Qu’est-ce qui se cache derrière ton besoin constant de reconnaissance sur les réseaux sociaux ?

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Stéphane

T’as les boules que ton nb de followers stagne, avoue. T’en fais une affaire d’Etat, comme une publique humiliation. Sens-tu pas qu’au lieu de te gaver de likes, de partages et de + de followers, il est peut-être temps de regarder le problème autrement? Une défaite, c’est une leçon, un moyen de se remettre en question et de progresser. Alors, fais-toi plaisir, lâche-toi, démonte tous tes échecs. Comment? Lis la suite et surfe sur tes défaites en compagnie de ton ego.
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Surfe sur tes défaites en compagnie de ton ego.

Alors camarade, tu trépignes de frustration sur ton canapé, à t’égosiller contre l’écran qui crache ton score agonisant d’abonnés sur les réseaux sociaux. J’imagine que tu vis cette réalité comme une affaire d’État, une crise qui te déshonore.

Mon cher ami, lorsque ton ego est plus vaste que ton appartement, les couloirs de la reconnaissance virtuelle paraissent comme les seules galeries vers la percée glorieuse, n’est-ce pas ?

Alors, tu cherches à t’en approprier, comme un tyran affamé, plus de like, de partages, plus de followers pour nourrir cette bête gargantuesque qui crie famine : ton ego. En quelque sorte, une couche d’illusion que tu bâtis pour te camoufler la réalité.

Ne sens-tu pas ce frisson qui reste après chaque pic de notifications ? Derrière chaque like, chaque message de félicitation, cette décharge d’adrénaline munificente, c’est un baume qui apaise ton ego, rien de plus.

Voilà le secret de l’égo dont personne ne parle.

Oh camarade, ce qui est ironique, c’est que tu cherches comme un fou dans ces terres arides un oasis de reconnaissance, alors qu’il est juste sous ton nez. C’est de toi-même dont tu as besoin ! Pas des approbations virtuelles de quelques inconnus. C’est toi en lutte avec ton identité, pas la guerre des like.

Tu vois, une étude de l’Université de Cornell a en effet montré que ceux qui cherchent l’approbation des autres sont plus susceptibles de souffrir de dépression et d’anxiété.

Chaque approbation recherchée est comme un miroir déformant qui garde ton être captif dans un carcan d’anticipations anxieuses et d’illusions ternies.

Mon client Jérémy, autrefois un accro du pouce bleu, passait sa vie à rechercher l’approbation des autres sur les réseaux sociaux.

Jusqu’au jour où il s’est aperçu que toutes ces notifications ne comblaient pas son véritable besoin : comprendre son « Pourquoi ». Et ce n’est qu’en se mettant face à lui-même, en affrontant ses vérités, qu’il a véritablement commencé à se sentir reconnu.

Ce qui est intéressant dans ton cas, ce n’est pas le fait d’avoir besoin de reconnaissance. Non, ce besoin inavoué dérive souvent d’un sentiment d’impuissance, d’une faiblesse : le sentiment de ne pas avoir de contrôle sur ta vie.

En t’accrochant désespérément à ces petits signaux de validation, tu tentes de combler ce vide. C’est ta manière de dire : « Voilà, je suis reconnu, je suis important, j’existe. »

Voyons, à quoi serviraient ces témoignages de reconnaissance si tu ne parviens pas à guérir cette blessure qui te ronge à l’intérieur ? C’est comme mettre un bandage sur une plaie infectée. Cela masque la douleur, certes, mais la bête continue de grouiller sous la surface.

Réveille-toi mon ami ! C’est la vie qui bat dans tes veines, qui te rappelle à l’ordre. Ose poser le miroir de tes ombres, flirte avec tes imperfections, questionne ta vulnérabilité, ton besoin de reconnaissance.

Non pas pour t’y embourber, mais pour t’ouvrir au plaisir réel de la vie, une vie sans l’aval d’un écran.

Évidemment, se libérer de ce besoin écrasant de validation sur les réseaux sociaux n’est pas une promenade le dimanche après-midi. C’est un chemin parsemé d’obstacles, mais une fois que tu l’empruntes, la récompense est inestimable.

