Affrontons-le ensemble, t’es la déception de tes parents
Ouais, c’est pas un truc cool à entendre, mais parfois, il faut affronter la vérité, même si elle est dure comme un coup de massue. T’as l’impression que tu peux jamais rien faire de vraiment bien. Tes parents, ceux qui sont censés te soutenir, te regardent comme si tu avais le mot « déception » tatouée sur le front.
T’es peut-être pas le premier de la classe. Tu réussis pas à ressembler à cette image parfaite qu’ils avaient visualisé pour toi. Mais attend, on va déconstruire ça ensemble. T’es qui toi? Tu es leur enfant, pas un projet. T’es une personne avec tes propres rêves et ambitions, pas une marque de leur réussite ou échec. Ca fait mal de penser dans leur point de vue, mais hey, qui a dit qu’eux ils ont tout réussi dans leur vie? Et t’es pas là pour combler leur vide à eux hein.
Ok, ok, on respire. On bouge.
Bon, alors on va prendre cette douleur, cette déception, et on va la transformer. On va s’en servir pour avancer. Parce que, oui, c’est toi qui décides de ce que tu veux faire de ta vie, pas eux.
Prenons quelques exemples :
- T’as foiré tes exams? Tu peux faire une formation.
- T’as pas obtenu le job que t’espérais? Il y a plein d’autres chemins à explorer.
- T’as décidé que tu veux pas aller à l’université? C’est pas la seule voie vers le succès.
- Ton conjoint, c’est pas la personne dont tes vieux rêvaient pour toi ? Et alors, c’est toi qui vit avec, pas eux.
Fini de vivre pour les attentes des autres, c’est ton moment à toi.
Peut-être qu’ils pensent que tu es une déception, mais c’est leur problème, pas le tien.
Si tu te sens bien dans ta peau, si tu fais un truc que t’aimes, alors c’est ton chemin à toi. Ils t’ont donné la vie, oui, mais c’est toi qui la vis. Ils peuvent essayer de te guider, mais en fin de compte, c’est toi le commandant de ton vaisseau.
Transforme la déception en triomphe
Donc oui, tu peux être la déception de tes parents, mais tu n’es pas UNE déception au sens large du terme.
T’es humain. T’as droit à l’erreur. Même si tu trébuches mille fois, ça change rien. Tant que tu te relèves et que tu continues, t’es pas une déception.
T’as le pouvoir de prendre en main ta vie, de transformer tes erreurs en leçons et d’améliorer constamment qui tu es en tant que personne. T’es capable de surmonter les attentes des autres, et plus important encore, de dépasser tes propres attentes.
Souviens-toi, il n’y a pas de sentier tout tracé vers le succès. C’est pas une course, ni une compétition. C’est ton voyage. Alors prends le temps d’apprécier les petits triomphes sur le chemin et n’oublie pas : t’es ta propre boussole.
Donc, peut-être qu’ils te trouvent décevant. Mais toi, tu sais ce que tu vaux. Alors, avance avec fierté. Ne te laisse pas étouffer par leur déception, mais utilise-la comme un tremplin.
Alors oui, ça fait mal, parce qu’on aimerait bien, tous autant que nous sommes, que nos parents nous soutiennent, nous encourage, nous apprécient pour ce que nous sommes et non pour ce qu’ils attendent de nous.
Coupable de vivre ta vie
Oui, ça te fout une putain de bouler au ventre, oui, c’est pas confortable, oui, tu sens déprécier, oui, tu te sens parfois (souvent) mal avec tout ça. T’es tiraillé entre leurs attentes et tes choix.
Bah écoute, il arrive un moment aussi où c’est à toi de décider, de couper le cordon. Je sais, ça aussi, c’est douloureux. Et plus encore quand tu le fait quand t’as 40 ans, 50 ans, ou pire encore, quand il disparaissent.
Dans tous les cas, tu ressens un vide, une douleur et t’as sale impression que rien ne comblera ce vide. Bah en fait, si. Non, pas le temps. Toi. Toi en acceptant que les choses sont là, telles qu’elles sont. Et que s’ils ne veulent pas t’aimer pour ce que tu es, t’y peux rien. T’as une vie à vivre.
Note
Maintenant, tu as décidé de faire tes choix, de mener ta barque. Bien ! Mais si tes parents sont contre tes choix, faut pas te rendre malade à attendre des félicitations et des encouragements. Ils sont contre, ils vont sans doute rester dans leur logique.
Et poussons le délire. Une chose est certaine, ils ne veulent pas te voir triste, malheureux. Mais comme ils ne veulent pas sortir de leur délire, dans leur monde, alors, ils te font porter la culpabilité. Ouais, c’est con l’humain. Vouloir avoir raison est un jeu pervers et bien toxique. Et plus tu vas montrer que tu as mal, plus ils vont appuyer.
T’es coupable de quoi ? De vouloir vivre ta vie ? Ho ! Quel putain de crime camarade ! Si eux se sont pliés aux exigences de leurs vieux, c’est leur choix. Il n’existe aucune foutue putain de loi qui t’oblige à faire de même.
Après, oui, en psychologie, y’a ce truc de la fidélité aux parents, toxiques ou non, qui nous pèse. J’en parle dans ce billet sur la fidélité.
C’est ta vie, saisit les rênes.
Maintenant, admettons, tu as fais tes choix, et tu as fais des erreurs ?
