La pensée limitante
T’as sûrement déjà entendu cette petite voix dans ta tête : “Je ne suis pas capable“, “C’est la faute des autres“, ou encore “Je vais échouer comme d’habitude“.
Ces pensées, on les appelle limitantes, et elles te collent aux basques comme un chewing-gum sous la semelle. Elles te paralysent, t’empêchent de passer à l’action, et finissent par te convaincre que ta vie est condamnée à être… moyenne.
Mais laisse-moi te dire un truc : le problème, c’est pas ce que tu crois. Ces pensées, elles sont là parce que tu n’as pas encore trouvé ton Why.
Ce petit diamant brut caché en toi, qui, une fois découvert, te permet de dégager toutes ces conneries et de vivre enfin comme tu le veux.
Prêt à creuser pour le trouver ou tu préfères continuer à tourner en rond ?
« Je ne suis pas capable »
C’est tellement courant, ce foutu sentiment d’impuissance. “Je ne suis pas capable“, tu te le répètes à chaque fois qu’un défi se pointe. Mais en réalité, c’est quoi cette petite voix qui te susurre ça à l’oreille ?
C’est la somme de tes échecs passés, ces moments où t’as cru que tout était foutu, que t’étais bon à rien. Tu te dis : “Si ça n’a pas marché avant, pourquoi ça marcherait cette fois ?“. Et bam, tu restes bloqué.
Mais laisse-moi te dire un truc : ce que tu penses être un obstacle infranchissable, c’est souvent juste une excuse bien déguisée pour éviter de prendre des risques.
Regarde mon parcours : j’ai bouffé de l’échec, des retours chez ma mère après chaque tentative. Je me suis persuadé que j’étais incapable de sortir de ce cercle vicieux, jusqu’au jour où j’ai réalisé que c’était moi qui me mettais des bâtons dans les roues. Parce que la vérité, c’est que l’incapacité, c’est un mensonge.
Ce qui te manque, ce n’est pas la capacité. C’est la clarté. Trouver ton Why, c’est comprendre pourquoi tu fais ce que tu fais. Et là, crois-moi, tu verras que t’es capable de bien plus que tu ne le penses.
« Les autres ont plus de chance »
Ah, cette fameuse phrase : “Les autres ont plus de chance“. C’est tellement pratique, non ? Quand on se plante, on regarde autour de soi et on se dit que ceux qui réussissent, c’est juste parce qu’ils ont eu le bon tirage, les bonnes cartes dès le départ.
Alors toi, tu continues dans ta routine, persuadé que la vie a choisi pour toi et qu’il n’y a rien à faire.
Mais ça, c’est de la foutaise. Je suis passé par là, gamin d’une mère toxique, un père inexistant, une vie à bouffer du pain noir. J’avais toutes les raisons de croire que “la chance” n’était pas pour moi.
Et cette idée, elle m’a pourri la vie des années. Le déclic ? Comprendre que c’était pas une question de chance, mais de choix, de décision. Choisir de sortir de ce schéma, choisir de comprendre ce qui me pousse à avancer.
La chance, c’est une illusion. C’est pas la chance qui te fait réussir, c’est ta capacité à rester aligné avec ce qui te motive vraiment.
« Je suis nul »
Ça, c’est une des pensées limitantes les plus sournoises : “Je suis nul“. On s’en persuade à force d’entendre que ce qu’on fait ne compte pas, que peu importe les efforts, ça ne sera jamais suffisant.
Et là, tu te dis que t’es juste pas à la hauteur, que ta contribution au monde est nulle. Mais laisse-moi te dire un truc, mon ami : cette pensée, c’est un gros mensonge, et je sais de quoi je parle.
Toute mon enfance, ma mère m’a martelé que j’étais bon à rien. Forcément, à force de l’entendre, je l’ai cru. J’ai traîné ce sentiment d’inutilité pendant des années, pensant que je n’avais aucune valeur à offrir.
Ce n’est qu’après mon infarctus, à l’aube de la mort, que j’ai eu un déclic : cette voix qui me disait que j’étais nul, ce n’était pas la mienne. C’était celle des autres. Ma vraie valeur, je ne l’avais jamais cherchée moi-même.
C’est ça le truc : ta valeur, elle ne vient pas des autres, elle vient de toi. Et pour la découvrir, il faut d’abord que tu identifies ton Why.
Parce qu’une fois que tu comprends ce qui te motive profondément, tu te rends compte que ta valeur est immense, que tu as quelque chose d’unique à offrir. Et personne ne pourra plus te convaincre du contraire.
La clé pour briser toutes tes pensées limitantes
Toutes ces pensées limitantes, que ce soit “Je ne suis pas capable”, “Je n’ai pas de chance”, ou “Je suis nul”, elles ont une racine commune : tu ne sais pas vraiment pourquoi tu fais ce que tu fais.
Tu navigues à l’aveugle, sans boussole, en laissant tes doutes et tes peurs te guider. Résultat ? Tu te retrouves bloqué, incapable de passer à l’action ou de croire en toi.
C’est là que le Why entre en jeu. Quand rentres dans ton Cercle, tu comprends enfin ce qui te motive profondément, ce qui te donne envie de te lever le matin.
Ça te donne une clarté incroyable, une direction. Avec cette clarté, les pensées limitantes perdent leur pouvoir, parce que tu sais exactement pourquoi tu te bats et pour quoi tu veux avancer.
Et c’est pas juste un discours à l’eau de rose. Trouver ton Why, c’est ancrer tes actions dans ce qui compte vraiment pour toi.
Résultat ? Tu deviens plus résilient face aux échecs, plus confiant dans tes décisions, et surtout, tu arrêtes de te saboter avec ces pensées qui t’enchaînent.
Alors, t’attends quoi pour creuser en toi et dégager enfin ce diamant brut ?
