Tu es le maestro de ton destin, camarade
Ecoute-moi bien, tu passes ton temps à te lamenter sur ta vie, à te dire que le sort s’acharne sur toi, à énumérer tes problèmes comme des trophées de souffrance.
Tu te dis « C’est pas ma faute, j’ai pas choisi tout ça ». Vrai, tu ne choisis pas les coups durs, les échecs, les trahisons. Mais attends, tu crois que c’est fini ? Tu crois que tu es condamné à subir ? Faux !
Alors oui, la vie te fait prendre des coups. Mais la résilience, mon ami, c’est comme ce vieux phénix qui renaît de ses cendres encore et encore. C’est ton choix de te lever, de te remettre en selle et de reprendre le contrôle.
Saluons Francis, l’un de mes clients. C’est un type ordinaire, discrètement courageux. Il s’est retrouvé au chômage à 45 ans, après 20 ans dans la même boîte. Tu vois le genre ?
S’il avait flanché, s’il s’était laissé couler, personne n’aurait été surpris. Mais non, ce type, il a décidé autrement. Il a choisi la résilience.
Sois ta propre bouée de sauvetage
Faut pas croire, mon ami, que la résilience va venir d’ailleurs. Elle ne vient pas de ce fameux coup de pouce du destin, ni même de tes amis, de tes proches ou de tes collègues bien intentionnés.
Crois-le ou non, mais la résilience, c’est toi qui la fais naître. C’est à toi de mettre un pied devant l’autre, de te dire « Oui, aujourd’hui c’est dur, mais tôt ou tard, ça ira mieux« . C’est ton choix de te dire « Je vais survire à ça« .
Fais donc un peu la nique à ce putain de sort qui semble se déchaîner sur toi et montre lui que tu es plus fort ! Merde à la fin !
Tu veux un autre exemple ? Très bien.
Regarde Claire. Cette femme est une force de la nature, aussi résiliente qu’un roseau face aux tempêtes. Elle a été diagnostiquée d’un cancer, son mari est parti, la laissant avec trois enfants. T’imagines ?
Mais Claire, elle a pas choisi d’être victime. Elle a choisi d’être un guerrier. Elle a choisi de se battre, de regarder la mort en face pour lui dire « Pas aujourd’hui« .
Faire face? C’est quoi ton premier reflexe? Encaisser et attendre que ça passe? Bah non, tu te bouges ! Tu agis, tu te bats, tu choisis de ne pas laisser l’adversité te dominer.
Pour en savoir plus, regarde ce puissant programme « Se relever après une épreuve : la puissance de la résilience ».
Car vois-tu mon ami, la résilience n’est pas pour les faibles, ceux qui baissent les bras. C’est pour toi qui refuse de renoncer, pour toi qui décide malgré tout d’avancer.
Rappelle-toi, le choix de la résilience appartient à ceux qui osent regarder la vie en face et lui dire « Je suis plus fort que n’importe quel obstacle »!
Mec, prends ce coup dur que t’as pris comme une vague. OK, elle t’a peut-être submergé pour un instant, mais tu es pas en train de te noyer. Tu flottes, tu te débats, et petit à petit, tu te remets à nager.
Tu vas pas laisser cette vague t’emporter, non ? Ta résilience, c’est toi qui la forge, c’est toi qui la façonne, c’est toi qui la décide!
Te voilà devant un choix. Rester à terre et te morfondre, ou te relever et repartir. C’est pas facile. Personne n’a dit que ça serait facile. Mais si tu veux mon avis de coach, la vie, c’est exactement ça : un choix après l’autre. Alors, lequel vas-tu faire?
Le choix, c’est la clé, mec
Voilà, on est maintenant face à ce truc qu’on appelle le choix. Comme un immense carrefour devant toi avec tellement de chemins possibles.
Tu peux choisir de rester là dans le caniveau, te lamenter et ruminer ta vie. Ou bien, tu peux choisir le chemin de la résilience, de mettre un pied devant l’autre, de te relever et de repartir. Et c’est pas facile, mec. C’est même carrément dur.