Et alors! On est humain, camarade. Tous les grands ont échoué une fois ou deux dans leur vie. Et devine quoi? Ils ont utilisé ces échecs pour s’améliorer, pour grandir. Toi aussi, tu peux le faire. Ne te laisse pas abattre parce que tes parents sont déçus.
T’en a marre d’aller à l’école? Il y a des tas d’autres options pour toi. Apprentissage, métiers manuels, création d’entreprise. Le monde est à toi, mec. Ne te sens pas enfermé dans une seule voie parce que c’est ce que tes parents ou la société escomptent de toi.
Fais vibrer ta vie, à ta manière.
- Tu aimes la musique? Lance un groupe.
- T’aimes la peinture? Organise une exposition.
- T’aimes coder? Crée une appli.
- Vis ta vie à fond, pour toi.
Fais ce qui te rend heureux, pas ce qui rend fière la famille.
Et si t’es heureux, t’en a rien à faire si t’es une déception ou non. Parce que, tu vois, la seule personne à qui tu dois faire plaisir, c’est toi. Si tu peux te regarder dans le miroir chaque jour et t’être respectueux, alors tu as réussi, quelle que soit leur opinion.
Laisse-les penser ce qu’ils veulent.
Oui, ils sont tes parents. Oui, ils t’ont élevé. Mais ça ne les fait pas experts de ta vie. Faut que tu te rapelles que c’est toi qui prends les décisions. C’est toi qui choisis qui tu veux être.
Donc oublie leurs attentes, oublie la pression sociétale. Concentre toi sur toi. Concentre toi sur tes ambitions, tes rêves, tes passions. C’est ta vie. A la fin de la journée, c’est toi qui doit te regarder dans le miroir, pas eux.
Allez, mec. Ne laisse pas leurs déceptions te peser. Transforme cette déception en détermination. Transforme leur jugement en moteur de ton succès. Parce que, à la fin, c’est toi qui compte. C’est ta vie. Alors vis-la à ta façon, sans regret, sans remords. Montre-leur que leur déception est infondée. Montre-leur, mais surtout à toi, que t’es capable de la grandeur.
En conclusion,
Ne laisse personne d’autre que toi dicter comment tu dois mener ta vie. Occupe-toi de toi et reste concentré sur tes propres désirs et tes propres aspirations. N’oublie pas, c’est toi qui décide.
C’est toi qui détermine qui tu seras, quel sera ton métier, où tu vivras, qui sera ton partenaire. Alors, prends cette responsabilité et fait de ta vie une aventure passionnante et riche en émotions.
Et si tu trébuches, relève toi. Rappelle-toi, chaque échec est l’occasion d’apprendre et de grandir, donc ne te laisse pas abattre par des erreurs. L’essentiel est de ne jamais perdre de vue ton objectif, qu’importe les travers de la route.
Fais-les taire
Laisse leurs opinions dans l’ombre.
Plus vite tu arrêteras de te soucier de ce que pensent les autres, plus vite tu seras libre de vivre TA vie à TA façon.
Tracer ton propre chemin, c’est ça le vrai courage. Alors, chromo tes larmes, lève ta tête et fonce. Montre-leur, mais surtout à toi, que tu peux prendre les rênes. Montre-leur que tu peux diriger ta vie. Et surtout, rappele-toi que la seule personne qui doit être satisfaite de toi, c’est toi. Allez, résiste mec, rappelle-toi : c’est ta vie, saisis les rênes.
L’oeil du coach
Certes, tu peux te sentir désemparé à l’idée de décevoir tes parents. Que cet état d’esprit soit lié à la réalité ou seulement à ta perception des choses, il faut faire face à cette réalité.
Peut-être que tu n’as pas eu l’honneur de décrocher le premier prix en classe ou que tu n’as pas su te conformer à l’image parfaite que tes parents avaient conçue pour toi. C’est difficile à entendre, mais il est temps de penser autrement.
Les recherches en psychologie montrent qu’un individu se développe et s’épanouit le mieux lorsqu’il réfléchit et agit indépendamment, en fonction de ses propres intérêts et désirs. C’est ce qu’on appelle l’autodétermination, un concept fondamental en psychologie positive.
Alors peut-être que tu as échoué dans certains domaines, mais ces échecs sont autant d’opportunités pour apprendre et pour explorer de nouvelles voies.
Les études montrent que l’échec peut être un puissant moteur de croissance personnelle. C’est ce que Carol Dweck, une psychologue de Stanford, appelle la « mentalité de croissance ». Ce concept indique que, loin d’être une tragédie à craindre, l’échec est une chance d’apprendre.
Laissons les attentes des autres de côté. A ce moment-là, c’est ton voyage à toi qui compte. Si tu te sens bien dans ta peau, si tu fais quelque chose que tu aimes, alors c’est ta voie. Ils t’ont donné la vie, mais c’est toi qui la vis. Ils peuvent essayer de te guider, mais à la fin, c’est toi qui es aux commandes.
En conclusion, rappelle-toi que c’est toi qui décide de ton destin. Concentre-toi sur toi, sur tes ambitions et tes rêves. Ce sont tes échecs et tes réussites qui te définissent. Ne laisse pas leurs déceptions te peser mais utilise-les comme un moteur pour construire ta propre vie, selon tes propres règles.
Et surtout, n’oublie pas que la seule personne à qui tu dois prouver quelque chose, c’est toi. Finalement, c’est ta vie, pas la leur.