Quoi de neuf, mon pote ?
Allez, je te vois déjà, là, en train de faire la moue rien qu’à l’idée de parler de pleurs. Oui, toi, je te parle, toi qui te caches derrière ton écran. T’aurais bien envie de refermer ton ordi et de repousser ce sujet au lendemain.
Mais non, ne t’inquiète pas, on ne va pas se lancer dans un big délire psychanalytique ou dans une introspection de séance de psy. Détends-toi, assieds-toi et écoute-moi un peu.
Tu tiens à tes larmes comme à la prunelle de tes yeux, non ? Ou plutôt, tu redoutes de les lâcher, parce qu’on t’a toujours dit que c’était pas un truc de warrior, que pleurer, ça ferait de toi une mauviette. Et bien, laisse-moi te dire un truc : c’est du pipeau, mon vieux.
Pleurer, mon pote, ça défoule !
Comme dirait un de ces grands philosophes de notre époque : « pleurer, c’est laisser sortir la douleur ». Je t’accorde que c’est un peu cucul la praline dit comme ça, mais t’as pigé l’idée ?
C’est comme quand tu te cognes le pied contre le coin du meuble, tu gueule un bon coup, tu fais un peu la danse de la douleur et ensuite, ça va mieux.
Bah les pleurs, c’est pareil. Sauf que là, ce n’est pas ton petit orteil que tu libères, mais plutôt ton cœur. Tu laisses sortir toutes ces émotions que tu gardes enfouies au plus profond de toi.
Les scientifiques expliquent même que pleurer c’est une réponse naturelle du corps pour évacuer le stress. Tu sais, comme quand tu transpires en faisant du sport, mais à la place de suer du front, tu sues des yeux. Oui, je sais, c’est un peu bizarre dit comme ça, rigole pas.
Et dis-toi un truc : quand tu pleures, tu refais pas le monde à ton image, mais tu te fais surtout du bien à toi-même. C’est comme quand tu dégonfles un ballon qui était tout prêt à exploser. Allez, avoue que ça soulage, non ?
Mon vieux, pleurer ça fait du bien aussi à ton entourage
Pleurer, c’est pas juste une histoire de défoulement, c’est aussi une histoire de communication. Combien de fois t’as essayé de mettre des mots sur ce que tu ressens, et tu n’as juste pas réussi ?
Tu te rappelles ce que ça fait, n’est-ce pas, cette sensation de vide dans le ventre, d’étau qui serre la poitrine jusqu’à te couper le souffle ? Bien sûr que tu te rappelles. Et à chaque fois, tu bottes en touche, tu fais comme si de rien n’était, tu planques tout ça sous le tapis.
Alors qu’en lâchant une larme ou deux, tu envoies un signal à ton entourage. Tu leur dis : « Eh, psst, je ne vais pas bien. Il se passe un truc. Il faut qu’on en parle. » Tu donnes une chance à ton entourage de te comprendre, de t’aider.
Les larmes, c’est ta voix quand les mots sont trop lourds à porter. Et crois-moi, elles parlent fort et clair. Alors arrête de faire le dur à cuire, de jouer les intrépides. Lâche ces foutues larmes, mon pote. T’as le droit. On a tous le droit de pleurer, de montrer quand ça va pas, de demander de l’aide.
Donc voilà pourquoi pleurer, ça fait du bien. Non, ce n’est pas un signe de faiblesse, bien au contraire. C’est un signe de force que de savoir respecter ses émotions, d’écouter son corps et son cœur, de laisser sortir ce qui doit sortir. Et puis après, ça fait du bien. Ça fait un bien fou même.
Allez, je te laisse, on se retrouve à la prochaine, d’accord ? Et n’oublie pas, pleurer, c’est pas mal, au contraire. C’est juste humain.
Lâche-toi, tu m’entends ?
Je sais, tu te dis : « Mais c’est plus facile à dire qu’à faire. » T’es pas complètement à côté de la plaque, je te l’accorde. Ça m’a secoué aussi, il y a quelques temps, quand ça m’est tombé dessus. Et oui ! Moi aussi, j’ai eu du mal à lâcher ces foutues larmes. Mais une fois que c’est fait, mon pote, crois-moi, tu ressens un soulagement de dingue.