Vois-le comme ça : ta résilience, c’est comme ce muscle que tu as peut être jamais utilisé auparavant. Au début, ça fait mal, ça tire, ça brûle. Mais à force de persévérance, d’entraînement, ce muscle se renforce. Et c’est pareil avec la résilience.
T’as pris un sacré coup, c’est sûr. Peut-être même que t’as l’impression que ta vie est en ruines. Mais c’est dans ces moments précis que tu dois puiser pour déployer cette force intérieure, pour montrer que tu es bien plus coriace que ce que la vie semble penser.
En conclusion
Mec, ce que tu dois retenir c’est que le choix, c’est la clé. C’est à toi de décider si tu veux rester planté là comme une endive, à chouiner sur ton sort, ou si tu décides de retrousser tes manches et d’affronter les épreuves qui sont sur ton chemin.
C’est vrai, ce ne sera pas toujours une partie de plaisir. Y aura des moments où tu auras l’impression de te cogner la tête contre un mur. Des moments où tu te diras que c’est trop dur, que t’arrives à bout.
Mais mec, c’est justement dans ces moments-là que tu dois te rappeler que t’as le choix. Que t’as le pouvoir de changer les choses, de te battre, de ne pas lâcher.
Alors ouais, le choix, c’est la clé.
- C’est ta clé.
- C’est toi qui décides quelle porte tu vas ouvrir.
- C’est toi qui décides quel chemin tu vas prendre.
- C’est toi qui décides de ta vie.
Alors n’oublie pas, mon gars : encaisse, mais surtout, n’oublie pas que tu as le pouvoir de faire un choix. Et ce choix, c’est toi seul qui peux le faire.
Alors fais-le. Fais-le, parce que c’est ta vie, et que personne d’autre que toi ne peut la vivre à ta place.
L’oeil du coach
T’es maître de ta mise en scène, camarade
Bon, écoute bien, t’es là, planté dans ton malheur, à jouer la victime du scénario que t’as toi-même écrit.
« La merde me tombe dessus, j’y peux rien. » Ah, tu pensais que c’est fini, que t’es qu’un vil pion ? Détrompe-toi, mon ami !
La vraie affaire, c’est que le spectacle est pas fini. Tu es le maître du jeu, le metteur en scène de ta saga. Bien sûr, les coups durs tombent. Mais la beauté du drame, c’est qu’il te donne des opportunités pour montrer ton vrai courage.
Pense à ce pote à moi, Roger, ancien soldat, amputé en Afghanistan. Il aurait pu baisser les bras, personne ne lui en aurait voulu. Mais il a choisi d’encaisser, il a pris la pelle de la résilience.
On te jettera pas de bouée. Nage !
Ne sois pas naïf, la résilience ne sera pas livrée par drone. C’est toi qui dois faire l’effort de t’en saisir. C’est toi qui t’impose à nouveau le rythme de la marche, qui te susurre cette litanie : « Oui, aujourd’hui j’suis dans le trou, mais demain y’a l’espoir ».
Regarde Jacqueline, maman de trois gamins, abandonnée par un mari en pleine crise de la quarantaine. Elle aurait pu sombrer, mais elle a pris les reines, elle a choisi de résister.
N’attends pas que ça passe, ne t’installe pas dans la souffrance. Agis. Montre que t’as la force d’encaisser, de faire face, de choisir de ne pas laisser le courant t’entraîner.
C’est là si tu cherches de l’inspiration.
Ta vie. Ton choix.
Tu l’as compris, le grand réveil c’est le choix. Fais-tu partie des mous, ceux qui abandonnent à la moindre bise ? Ou es-tu de ceux qui, malgré les tempêtes, s’accrochent à leur cap ? Ta résilience, c’est toi qui l’incubes, la sculptes, la déclenches !
Deux routes s’ouvrent à toi. Celle du renoncement où tu te complais dans ton malheur. Ou celle de l’audace, celle où tu te relèves, te bats. C’est ton défi.
Camarade, la clé est le choix. Tu te laisses emporter par le courant de l’apitoiement, ou tu plonges dans le torrent de la résilience. Oui, c’est effrayant. Mais au final, c’est une suite de choix.
Alors, tu sautes ou tu restes sur le plongeoir ?