Je te vois, Camarade. Mal au cœur, Mal à l’autre
Tu as mal ? Je le sais. Je le sens, mon ami. Comme le reste d’entre nous. Comme Paul. Un de mes clients, homme simple, doux comme une brise d’été.
La vie lui a fait mal, terriblement mal. Et qu’a-t-il fait, tu crois ? Il est devenu une boule de rage et de frustration. Son mal… il l’a propagé. Comme une virus. Pauvre Paul. Tu le vois ? Non ? Alors, ouvre bien l’œil.
Et oui, c’est là que tu te trompes. Tu fais du tort à ceux que tu aimes parce que tu souffres ? Camarade, bel euphémisme que voilà… Se faire du mal et en faire aux autres, c’est pas la meilleure idée, et ça ajoute à ta douleur, parce que faire mal aux autres, c’est aussi se faire du mal à soi, à son estime de soi.
Engrenage Douloureux : Faire mal à l’autre quand on a mal
Imagine. Imagine Justine, cliente fidèle, femme forte, qui a tout pour être heureuse. Du moins en apparence. Problème ? Elle cache une blessure, une lacération profonde au cœur.
Que pense-t-elle ? Elle se persuade que faire mal à son entourage est l’antidote à son propre tourment. Elle se convainc qu’en brisant son monde, elle se sentira enfin bien. La belle illusion !
J’ajoute pas de la douleur à la douleur
Alors, ça, écoute bien, mon ami. Tu engendres ce mal toi-même, comme une spirale infernale où tu t’enfonces encore plus. Tu multiplies la douleur, tu la répands, et au bout du compte…tu souffres encore plus. Quel drôle de médicament que la souffrance infligée à autrui, n’est-ce pas ?
Alors oui, ce n’est pas facile à entendre. D’autant plus que tu fais déjà face à des difficultés. Mais, ce n’est pas en balançant ton mal par-dessus le mur des autres que tu arriveras à guérir. Loin de là.
Mais alors, que faire, tu te demandes ? Parler, pour évacuer, pour dépasser, pour accepter. Laisse tomber tes armes. C’est la seule voie. La voie du pardon, de l’amour et de la sollicitude. De la guérison.
C’est ce que Paul a fini par comprendre. A travers un travail de longue haleine, des rechutes, des remontées, des pleurs et des rires. Oui, il est possible d’arrêter cette danse funeste.
Quoi ? Tu penses toujours que déverser ton mal sur les autres te soulage, même temporairement ? Laisse-moi te dire un truc : ça ne marche pas comme ça. Ça n’a jamais fonctionné comme ça.
Tu amplifies juste ton mal-être en le partageant. Pire encore, tu alimentes un cycle de souffrance interminable qui ne bénéficie à personne, surtout pas à toi.
T’es sceptique ? Pourtant, je te parle en connaisseur. Des clients comme Justine et Paul, j’en ai vu des dizaines. Des gens écorchés par la vie, pensant que diffuser leur mal est la solution. Ils se sont tous trompés. Toi aussi, tu te trompes.
Et non mon ami, cela ne restera pas impuni. La souffrance infligée t’engloutira comme sables mouvants jusqu’à ce que tu comprennes : il est temps de se donner une chance.
Tu veux des faits ? Je l’ai vécu à maintes reprises. J’ai vu, oui, j’ai vu des âmes torturées se transformer en une lumière éclatante de bonheur et de sérénité.
Alors, pense à Paul et Justine, et rappelle-toi: il y a un choix à faire. Tu peux continuer à infliger de la douleur ou choisir le chemin, cahoteux mais gratifiant, de la guérison et de la compassion.
Pour approfondir cette exploration de toi-même, je te recommande le programme « RETOUVER LA CONFIANCE« . Toi, qui te caches derrière ton masque d’inflexibilité, offres-toi une chance de voir la lumière. Ni Paul, ni Justine, ni moi ne regrettons ce voyage intérieur. Oseras-tu ?
Tout est lié : Les conséquences de faire mal
Ce qu’il faut comprendre, camarade, c’est que tout est lié. La douleur que tu infliges, elle te revient en boomerang, et tu sais quoi ? Elle est plus forte encore. C’est la loi de l’univers. Tu la propages, elle te ronge. Tu la nourris, elle te dévore. Tu lui donnes de la force, elle te la retire. Simple comme bonjour.
