquêteur. Je t’aide à examiner les zones floues de ta vie — sans complaisance, sans jugement. Chaque échange devient une scène d’analyse où tu apprends à décoder tes émotions, à relire tes schémas, à comprendre ce que tu fuis.
Je ne prétends pas avoir les réponses. J’émets des hypothèses, j’ouvre des pistes. Je sais poser les bonnes questions. Celles qui dérangent. Celles qui libèrent.
Ce que je crois
Qu’on peut trouver de la douceur au milieu du chaos.
Que la joie n’est pas un luxe, mais une compétence à cultiver.
Que la résilience n’est pas un concept, mais un muscle qu’on entraîne.
Je crois en la responsabilité. En la capacité de chacun à choisir — même quand tout semble perdu. En la beauté de ceux qui continuent d’avancer, maladroits, fatigués, mais vivants.
Pourquoi moi
Parce que la vie, je la connais. Pas celle des livres, mais celle du sol, du ventre, des tripes. J’ai vu ce que c’est que de tomber. Je sais ce que ça coûte de se relever.
Et j’ai choisi d’en faire une mission : rendre aux autres la force qu’il m’a fallu tant d’années à retrouver.
Je n’enseigne pas. J’enquête. Avec toi. Sur toi. Pour que tu redécouvres, un jour, ce regard clair qui dit simplement : « Je suis vivant et debout. »

