Croire en soi : arrête de te voiler la face
Putain, camarade, t’as déjà remarqué combien de jeunes en France se sentent comme des merdes ?
En 2018, la moitié des 18-30 ans n’avaient pas confiance en eux, et 10 % se sentaient carrément nuls. Et c’est pas tout : en 2023, 80 % des jeunes ont laissé tomber leurs rêves faute de confiance. Ouais, t’as bien lu, 80 % !
Alors, c’est quoi le plan ? Se morfondre en attendant que ça passe ? Foutaises ! Ici, on va te secouer un bon coup. Pas de bullshit, pas de promesses en l’air.
Juste des vérités crues et des coups de pied au cul pour te réveiller.
Parce que, camarade, la solution, elle est en toi. Pas dans les conneries des gourous ou les méthodes en X étapes. Non, en toi.
Prêt à te sortir les doigts du cul et à découvrir ton Why ? On y va.
La peur de l’échec : ton excuse en carton
Ton pire boulet : toi-même
Camarade, combien de fois t’es-tu arrêté juste avant de tenter un truc parce que t’avais la trouille de te ramasser ?
« Putain, si je foire, que vont penser les autres ? » Sérieusement ? Bougre de con, tu sais quoi ? Ils s’en foutent. Ce qui les intéresse, c’est eux. Et pendant que tu rumines, eux avancent.
Moi, j’en ai connu des plantades.
J’ai vu mes projets partir en fumée, mes rêves exploser comme une vieille voiture abandonnée. Mais chaque fois que je me suis relevé, j’ai appris. Parce que l’échec, ce n’est pas une fin.
C’est une putain de leçon.
C’est comme tomber dans une flaque de boue : tu te relèves, tu t’essuies, et tu marches avec encore plus de hargne.
L’échec, ton meilleur prof
Regarde bien. T’as foiré un truc ? Parfait, ça veut dire que t’as essayé. Ce que t’appelles échec, c’est juste un pas vers ce que tu veux vraiment.
Ce n’est pas l’échec qui te fout par terre, c’est ta peur de ne pas être assez bon. Mais qu’est-ce que t’en sais si tu ne tentes rien ?
Alors camarade, bouge-toi. Ce que tu veux, c’est juste derrière cette trouille qui te paralyse.
Et si tu crois que réussir, c’est pour les autres, c’est là que tu te plantes. Allez, prends ton courage à deux mains, embrasse tes ratés, et fais-en un tremplin.
Parce qu’ici, dans ce cercle, on transforme chaque gamelle en victoire. T’attends quoi pour commencer ?
Trouver son Why
Arrête de chercher à l’extérieur ce que tu portes en toi
Camarade, tu passes ton temps à penser que le problème, c’est ton boulot, tes potes, ou même ton chien qui bouffe tes pantoufles.
Mais la vérité, elle est là : t’as pas encore trouvé ton Why.
Ce truc qui donne du sens à tout ce que tu fais. Pas besoin d’aller te perdre dans les livres de développement perso ou les retraites spirituelles à la con. Ton Why, c’est toi, bordel. Faut juste creuser.
Moi, j’ai passé des années à me dire que mon problème, c’était le fric, les opportunités ou les autres. Jusqu’au jour où j’ai compris que ce que je voulais, c’était pas une carrière bien ficelée ou des applaudissements.
C’était sentir que ma vie comptait, que je pouvais inspirer les autres à devenir meilleurs.
Et ça, camarade, c’est pas dans le monde extérieur que je l’ai trouvé. C’est dans mes tripes.
Ton Why, ce n’est pas une question : c’est une réponse
Trouver ton Why, c’est pas un luxe pour les riches ou les rêveurs. C’est une nécessité. C’est ce qui te fait te lever le matin sans avoir envie de tout envoyer valser.
Et t’inquiète pas, t’as pas besoin que ce Why soit spectaculaire. Ça peut être aussi simple que devenir un exemple pour tes gamins ou bâtir quelque chose qui te ressemble vraiment.
Alors, prends le temps de gratter sous la surface. Pose-toi des vraies questions :
- Qu’est-ce qui te fait vibrer ?
- Qu’est-ce qui te met en colère ?
- Pourquoi tu fais ce que tu fais ?
Une fois que tu tiens ton Why, tu vas voir : les doutes, les peurs, tout ça, ça passe au second plan.
Parce que t’auras enfin une direction claire, et ça, ça change tout. Tu montes à bord ou tu restes sur le quai ?
Muscler ta confiance : une question d’entraînement
La confiance en soi, ça se bosse
Camarade, t’attends quoi ? Que la confiance en toi te tombe dessus comme par magie ?
Crème d’andouille, ça n’arrivera jamais.
La confiance, c’est comme tes muscles : si tu veux les voir grossir, faut les bosser. Et non, pas une fois, pas deux, mais tous les jours.
Moi, j’ai commencé de zéro, avec une estime de moi-même plus basse que les bas-fonds.
J’étais ce gamin qui n’osait même pas lever la main en classe, ce gars qui n’avait pas les fringues à la mode et qui se faisait marcher dessus.
Mais un jour, j’ai décidé de tester. Juste une petite action, un mini-défi : parler à quelqu’un, me lancer dans un projet, peu importe. Et devine quoi ? Chaque petit pas comptait.
Chaque petite victoire te construit
Arrête de regarder la montagne en te disant que c’est trop haut. Concentre-toi sur le premier petit pas, puis le suivant.
Chaque fois que tu tentes quelque chose et que tu y arrives, même un peu, ta confiance grandit.
Fais une liste de tes réussites, même les plus insignifiantes. T’as réussi à dire non à quelqu’un ? Bravo. T’as osé demander une augmentation ? Encore mieux.
Tu vois, camarade, la confiance, c’est accumuler des preuves que t’es capable. Et ces preuves, elles viennent de l’action.
Alors arrête de gamberger et bouge ton cul. C’est dans la répétition des petites victoires que tu vas bâtir une confiance qui tient la route.
Prêt à enfiler tes baskets et à te bouger ?
La clé, c’est toi
Camarade, t’attends toujours une révélation ou quoi ? La confiance en toi, elle ne viendra pas d’un gourou, d’un pote bien intentionné ou d’un job miraculeux.
Elle vient de toi.
C’est toi qui décides de bouger, d’affronter tes peurs et de chercher ton Why.
Ce chemin-là, il n’est pas facile, mais il est simple : chaque pas te rapproche de la personne que tu veux devenir. Alors, tu t’y mets quand ?
Ce que tu dois retenir
- La peur de l’échec n’est qu’un frein mental : Elle t’empêche d’avancer, mais chaque chute est une leçon pour grandir.
- Ton Why est ta boussole intérieure : Découvre ce qui te fait vibrer, et tout deviendra plus clair.
- La confiance se construit au quotidien : Pas à pas, défi après défi, tu muscles ta croyance en toi.
Maintenant, camarade, c’est toi qui vois. Tu restes planté là, ou tu passes à l’action ? Qu’est-ce que t’as envie de vivre ?