Tu veux un exemple ? Voyons Marc. C’est l’un de mes clients. Ce cher Marc, il était accroché à Instagram comme une moule à son rocher. Sa notoriété sur le Web était son catalyseur, jusqu’à ce qu’il réalise que le bonheur est quelque chose de plus palpable, de plus profond que ces instantanés numériques.

Il a choisi alors d’emprunter la voie de l’authenticité, de la reconnaissance de soi-même. Et c’est ce qui a rendu Marc unique, hors du commun.

L’intrication entre égo et réseaux sociaux

Ta virtualisation de l’identité, voilà le nœud gordien de ton problème. Quand tu centres ton ego sur une virtualité, tu deviens sclérosé, une simple coquille vide qui se nourrit de commentaires bienveillants, de pouces levés, de cœurs et d’émojis.

T’as pas l’impression de t’éteindre un peu plus à chaque fois que tu passes ton temps la tête penchée sur ton écran ?

Chaque pixel sur ton écran est une pièce de monnaie donnée à ton ego. Plus tu accumules de ces pixellisations d’approbation, plus tu penses grandir. Mais est-ce vraiment le cas ?

De l’autre côté de l’écran, ça pourrait être ton voisin, ton cousin éloigné, ou, attend-toi au pire, un parfait étranger du bout du monde, qui gratifie tes publications.

T’as même pas idée de qui ils sont, ni de ce qu’ils pensent vraiment de toi. Ils sont juste là, pendant leur pause café ou leurs insomnies, à liker tout ce qui leur passe sous les yeux.

Alors qu’est-ce que ça donne à ton ego, en réalité ? Il se nourrit d’un banquet d’illusions, un festin d’ombres. La vérité, camarade ? Il s’abreuve d’un simulacre de connexion, d’une illusion de communauté.

Quelle farce ! Chaque like est une pierre jetée dans le marais de ton estime de soi, mais crois-moi, ça ne va pas construire un pont solide pour te mener à la vérité de qui tu es.

Laisse-moi te peindre un tableau plus sombre encore. Imagine une salle pleine de miroirs, chacun reflétant une version déformée de toi, façonnée par les attentes et les jugements d’autrui.

C’est là que tu vis, dans cette galerie des glaces virtuelle, perdant petit à petit le contact avec la réalité de ton être, ta quintessence, ton âme. Tu te bats pour des miettes d’approbation dans un banquet où personne n’est vraiment nourri.

Le Mirage des Connexions Superficielles

Pourtant, tu continues, insatiable, cherchant une validation dans le regard de ceux qui, tout compte fait, naviguent eux-mêmes dans leurs propres tempêtes. Est-ce que tu comprends l’ironie ? Tu cherches à te rassurer dans les yeux de quelqu’un d’aussi perdu que toi.

  • La quête d’approbation : L’obsession pour la validation externe transforme ta quête de sens en une quête de likes.
  • La solitude amplifiée : Plus tu te noies dans le virtuel, plus profond devient le gouffre de la solitude réelle.
  • L’oubli de soi : Tu perds de vue qui tu es vraiment, éclipsé par le personnage que tu joues en ligne.

Reconquérir Ton Âme dans le Monde Virtuel

Mais tout n’est pas perdu, mon ami. Ce scénario dystopique a une issue, une porte de sortie que seul tu peux emprunter. Elle commence par une prise de conscience brutale : est-ce que ce chemin virtuel mène quelque part, ou tourne-t-il en rond dans une impasse ?

Le vrai défi n’est pas de gagner plus de followers, mais de te retrouver, de reconstruire l’estime de soi non pas sur les sables mouvants de l’approbation sociale, mais sur le roc solide de l’acceptation de soi. C’est une bataille, certes, mais une bataille qui vaut la peine d’être menée.

  • Authenticité : Sois vrai, en ligne comme hors ligne. Laisse transparaître ta véritable nature, pas une version filtrée et édulcorée.
  • Connexion réelle : Cherche des interactions significatives, qui nourrissent l’âme plutôt que l’ego.
  • Introspection : Utilise le temps passé hors ligne pour te connaître toi-même, pas seulement ton avatar numérique.

Alors, camarade, es-tu prêt à déchirer le voile de l’illusion, à briser les chaînes de l’approbation virtuelle ? C’est le moment de choisir : continuer à te perdre dans le labyrinthe des likes ou te lancer dans le voyage héroïque de la redécouverte de soi.