Alors, stop à la mascarade. Arrête de te cacher derrière ton masque d’acier, lâche cette armure que t’as construit autour de toi. C’est pas un film, et t’es pas un super-héros (même si dans le fond, on le sait tous, t’es un sacré champion). Laisse-toi aller, laisse ces larmes couler. Tu crois vraiment que le monde va s’effondrer si tu montres un peu de vulnérabilité ? Non, mon ami, il ne va pas. J’te le promets.
Et devine quoi ? Si tu pleures, personne ne te regardera de travers. Non, ils partageront ta peine, ils te comprendront mieux. A la fin, ils pourront même t’encourager et te réconforter. C’est pas ce que tu veux ? Tout ça grâce à quelques larmes !
Montre-leur que tu es humain
Tu es peut-être dur à l’extérieur, mais on sait tous que t’as aussi un cœur. Tu le sens, qui veut se décharger de toutes ces émotions ? C’est naturel, t’as le droit de être triste, de sentir le stress ou la peur. Et tes amis, ta famille, ils le comprendront. Non mais franchement, t’imagine un peu tout le poids que ça te permettrait de lâcher ?
Arrête d’encaisser tout ça tout seul. Y a des gens autour de toi, prêts à t’aider. Mais encore faut-il que tu leur montres que tu en as besoin. Et c’est là que les larmes entrent en jeu.
Regarde-moi dans les yeux, je te mens pas. Je sais que tu penses que t’es trop balèze pour pleurer, mais crois moi, même les plus costauds ont des jours où ils ne sont pas au top. C’est normal. C’est humain. Allez, pleure un coup, débarasse-toi de ce poids qui t’opresse, et après, tu verras, ça ira mieux.
Et puis, t’en fais pas, je serai là si tu as besoin de discuter. Alors, vas-y, cèdes à tes émotions. Pleurer n’a jamais tué personne, au contraire. Allez, je te fais la bise et n’oublie pas : hé, on est tous humain, mon pote.
En conclusion
Arrête de te voiler la face. Pleurer, c’est juste montrer à tout le monde que tu es aussi un humain avec des sentiments. Fallait bien que tu t’en rendes compte un jour, non ?
Tu peux pas garder tous tes problèmes, tes peines pour toi tout le temps. Tu dois faire avec, arrêter de te cacher et affronter la réalité en face. Pleurer, c’est libérateur, crois-moi.
T’auras jamais l’air d’un faible, bien au contraire. Internet n’est pas qu’un amas de photos de chats et de mèmes drôles. C’est aussi un lieu où tu peux trouver du soutien, échanger avec d’autres personnes qui vivent la même chose que toi.
Arrête de te la jouer solo, invite les autres à partager tes émotions. Parce que oui, toutes ces émotions, ça se partage !
Tu sais que t’es pas seul hein, t’as bien des potes, non ? Des vrais, qui sont là pour toi quand ça ne va pas ? Alors ouvre-toi à eux et tu verras, ils seront là pour toi.
Arrête de te la jouer fort tout le temps, c’est épuisant et crois moi, ça paye pas. Allez, lève-toi, affronte tout ça et apprends à lâcher prise. Tu vas voir, ça change la vie.
L’oeil du coach
L’article nous invite à dépasser nos peurs et nos inhibitions concernant l’expression des émotions, et plus particulièrement le fait de pleurer.
Il rappelle la position erronée de la société qui voit souvent dans les larmes, un signe de faiblesse ou de vulnérabilité excessive.
En fait, pleurer est une réponse naturelle du corps à l’évacuation du stress, une sorte de libération des émotions contenues. Non seulement cela procure une soulagement personnel, mais c’est aussi un moyen de communication important indiquant à notre entourage que quelque chose ne va pas et que nous avons besoin d’aide.
Cet article dissipe également la peur du jugement et l’inconfort associé à l’expression de la vulnérabilité, en soulignant que c’est un aspect de la condition humaine que tout le monde peut comprendre et à laquelle tout le monde peut se rapporter.
En conclusion, pleurer est à la fois libérateur et humanisant. Au lieu de conserver toutes nos émotions en nous, nous devrions nous sentir libres de les partager avec les autres, de s’ouvrir à eux en pleurant si nécessaire, et ainsi entrer en contact avec plus d’intimité et de vérité.
Bien que l’auteur n’ait cité aucune étude psychologique spécifique, le sens général de son message est en accord avec la littérature en psychologie sur l’importance de l’expression émotionnelle pour la santé mentale.