Regarde le chemin de Paul. Il a fini par comprendre que chaque fois qu’il blessait quelqu’un, il se blessait lui-même. En voulant être le bourreau, il s’est rendu compte qu’il n’était en fait que la victime de son propre mal.
Et Justine, tu crois qu’elle dort tranquillement après avoir déversé sa colère sur les autres ? Non. Elle passe des nuits sans sommeil, rongée par la culpabilité, la confusion et le doute. Le sentiment de honte qui la dévore est monstrueux.
C’est là toute l’ironie de la chose. En voulant échapper à ta douleur, non seulement tu restes dans ta souffrance, mais en plus tu creuses ta propre tombe. C’est comme si tu étais dans une barque qui prend
En conclusion
On ne peut pas fuir du mal qu’on fait aux autres, tu sais. C’est une route qui mène, inévitablement, à la souffrance personnelle.
Alors, tu comprends, on est tous dans le même bateau. On a tous nos erreurs et nos mauvaises décisions. Mais au lieu de jeter des pierres sur les autres, on pourrait essayer de construire des ponts, tu vois ?
La douleur que tu causes aux autres, elle revient vers toi, multipliée. C’est comme de se tirer une balle dans le pied tout en espérant courir plus vite. C’est pas logique, n’est-ce pas ? Eh bien, c’est pareil avec nos actions. Plus tu te cacheras derrière ta colère et ta méchanceté, plus tu seras coincé dans ton propre malheur.
Fais du bien. Pas parce que c’est moral ou que ça fait du bien aux autres, mais parce que ça te fera du bien à toi. Choisis d’être gentil, choisis de comprendre, choisis de pardonner. Non pas pour les autres, mais pour toi.
Parce que tu le mérites, parce que tu mérites d’être heureux. Et que le bonheur, c’est pas quelque chose qui se gagne avec du mal. C’est un choix. Alors choisis bien.
L’oeil du coach
Ah, camarde, je vois ta peine! Avec ton air d’enfant qui a perdu son doudou. Et je comprends. Tu endosserais volontiers le rôle du vilain sorcier pour éparpiller ce mal qui te ronge, n’est-ce pas? N’est-ce pas le chemin que Paul et Justine ont emprunté? Comment t’en blâmer? Repousser sa douleur sur les autres, la vieille astuce moisie du siècle.
Souffre, sème le mal, vide ton cœur, le temps de pleurer. Venge-toi de ceux qui t’ont fait du mal, empoisonne-toi. Quoi de plus naturel !
Allons, camarade, ne te voile pas la face, tu sais bien qu’infliger le mal autour de toi, c’est aussi s’infliger des souffrances. Une vaillante vérité sortie de vieilles fables de grand-mère.
Aussi sûr qu’un cactus dans le désert pique, le mal que tu offres aux autres, camarde, il te dévore à petits feux. Tu espères te libérer de tes tourments, mais tu plonges de plus en plus profondément dans ton mal-être.
Et le mot est faible. Mal-être. Ce mot cache une vraie misère. En réalité c’est plutôt la même douleur que toi qui explose comme une supernova dans le cœur des autres.
Ta douleur n’est pas un boomerang
Tu le sens le mal-aise, camarde? Dans ton cœur, dans ta chair. Ton mal, tu l’avais espéré loin, très loin de toi. Jeté comme un old boomerang. Telle était ta quête.
Le souci, dans tout ça, c’est que ce mal s’accroche à toi. Dans une course effrénée, il revient aussitôt que tu l’a envoyé. La prochaine fois, jette un bâton à la mer, camarde, le résultat sera le même.
Les conséquences à ta portée
Alors quoi, tu cherches toujours le salut dans la douleur des autres, camarade? Tu sais bien que d’infliger ton mal, c’est comme te tirer une balle dans le pied tout en espérant courir un marathon.
C’est inutile, improductif et ça ne t’apporte que du malheur. Crois-moi, camarade, c’est regrettable que de s’auto-flageller à coups d’incompréhensions et de colère. Prends ma main, je t’emmène faire un tour du côté des bisounours, là ou règne l’amour et la douceur.
Fais le bien autour de toi, camarade, non pas pour les autres, mais pour toi, pour ton bien, pour ta paix. Parce que tu le mérites. Parce que le bonheur, ça n’arrive pas par hasard, c’est un choix. Alors, quel est le tien, camarade?