Le chemin sera semé d’embûches, mais je te promets, la destination en vaut la peine. Car au bout, c’est toi que tu retrouves, dans toute ta splendeur authentique, libéré des chaînes de l’ego virtuel.

En conclusion

Ton ego s’appuie sur un reflet trompeur de toi-même, filtré et distordu par les médias sociaux. Aussi, garde à l’esprit qu’une approbation virtuelle n’est pas nécessairement une appréciation réelle.

Faut faire gaffe à pas confondre approbation virtuelle et réalisations concrètes. Te fixer sur l’attrait des likes, c’est risquer de te perdre dans une illusion numérique, qui pourrait finir par rendre ton ego malade et fragile.

Il est important ici de noter les avantages à connaître ses valeurs, son pourquoi (ou ‘why’ en anglais). Être sûr de son why permet de rester authentique, en dépit de la virtualité ambiante.

Le pourquoi est la boussole qui guide dans les méandres des réseaux sociaux. En s’appuyant sur ses valeurs plutôt que les likes, on évite de se laisser noyer dans l’océan de la superficialité digitale, gardant ainsi le contrôle de son ego. Apprends plus sur le sujet en consultant ce lien. Allez

L’oeil du coach

Franchement, à quoi ça sert tout ça?

Alors, camarade, on surfe sur les vagues déchaînées des réseaux sociaux, en quête compulsive de pouces bleus, de cœurs flambants et de commentaires bienveillants ? C’est à ça que se résume ton existence, hum ? Exister à travers l’écho digital de ton égo, c’est comme nourrir un loup affamé avec des chips : trop aromatisé, trop creux.

Le piège de l’écran

Oh, je te vois venir. Tu penses que tes followers sur Instagram sont le miroir de ton identité, que chaque click féroce est un pas vers le summum de reconnaissance. Une étude de l’Université de Cornell a démontré le contraire : l’obsession pour l’approbation virtuelle génère une toxicité mentale, une spirale d’anxiété et de dépression. Tu n’as pas besoin de moi pour te vendre cette grimace, tu l’as déjà !

L’exemple qui fait réfléchir

Comme Marc, l’un de mes clients, un magnifique spécimen addict au pixel, jusqu’à ce qu’il s’ouvre à l’authenticité et s’autorise à être lui-même en dehors de l’écran. Il a découvert que l’acceptation virtuelle est superficielle, elle ne peut pas guérir l’insatisfaction profonde et la frustration qui le rongeaient. Son bonheur, il l’a trouvé dans la vérité de son propre reflet, pas dans les pixels éphémères.

Le grand réveil

Alors, je te propose de te réveiller, camarade. Lève-toi du trône qui te confine dans cet étau numérique. Découvre ton « Pourquoi », ce qui te connecte profondément à toi-même, à ce qui a un sens pour toi.

L’invitation

Es-tu prêt, mon ami, à élire ton moi authentique comme roi de ta vie, à te libérer de ces chaînes numériques qui entravent ta véritable identité ?

Prépares-toi à renverser l’équilibre et naviguer sur ton océan de potentiel. Après tout, ton ego mérite plus que quelques likes, non ?

Les fausses croyances sur le Why

Le Why, c’est encore une mode à la con

Certains pensent que le Why, c’est juste une tendance New Age ou un délire de développement perso moderne. Mais le Why, ça dépasse de loin les modes.

C’est une quête de sens, un besoin humain fondamental de comprendre pourquoi tu te lèves le matin.

Ce n’est pas du marketing, c’est une ancre pour ceux qui cherchent à vivre avec intention.


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partage avec tes amis ou collègues, merci (:

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L. Matarese

Consultant

J’ai fait appel à Stéphane pour m’aider à trouver mon WHY. L’expérience s’est passée au-delà de mes espérances. C’est un exercice que je recommande à tous, plus encore quand Stéphane encadre la chose. Ca a changé pas mal de choses dans la façon de me comprendre, de percevoir quels étaient mes « atouts » naturels et comment je pouvais les mettre à contribution dans mon métier.

Encore une fois un grand bravo et merci à Stéphane. Vous pouvez y aller les yeux fermés.

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